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Le rôle de la sérotonine dans la perte de poids

La sérotonine et son impact sur la perte de poids éventuelle d’un individu intéresse de plus en plus les chercheurs, rapporte Top Santé, alors que deux spécialistes américains publient une étude qui affirme que la sérotonine permet d’accélérer le processus de perte de poids.

Cette recherche se base initialement sur des analyses effectuées sur un ver, le C. elegans, qui semble perdre du poids tout en conservant le même rythme de consommation de nourriture.

Perdre du poids sans cesser de manger ou diminuer l’apport calorique, donc?

Oui, expliquent les deux chercheurs californiens, à condition que deux éléments actifs soient réunis, à commencer par la sérotonine. Le deuxième élément est l’adrénaline, qui permettrait de maximiser les effets de perte de poids causés par la sérotonine, initialement.

« Lorsqu’on active la perte de poids en donnant juste de la sérotonine, c’est mieux qu’un composant équivalant à l’adrénaline soit présent. Si vous enlevez l’adrénaline, la sérotonine reste active, mais l’efficacité est grandement réduite. Ces deux neurotransmetteurs ont besoin l’un de l’autre », résume la Dre Supriya Srinivasan, qui publie sa recherche dans la plus récente édition du magazine Cell.

Srinivasan et ses collègues croient maintenant que le procédé pourrait être recréé chez l’homme, pavant ainsi la voie à des traitements efficaces contre la prise de poids et l’obésité.

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Les écoles envoient des lettres aux parents concernant le poids de leurs enfants

SheKnows rapporte entre autres le cas d’une mère d’une jeune fille de 11 ans, mesurant 5 pieds 3 pouces et pesant 124 livres. La lettre indiquait que sa fille était à risque de devenir obèse. Cette enfant est décrite par sa mère comme étant athlétique.

Le système scolaire se base souvent sur une simple mesure de l’indice de masse corporelle (IMC). Cette donnée à elle seule ne peut pas servir de prédiction d’obésité. Sans compter qu’ils envoient l’information par le biais de l’élève! Même sous lettre scellée, c’est inconsidéré.

Les mères interrogées sont d’accord pour dire que c’est aux parents et au pédiatre ou médecin de s’occuper du surpoids des jeunes. Pourtant, selon une étude datant de 2004 publiée dans Pediatrics, 86 % des mères qui avaient un enfant ayant un IMC supérieur au 95e percentile ne jugeaient pas leur enfant en surpoids.

Mais le système scolaire, qui diminue constamment ses heures d’éducation physique et offre le choix de repas santé (ou non) dans les cafétérias, devrait être pointé du doigt plutôt que de se permettre le rôle d’avocat du diable.

Plusieurs mères étaient d’avis que les dirigeants des écoles devraient mettre ces efforts pour enrayer l’intimidation plutôt que d’exacerber le problème de surpoids.

 

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Strasbourg se félicite de son projet de « sport sur ordonnance »

La ville de Strasbourg est heureuse de confirmer le succès de son expérience de « sport sur ordonnance », qui visait à lutter efficacement contre l’obésité, la mauvaise santé et certaines maladies comme le diabète, rapporte Radio-Canada.

Ainsi, les autorités ont créé un programme permettant de subventionner l’activité physique de certains de ses citoyens, afin de bien les encadrer et leur permettre d’accéder aux outils et à la motivation nécessaires à la prise en charge de leur santé et de leur forme physique.

Après un premier projet pilote, Strasbourg confirme le succès de l’opération et annonce qu’il poursuit l’initiative afin d’aider encore plus de patients.

Le programme, qui permet aux patients d’avoir accès à des professionnels de la santé et de l’activité physique sans débourser d’argent de leurs poches, a été mis sur pied par le Dr Alexandre Feltz, qui se réjouit du bon fonctionnement de son projet.

Les patients visés par le programme ont ainsi pu avoir accès à des activités de natation, de vélo et de course, notamment, encouragés par un entraîneur.

L’investissement semble porter des fruits et donner des résultats concrets et stables, et on souhaite maintenant l’implanter de façon définitive.

