Catégories
Uncategorized

Stevia : la nouvelle alternative efficace au sucre

Non, il ne s’agit pas d’un nouveau prénom en vogue, mais plutôt d’un sucre nouveau genre qui pourrait être appelé à devenir la solution parfaite au remplacement du sucre raffiné.

Stevia, donc, est le nom de ce nouveau produit que le Daily Mail (UK) décrit comme étant « doux comme le sucre, mais sans aucune de ses calories ».

Le produit provient d’une plante extraite d’Amérique du Sud et qui jouit d’une vague de popularité auprès de plusieurs observateurs qui aimeraient bien mousser Stevia comme alternative au sucre, qualifié d’ennemi numéro un de la nutrition depuis quelque temps.

« Stevia peut aider les gens à apprécier un sucre de texture naturelle, tout en réduisant les calories, s’intégrant ainsi parfaitement dans le cadre d’une diète équilibrée et bonne pour la santé. Il y a d’énormes occasions pour l’industrie de satisfaire les demandes nationales et internationales de réduction des apports en sucre dans les produits afin de contrer la crise de l’obésité », résume la Dre Margaret Ashwell, membre de la Scientific Advisory Board of the Global Stevia Institute.

Catégories
Uncategorized

Ces produits santé qui vous font grossir

Des experts de Tesco publient une liste de produits qui sont, selon eux, susceptibles de vous faire grossir et de ruiner votre régime minceur, et ce, malgré leur réputation « santé ».

Ce serait le cas notamment du fameux jus de fruits, souvent vendu en concentré ou en mélange sucré, qui fait exploser le compteur des calories! De plus, les jus de fruits communément retrouvés en magasins ne contiennent aucune fibre, ce qui laisse le champ libre au sucre pour vous attaquer de plein fouet et vous rendre léthargique à certains moments de la journée, selon le Daily Mail (UK).

Même chose en ce qui concerne l’huile d’olive, qui se retrouve également sur cette infâme liste. Bien qu’elle soit vantée et qu’elle possède véritablement plusieurs propriétés bienfaitrices pour la santé, l’huile d’olive arrive également avec son bagage calorique… un montant approximatif impressionnant de 50 calories par cuillère à thé!

Pour compléter cet ultime triumvirat des aliments maudits sur cette liste, les experts jettent un dernier blâme à l’endroit des yogourts et des biscuits « faibles en gras », qui contiendraient souvent plus de calories que les formules originales.

Manifestement, l’ère moderne et l’obsession alimentaire qui la caractérise ouvrent la porte à toute une série de mythes et de stratégies marketing qui laissent souvent le consommateur dans la confusion et le noir le plus total.

Catégories
Uncategorized

La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.

Catégories
Uncategorized

Obsession de la minceur : de précieuses minutes gaspillées chez les deux sexes

À moins que vous n’appréciiez vraiment vous en faire pour votre poids et culpabiliser dès que vous envoyez un aliment dans votre estomac, vous conviendrez que l’obsession de la minceur n’est pas le meilleur des passe-temps.

Pourtant, selon le Daily Mail (UK), cette obsession pour notre poids prendrait de plus en plus de temps dans une journée. Chez la femme, bien entendu, mais également chez l’homme, le phénomène n’étant plus du tout exclusif ou réservé à un genre.

Selon les statistiques rapportées par une équipe de chercheurs britanniques, une femme passerait jusqu’à 21 minutes par jour à penser à son poids, ce qui représente un nombre considérable. En fait, sur toute une vie d’une durée, disons, de 67 ans, cela signifie qu’une année entière aura été consacrée à l’obsession de la minceur.

Mais attention, les hommes ne sont pas loin derrière, avec une moyenne de 18 minutes par jour!

La pression devient de plus en plus forte, et même s’il s’agit d’une bonne chose de surveiller ce qu’on ingère, il faut aussi profiter de la vie et éviter de sombrer dans les troubles obsessifs. 

Catégories
Uncategorized

Être plus instruit peut-il prévenir certains troubles de santé?

Top Santé rapporte des statistiques avancées par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) qui tendent à démontrer un lien entre la bonne santé et le niveau d’instruction.

Ces chiffres sont proposés dans le rapport Regards sur l’éducation, le 21e du genre, et font état d’une meilleure qualité de vie et d’une meilleure chance d’accéder à un emploi de qualité durant une crise financière, le rapport faisant bien sûr allusion à celle que le monde a connue depuis 2008.

Plus encore, l’OCDE trace un lien direct entre le niveau d’éducation d’un individu et d’éventuels troubles de santé. Par exemple, on note que plus une personne est instruite, moins elle a de chance d’être fumeuse ou encore d’afficher un surpoids ou d’abuser de l’alcool.

« Aujourd’hui, il est plus important que jamais de quitter l’école avec un bon niveau de qualification. Les pouvoirs publics doivent axer leurs efforts sur les mesures en faveur des jeunes, plus particulièrement des jeunes moins qualifiés, les plus exposés au risque de bas salaire », résume José Angel Gurría, secrétaire général de l’OCDE.

Catégories
Uncategorized

Les habitudes alimentaires seraient influencées par les opinions sur l’obésité

Une nouvelle étude vient tracer un lien pour la toute première fois entre ce que les gens pensent de l’obésité et des raisons qui provoquent un gain de poids, et leur poids actuel.

En clair, selon The National Library of Medicine, les opinions et les idées préconçues sur l’obésité et le surpoids influenceraient les habitudes alimentaires de la plupart des consommateurs.

Des chercheurs ont mis sur pied un vaste sondage impliquant des répondants de partout dans le monde. Ils ont rapidement découvert qu’un fort pourcentage de ceux-ci associaient la prise de poids à une mauvaise alimentation ou à l’absence d’activité physique, mais rarement aux deux en même temps.

