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Les enfants dont les parents sont mariés ont moins de risque d’être obèses

Une étude américaine montre que les enfants qui vivent chez leurs parents mariés courent moins de risques de devenir obèses que les enfants vivant avec un parent ou avec des beaux-parents.

Les résultats sont issus d’une étude menée à la Rice University à Houston au Texas, qui examine l’influence potentielle de la structure familiale sur le poids d’un enfant.

Les chercheurs ont remarqué que sur les 10 400 enfants de maternelle observés, ceux vivants avec leurs deux parents mariés avaient un taux d’obésité de 17 %.

Or, ce taux atteint les 31 % pour les enfants vivant chez leurs parents qui ne sont pas mariés, 29 % pour ceux vivant chez un autre membre de leur famille, et 23 % chez les enfants qui vivent seulement avec leur mère ou dans une famille recomposée dont les parents ne sont pas mariés.

« Pour des raisons qui sont encore inconnues, il semble y avoir une différence entre les gens qui se marient et ont un enfant, et les autres groupes, des facteurs qui sont liés au poids de l’enfant », explique Rachel Kimbro, coauteure de l’étude.

Ces résultats ont été publiés récemment dans le Jounal of Applied Research on Children

Une chose intéressante : l’exception dans ces résultats est que les enfants vivant seulement avec leur père ou dans des familles recomposées où les parents sont mariés présentent le taux d’obésité le plus bas avec 15 %.

Les auteurs de l’étude expliquent cela grâce à de précédentes recherches révélant qu’un père seul a tendance à avoir des ressources socio-économiques plus élevées qu’une mère seule. Le statut socio-économique étant « le plus grand des prédicateurs de santé », les enfants dans ces situations seraient moins victimes d’obésité. 

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Une surdose de café pourrait favoriser une prise de poids importante

Plusieurs études récentes et crédibles attribuent au café de nombreuses vertus santé, grâce à certaines composantes comme les antioxydants notamment, ce qui redonne le sourire aux amateurs de caféine.

On n’hésite pas également à cautionner une consommation quotidienne relativement élevée, c’est-à-dire jusqu’à trois tasses par jour.

Pour une équipe de chercheurs australiens, qui publient d’ailleurs leurs recherches dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry, la limite pourrait bien s’établir à cinq tasses par jour.

Une limite quotidienne qui, lorsque dépassée, pourrait ouvrir la porte à certains problèmes de santé, à commencer par la prise de poids pouvant aller jusqu’à l’obésité, explique le Daily Mail (UK).

Cet effet inversé, car on attribue normalement le café à une plus grande facilité à perdre du poids, serait relié aux propriétés de l’acide chlorogénique. Lorsque consommée en trop grande quantité, la composante bloquerait certains systèmes qui favorisent la perte de poids, entrainant donc une prise de kilos plus facile.

On note, dans la même veine, une résistance à l’insuline inquiétante chez les sujets qui dépassent cinq tasses de café par jour.

Bref, comme la limite a déjà été élevée et que l’on peut maintenant consommer ce plaisir sans culpabilité, pourquoi ne pas le faire avec modération… et attention au sucre!

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L’OMS s’attaque à l’obésité

Réduire de 30 % l’apport moyen en sel dans l’alimentation, augmenter l’activité physique de 10 %, taxer les produits mauvais pour la santé… autant d’engagements pris cette semaine par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour stopper la progression de l’obésité dans le monde d’ici 2020.

Cette résolution met sur pied un plan d’action contre les maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, cancer, maladies respiratoires chroniques et diabète) en s’attaquant à une série de facteurs de risque, dont l’obésité.

« Le coût de l’inaction dépasse de loin le coût des mesures », souligne le plan d’action de l’OMS, qui explique que le surpoids et l’obésité sont le cinquième facteur de risque de décès au niveau mondial, et qu’au moins 2,8 millions d’adultes en meurent chaque année.

« L’adoption du plan d’action est extrêmement importante pour lutter contre une des crises sanitaires les plus dévastatrices à l’heure actuelle », a affirmé à l’AFP John Stewart, un des responsables de l’ONG Corporate Accountability International.

À ses yeux, les grandes entreprises du secteur alimentaire réalisent des « profits en produisant des aliments trop sucrés, trop gras ou trop salés ».

Le plan d’action de l’OMS appelle d’ailleurs les entreprises à coopérer et propose aux États une série d’objectifs volontaires. Elle suggère donc un large éventail de mesures, invitant les pays à éliminer les acides gras industriels dans les aliments, à promouvoir l’étiquetage nutritionnel des aliments préemballés, à diminuer la teneur en sel et en sucres dans les aliments et boissons non alcoolisées ou encore à réduire la taille des portions.

Le plan d’action recommande aussi aux États d’augmenter « l’accessibilité financière et la consommation de fruits et légumes ». Surtout, l’organisation conseille l’utilisation « de taxes » afin de détourner les consommateurs d’aliments moins bons pour la santé, et d’oeuvrer pour que les publicités vantant ces produits soient absentes des lieux où il y a des enfants, comme les écoles.