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Les efforts pour contrer l’obésité des jeunes commencent à porter des fruits

C’est Medical News Today qui rapporte ces données encourageantes. Bien que l’obésité infantile demeure préoccupante, les résultats sont tout de même encourageants.

En 2010, selon les centres de prévention et de contrôle des maladies, aux États-Unis, plus d’un tiers des enfants et adolescents présentaient un surplus de poids ou étaient déjà obèses. Cependant, entre 2008 et 2011, à la suite de mesures prises par le système de santé, le taux d’obésité a chuté dans 19 États.

La nouvelle étude menée par Eunice Kennedy au National Institute of Child Health and Human Development, à Bethesda, offre des résultats appréciables. Les données récoltées auprès de 35 000 enfants et adolescents démontrent qu’entre 2001 et 2009, les habitudes alimentaires et l’exercice physique ont pris une plus grande place chez les jeunes.

Par exemple, en 2001, la consommation de fruits et de légumes était présente de 2 à 4 jours par semaine. En 2009, elle a grimpé de 5 à 6 jours. D’autre part, les jeunes sont désormais plus conscients de l’importance de manger un déjeuner et consomment moins de boissons sucrées.

Bien que l’exercice soit encore loin de l’heure par jour recommandée, les jeunes ont tout de même augmenté de 4,33 à 4,53 les heures d’activité physique par semaine. De même, le temps passé devant la télévision a diminué.

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5 % des enfants américains souffrent d’obésité morbide

L’auteur principal de la recherche effectuée à la l’École de médecine de l’Université du Minnesota, le Dr Aaron Kelly, a déclaré : « L’obésité sévère chez les jeunes personnes a de graves conséquences sur leur santé. C’est une maladie bien plus importante encore que l’obésité infantile ».

Ce qui est inquiétant, selon le Dr Kelly, c’est que le taux d’obésité infantile commence à se stabiliser, alors que celui de l’obésité sévère a augmenté.

Les troubles de la santé associés sont notamment un taux élevé de diabète de type 2, des problèmes cardiovasculaires à un très jeune âge, incluant la haute pression et le cholestérol. En plus, des signes précoces d’athérosclérose s’ajoutent en cours de route.

L’obésité sévère chez les enfants de 2 ans et plus est diagnostiquée lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) est au moins 20 % supérieur au 95e percentile, ou un IMC de 35 ou plus.

Le Dr Kelly affirme que l’obésité morbide infantile doit être reconnue comme une maladie chronique grave.

Des recherches doivent également être mises en œuvre pour trouver des avenues innovatrices pour la perte de poids chez les jeunes enfants. Les pratiques courantes, malheureusement, ne sont pas adaptées aux petits. La situation est donc pressante.

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L’opération bariatrique pour enfant obèse, une intervention discutable

Selon le Dr Aaron S. Kelly, de l’Université Minnesota Medical School, « l’obésité sévère » représente désormais un risque qui atteint 6 % des enfants et adolescents. Ce qui l’inquiète, c’est que les solutions efficaces sont très limitées.

En fait, Kelly et ses collègues affirment que même après l’intervention chirurgicale au niveau de l’estomac ou des intestins, « ils demeurent toujours très obèses, sans amélioration notable du profil métabolique et cardiovasculaire ».

Malheureusement, les études relatives à la médication pour aider les enfants aux prises avec de l’obésité morbide sont encore embryonnaires. Notamment, deux nouveaux médicaments ont été mis sur le marché l’an dernier sans qu’aucune recherche sur la compatibilité avec les enfants ait été présentée. Il s’agit du Qsymia et du Belviq.

Dr Valentin Fuster, directeur du Mount Sinai Heart au Mount Sinai Medical Center de New York, abonde dans le même sens. Il a confié à MedPage Today qu’avant d’intervenir de façon chirurgicale, il faut se poser les bonnes questions. L’obésité morbide ne met pas seulement en cause le fait de trop manger. Plusieurs facteurs tels que la génétique, l’environnement et le comportement sont à considérer : « Dans la situation actuelle, il vaut mieux identifier plus tôt les enfants à risque de devenir obèses ».