L’ADN et le bagage génétique semblent aussi des raisons complètement oubliées.

Ainsi, les répondants qui croient que le manque d’exercice physique est uniquement à blâmer pour le surpoids auraient tendance à manger plus, notamment de chocolat!

Par contre, ceux qui accusent la mauvaise alimentation afficheraient, quant à eux, une masse corporelle moins importante que les autres.

Ces derniers n’ont cependant pas plus raison que les autres répondants, le gain de poids s’expliquant très souvent par les deux facteurs combinés, et non pas un seul.

Les auteurs de l’étude croient qu’il s’agit de la preuve qu’une meilleure sensibilisation et information de la population est possible dans le dossier. 

Catégories
Uncategorized

Un potager géant dans des HLM de New York pour lutter contre l’obésité

La mairie de New York a inauguré cette semaine un potager géant dans un quartier HLM de la ville, le premier d’un projet de six visant à lutter contre l’obésité en rendant ses produits accessibles aux habitants.

Ce potager de quelque 4000 m2 est situé à Red Hook, dans l’arrondissement de Brooklyn.

« Ce potager urbain permettra aux habitants d’avoir accès à des produits sains », a expliqué l’adjointe au maire chargée de la santé, Linda Gibbs. « Elle offrira aussi aux jeunes un chemin vers l’éducation et l’emploi », a-t-elle ajouté dans un communiqué.

Certains légumes seront distribués aux familles dans le besoin, d’autres seront vendus pour permettre le fonctionnement du potager, qui servira aussi de centre éducatif et de centre de formation.

Cette initiative est la dernière en date de la mairie de New York pour lutter contre l’obésité. Plus de la moitié des adultes new-yorkais sont en effet en surpoids (34 %) ou obèses (22 %). Dès la maternelle, un enfant sur cinq est obèse, selon la mairie. Et de même source, cette épidémie touche en priorité les populations défavorisées.

Catégories
Uncategorized

L’obésité officiellement une maladie

Plusieurs sources, à commencer par The National Library of Medicine, confirment l’entrée de l’obésité dans la grande famille des maladies officielles, ce qui a de quoi attiser les discussions.

C’est que la notion de « maladie » est discutable, semble-t-il.

Avant, on « attrapait » quelque chose. Maintenant, il semble qu’un trouble quelconque n’a qu’à passer suffisamment de temps dans les médias ou dans la conscience collective pour qu’il trouve sa place parmi les maladies officielles.

On peut aussi penser au syndrome métabolique ou encore au syndrome prémenstruel aigu, deux autres nouvelles « maladies », selon plusieurs.

Bien entendu, la décision de l’American Medical Association (AMA) de faire entrer l’obésité dans ce club sélect est basée d’abord et avant tout sur le désir de continuer la lutte au problème et d’assurer la meilleure prévention possible.

« Reconnaître l’obésité comme une maladie aidera à changer la façon dont la communauté affronte ce problème complexe, qui affecte près d’un Américain sur trois », explique le Dr Patrice Harris de l’AMA.

Cependant, le Dr David Katz, directeur du Centre de recherches en prévention de l’Université Yale, lance un autre message : « Je n’ai jamais l’idée de caractériser l’obésité comme une maladie, car une maladie se produit lorsque le corps présente une dysfonction. Stocker les calories superflues en réserve de gras n’est pas une dysfonction, mais de la physiologie normale ».

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Samoa Air crée une classe XL pour les passagers obèses

Samoa Air, une petite compagnie aérienne des Samoa, a annoncé la création d’une classe « XL » pour les passagers obèses qui se verront proposer des sièges plus confortables et des rampes d’accès réservées.

Samoa Air était déjà à l’origine fin 2012 d’une initiative originale en établissant une grille tarifaire en fonction du poids du passager, destinée à lutter contre l’obésité et la hausse des cours du carburant.

« Souvent, l’accès (aux avions) est difficile, et une fois installé dans votre siège, vous n’avez plus de place pour les jambes », a expliqué Chris Langton, le patron de la compagnie, à la radio télévision australienne ABC.

« Nous n’avons pas une grande flotte, mais nous voulions montrer que nous nous préoccupons de cette question », a-t-il ajouté.

Les rangées en classe « XL » seront plus larges d’environ 30 centimètres.

« On le fait bien pour les chemises, les vêtements et d’autres choses encore (…). Le transport aérien devra s’adapter », selon lui.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les Samoa ont un taux d’obésité parmi les plus élevés au monde.

Catégories
Uncategorized

Les habitudes alimentaires au travail blâmées dans le dossier de l’obésité

Le dossier du surpoids en Amérique du Nord ne cesse de faire jaser et d’alimenter les pages web spécialisées en santé et en nutrition.

On cherche des coupables, des solutions, et voilà qu’une nouvelle théorie vient d’être émise par des sondeurs de la compagnie CareerBuilder, une théorie rapportée par le Daily Mail (UK) notamment.

C’est après avoir réalisé un sondage auprès de 3700 travailleurs que les chercheurs sondeurs ont commencé à apercevoir des similitudes entre certaines réponses.

Ainsi, les habitudes alimentaires au travail pourraient être responsables dans certains cas de surpoids ou d’obésité. Notamment, on parle du manque d’activité physique découlant d’emplois statiques ou de bureau, en plus de l’absence de gym ou de temps, tout simplement.

Puis, les fameux 5 à 7 sont aussi ciblés, en plus des nombreuses sucreries rapportées sur les lieux de travail, comme les beignes.

Au final, 55 % des répondants affirment afficher un surpoids, et 41 % d’entre eux blâment directement leur actuel emploi pour cette prise de poids!