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Une « carte alimentaire » bientôt à l’essai

Nutrition News rapporte que des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord travaillent sur un concept fort intéressant qui pourrait venir en aide à des millions de consommateurs qui s’interrogent quant à leur alimentation.

Il s’agit d’un projet de « carte alimentaire », qui permettrait aux citoyens de s’y retrouver à travers les nombreux produits offerts en magasins et en supermarchés, mais aussi parmi les nombreuses légendes et théories qui pullulent en alimentation.

Tellement que la fascination pour la nourriture et la santé tourne maintenant en obsession, et les informations qui circulent sont si nombreuses et contradictoires qu’elles laissent souvent le consommateur dans une zone grise… ou carrément dans le noir.

Ainsi, cette carte de la nourriture permettrait d’obtenir en un instant toutes les informations relatives à un produit ainsi qu’à tous ses dérivés et marques diverses.

Des informations et des guides alimentaires seraient également accessibles. Bref, tous les outils afin de mieux informer le citoyen, pour que ce dernier puisse faire des choix éclairés en toute connaissance de cause.

On apprend que le projet découle d’une série de mesures commandées par la première dame des États-Unis, Michelle Obama, qui souhaite participer à la lutte à l’obésité et aux problèmes de santé des Nord-Américains.

On attend maintenant la finalisation du projet « carte alimentaire » afin d’en vérifier l’utilité.

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Césarienne et obésité de l’enfant

Selon le MailOnline, une récente étude démontre la possibilité que les enfants nés par césarienne courent un plus grand risque de souffrir d’obésité.

Après avoir étudié les dossiers médicaux de plus de 10 000 enfants, des chercheurs anglais ont observé que 83 % des enfants maintenant âgés de 11 ans couraient plus de risques que ceux nés par voie naturelle.

Il est expliqué qu’une des raisons possibles serait que les bébés nés naturellement contracteraient des bactéries nécessaires à la régularisation du métabolisme lors de leur passage dans le col utérin.

Le docteur en tête de l’étude, Jan Blustein de l’University School of Medecine à New York, a déclaré : « Il est possible qu’il y ait encore plusieurs conséquences à long terme liées à l’accouchement par césarienne dont nous ne sommes toujours pas au courant ».

Un bémol est cependant présent dans la recherche. En effet, les femmes obèses nécessitent plus souvent une césarienne pour des raisons de santé. Cela pourrait fausser certaines données de l’étude, alors que leurs enfants risquent de souffrir d’obésité pour des raisons génétiques.

Les résultats, publiés dans le Journal of Obesity, font aussi mention des risques pour les mères subissant une césarienne de souffrir de troubles de la vessie et des intestins, en plus d’augmenter les risques de complications lors d’une prochaine grossesse.

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Les friandises ne sont pas systématiquement mauvaises pour la santé

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions tirées d’une étude en nutrition qui révèlent que le fait de manger des friandises, du chocolat et autres sucreries n’est pas toujours nécessairement déconseillé.

En fait, selon la National Confectioners Association, les gens qui consomment de façon modérée ce genre de plaisirs sucrés n’ont pas réellement de risques de maladies cardiovasculaires plus accrus que les autres, et ne doivent pas non plus s’attendre à prendre du poids de façon systématique.

Ce constat survient à la suite de l’analyse de 5000 Américains, dont les habitudes de consommations de friandises variaient en quantité et en intensité.

On a vite compris que les sujets qui mangeaient quelques sucreries presque quotidiennement n’avaient pas plus de risque de développer des problèmes de santé que ceux qui n’en mangeaient qu’une fois par semaine, par exemple.

Bien entendu, les spécialistes rappellent qu’il ne s’agit pas d’un feu vert vers l’excès, bien que les bonbons et chocolats de ce monde ne mèneraient pas directement à un gain de poids important.

Il est assurément rafraîchissant de lire de tels propos, dans une époque où la paranoïa alimentaire nous prive de tous les plaisirs ou nous fait à tout le moins ressentir une culpabilité quasi permanente.

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Photographier ses repas pourrait indiquer un trouble alimentaire

S’il y a une mode bien étrange en ce moment, c’est celle de prendre des repas en photo pour les partager sur les nombreux réseaux sociaux.

Qui n’a pas déjà vu passer des photographies d’assiettes remplies, de fast-food ou de sushis, se demandant quel était le but réel de cette manœuvre.

Pour Valerie Taylor, du Women’ s College Hospital de l’Université de Toronto, ce phénomène n’est pas toujours bénin. En fait, il est même probable qu’il cache un problème alimentaire chez plusieurs de ces personnes, rapporte La Dépêche, qui reprend les propos de la spécialiste.