Ainsi, si votre enfant a tendance à prendre du poids plus que la moyenne, n’hésitez pas à consulter votre pédiatre plutôt que d’en arriver à l’inévitable.

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Le double impact de l’alcool sur le poids et la santé

L’alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

quo;alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les bienfaits d’un gros déjeuner

Des chercheurs confirment qu’il est bénéfique de manger de gros déjeuners. Seulement, on découvre maintenant qu’il y aurait encore plus de côtés positifs à le faire.

En effet, selon ce que rapporte la revue médicale Obesity, bien manger est essentiel, mais la période de la journée à laquelle vous mangez est aussi très importante.

Au cours de l’étude menée par la professeure Daniela Jakubowicz de l’Université de Tel-Aviv et ses collègues, il a été conclu qu’en mangeant la plus grande quantité de calories au déjeuner, l’hormone responsable de l’appétit était moins active le restant de la journée et réduisait notamment les envies de grignoter.

Au contraire, si le repas le plus calorique est consommé plus tard en journée, le taux de gras s’élèvera de façon significative et augmentera de beaucoup le taux d’insuline, de glucose et de triglycérides.

Jakubowicz commente aussi les résultats en rappelant que les collations du soir devant l’ordinateur ou la télévision collaborent au développement de l’obésité et donc de plusieurs autres problèmes de santé comme la haute pression, les troubles cardiovasculaires et les débalancements aigus de glucose, qui sont particulièrement dangereux chez les diabétiques.

En mangeant beaucoup au déjeuner, vous pourriez ainsi aider votre organisme à contrer toutes ces graves conséquences sur votre santé globale.

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La taxe sur les boissons gazeuses pourrait bien ne rien changer

La lutte à l’obésité bat son plein, alors que le phénomène du surpoids en Amérique du Nord est désormais qualifié de « pandémie ». Les spécialistes et diverses autorités en matière de santé cherchent par tous les moyens possibles à contrer le fléau, et l’une de ces mesures semblent gagner en popularité.

Il s’agit de la taxe supplémentaire sur certains produits attribués à la malbouffe, à commencer par les boissons gazeuses et sucrées. New York, par exemple, a carrément essayé d’interdire la vente des gros formats, alors que d’autres villes et États cherchent à surtaxer le produit afin d’en décourager l’achat.

Or, même si cet énoncé s’avère véridique en termes d’habitudes de consommation, Medical News Today rapporte les conclusions des chercheurs de l’Université Duke qui croient fermement que la mesure ne règle pas le problème.

En fait, selon eux, les consommateurs se tourneront tout simplement vers d’autres produits, moins chers ou moins taxés, afin d’aller chercher leur « apport calorique désiré ».

On note également que ces produits sont plus populaires, en moyenne, chez la classe qui gravite autour du seuil de la pauvreté, ce qui fait d’une nouvelle taxe une mesure régressive.

Les mauvaises habitudes sont manifestement dures à perdre.

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New York contre les boissons gazeuses : offensive stoppée

New York devra encore patienter, voire abandonner, dans le dossier des boissons gazeuses qui l’oppose aux commerçants et restaurateurs.

On se rappellera que la Ville de New York avait décidé d’agir contre l’obésité en présentant une offensive majeure contre les boissons gazeuses grand format, toujours très populaires chez nos voisins du sud.

Or, rapporte Radio-Canada, un tribunal (cour d’appel) vient de statuer que la Ville avait outrepassé son autorité en s’insurgeant ainsi dans le pouvoir de consommation et de ventes des citoyens et des commerçants, respectivement.

La loi visant les restaurateurs et interdisant la vente de contenants de boissons gazeuses excédant 16 onces doit donc demeurer sur la tablette, pour l’instant.

Parions que la Ville de New York tentera de contre-attaquer, car on sent une volonté profonde des élus à lutter contre l’obésité.

La nouvelle règlementation est donc stoppée, un jour seulement avant son entrée en vigueur. Il était moins une pour les amateurs invétérés de grands formats!