« J’ai des patients pour qui la nourriture est devenue problématique, et il leur est difficile de sortir sans parler d’autre chose que de ce qu’ils mangent, quand ils mangent, le moment où ils vont de nouveau passer à table », explique Taylor.

Vous reconnaissez quelqu’un qui ressemble à ce profil? Ou peut-être faites-vous vous-même partie de cette catégorie…

Pour la spécialiste, qui s’exprimait lors du Sommet canadien sur l’obésité récemment, l’obsession de la nourriture est un trouble alimentaire en soi, et souvent un pas vers l’obésité.

« On prend des photos de ce qui est important pour nous, et pour certaines personnes, la nourriture devient centrale alors que tout le reste — le lieu, les personnes, etc. — fait uniquement partie du décor », termine Taylor, qui présente ici un problème fort intéressant.

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Diabète et surpoids : Le jeûne intermittent vanté par des spécialistes

Le jeûne intermittent, ou le fait d’arrêter de manger selon un programme bien précis, semble gagner en popularité chez certains experts afin de contrer d’éventuels problèmes de santé graves chez les gens diabétiques.

C’est ce qui ressort de l’étude publiée par des chercheurs de l’Université d’Ashton, rapportée par Santé Log, alors que ces derniers se sont penchés sur ce controversé traitement.

Selon ce qu’on peut lire dans le British Journal of Diabetes and Vascular Disease, les experts concluent que le jeûne intermittent peut contrecarrer certains dangers liés au diabète, comme les maladies cardiaques ou encore ceux liés à l’obésité.

On rappelle que le diabète de type II est souvent lié à un surpoids ou à un régime alimentaire non équilibré.

Les experts estiment que beaucoup de patients pourraient gagner à tenter l’expérience du jeûne intermittent, en plus d’éviter la fameuse opération bariatrique, invasive et complexe s’il en est une.

Mais voilà, plusieurs spécialistes viennent contredire ces conclusions et croient plutôt que les bienfaits du jeûne intermittent restent à être démontrés.

De toute façon, il est primordial de ne pas prendre une décision du genre (opération ou jeûne) avant d’avoir consulté son médecin de famille pour des conseils généraux.

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Des exercices même pour les bébés d’un an

Cela dépend de votre point de vue. Selon la pédiatre Sylvie Hubinois, dès que les enfants sont en âge de marcher, on devrait les faire bouger beaucoup plus chaque jour. On éviterait ainsi le surpoids.

La réalité d’aujourd’hui est à ce point inconsciente, à cause de la vitesse à laquelle nous vivons, que nous ne prenons pas le temps de réaliser qu’il n’y a pas que nous qui manquons d’exercice. Dès 18 mois, le jeune enfant devrait avoir maîtrisé la marche et, bien sûr, la course.

Au lieu de l’en faire profiter, nous le traînons au magasin, au parc, à l’épicerie, toujours en poussette ou assis dans le carrosse. Dès qu’il n’est plus dans son siège, nous le prenons dans nos bras. Et il finit non seulement par apprécier, mais bientôt, il refuse de marcher et veut absolument qu’on le porte.

Il faut à tout prix cesser cette pratique. Habituons nos jeunes enfants à marcher, grimper, courir, faire des roulades, jouer à cache-cache ou n’importe quelle autre activité qui demande un peu d’effort.

Limitons également les heures passées devant la télévision. Allumons plutôt la radio pour que bébé danse un peu avec nous, puis seul, éventuellement, s’il en prend l’habitude. Faisons les tâches ménagères en gambadant d’une pièce à l’autre, en jouant à « coucou » avec l’enfant.

Les idées ne manquent pas, le temps non plus. C’est à nous de renverser la vapeur et d’en prendre conscience.

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Trop manger et boire s’avère dommageable pour le foie

La population, notamment les femmes, doit se conscientiser sur les impacts d’une trop grande consommation d’alcool et de nourriture, rapporte Top Santé.

C’est une récente étude sur les habitudes de consommation alimentaire qui lance un signal d’alarme aux citoyens, plus particulièrement aux femmes.

Les chercheurs du UCL Institute of Liver and Digestive Health de Londres ont analysé et démontré les risques associés à une consommation d’alcool trop élevée et à l’obésité sur la santé.

Plus particulièrement, c’est le foie qui serait à risque de développer de sérieux problèmes, un organe que l’on ne peut tout simplement pas se permettre d’endommager.

Plus encore, les femmes seraient plus touchées que les hommes par le phénomène de risque, ce qui pousse le Dr Paul Trembling, auteur de l’étude, à servir un avertissement bien senti à la gent féminine épicurienne.

Le risque de maladie grave et mortelle du foie serait jusqu’à trois fois plus élevé chez la femme que chez l’homme, surtout lorsqu’une femme en surpoids abuse de l’alcool.

Malgré ces pronostics plutôt sombres, on croit que cette récente étude permettra de mieux traiter plusieurs patients et ainsi sauver plus de vies en améliorant la qualité de l’aide et les campagnes de prévention.