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Bonne bouffe = grosse bouffe

Des chercheurs de l’Université de la Floride croient que la diversité des aliments dans votre assiette favoriserait les excès alimentaires et pourrait conduire à l’obésité.

Cette étude, à paraître en août prochain dans l’American Journal of Clinical Nutrition, met en lumière les comportements alimentaires de certains sujets à risque, telles les personnes ayant une dépendance à la nourriture.

Pour les personnes dépendantes à la nourriture, le cerveau se comporterait de la même façon que celui d’une personne dépendante à la drogue. Il en résulterait une incapacité à se contrôler devant une diversité des menus, ce qui favoriserait les excès.

C’est la deuxième fois en quelques mois que des études se penchent sur l’impact de la variété dans les assiettes. En mai dernier, une recherche effectuée à l’Université de Buffalo concluait que la monotonie dans les plats permettait de réduire l’appétit et l’envie de manger.

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Les effets bénéfiques du jus de bleuet biotransformé

Selon le Guide de référence santé en ligne, le jus de bleuet nain nord-américain, biotransformé à l’aide d’une bactérie fermentée extraite de la pelure du fruit, aide à diminuer les risques d’obésité et de diabète.

Cette étude, publiée dans l’International Journal of Obesity, a été réalisée par des chercheurs de l’Université de Montréal, de l’Institut Armand-Frappier et de l’Université de Moncton. Ils ont observé les effets du jus biotransformé et du jus de bleuet courant en effectuant des tests sur des souris.

Le directeur de cette recherche, Pierre S. Haddad, a déclaré : « Les résultats de cette étude démontrent clairement que le jus de bleuet biotransformé présente un grand potentiel dans la lutte contre l’obésité et le diabète. Le jus de bleuet biotransformé pourrait se révéler être un nouvel agent thérapeutique parce qu’il réduit l’hypoglycémie chez les souris diabétiques et qu’il peut protéger les jeunes souris prédiabétiques de l’obésité et du diabète. »

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Association entre l’obésité et les allergies

Une étude, dont les résultats sont publiés dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology, démontre qu’il y a davantage de cas d’allergies, surtout alimentaires, chez les enfants et les adolescents obèses.

« Nous avons trouvé une association entre l’obésité et les allergies. Si les résultats de notre recherche sont intéressants, il ne faut toutefois pas conclure que l’obésité cause les allergies. D’autres études doivent être effectuées afin d’évaluer davantage ce lien potentiel », a fait savoir l’un des auteurs, le Dr Darryl Zeldin du National Institute of Environmental Health Sciences.

4 111 enfants âgés de 2 à 19 ans ont participé à cette recherche où l’on a mesuré leur taux d’immunoglobuline E (IgE), une sorte d’anticorps capable de déclencher des réactions immunitaires, et leur indice de masse corporelle. Ceux qui étaient considérés comme obèses ou ayant un surplus de poids avaient un IgE plus élevé que la moyenne.

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Manger rapidement fait engraisser

Une recherche, publiée en ligne sur le site du British Medical Journal, nous apprend qu’ingérer rapidement des aliments peut tripler le risque de surplus de poids.

3 287 personnes, âgées de 30 à 69 ans, ont participé à cette étude, d’une durée de 3 ans, où les chercheurs évaluaient les habitudes alimentaires.

50,9 % des hommes et 58,4 % des femmes ont confié qu’ils cessaient de manger uniquement lorsque le sentiment de satiété était atteint.

Dans 45,6 % et 36 % des cas, les hommes et les femmes ont respectivement confié que le temps des repas passait à la vitesse de l’éclair.

Ce sont d’ailleurs ces sujets qui avaient un indice de masse corporelle supérieur à la moyenne, comparativement aux participants qui mangeaient lentement de plus petites portions.

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Les bienfaits de manger à heures régulières

Ceux qui surveillent ce qu’ils mangent devraient en plus porter une attention à la régularité de leurs repas.

En effet, selon des chercheurs de l’Institut Karolinska, en Suède, les personnes qui mangent à n’importe quelle heure de la journée sont plus à risque de souffrir de syndrome métabolique et de développer une résistance à l’insuline.

Ce syndrome se caractérise par un tour de taille équivalant au double de la normale, une hypertension artérielle, de l’hyperglycémie et un taux réduit de cholestérol HDL, qui sont tous des facteurs de risque pour développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont observé 400 personnes de plus de 60 ans qui étaient reconnues pour s’alimenter de façon irrégulière et sauter des repas.

« Habituellement, on porte une attention aux aliments que l’on mange, mais nos résultats démontrent que la façon dont on les mange est aussi importante pour la santé », a précisé la Dre Mai-Lis Helenius.

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L’obésité infantile explose en Chine

Selon une étude de la Cellule nationale sur l’obésité infantile, présentée dans le cadre de l’assemblée annuelle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les enfants chinois accumulent de plus en plus les kilos depuis les 30 dernières années. On note même une hausse de 156 % des cas d’obésité infantile.

En effet, 20 % des petits Chinois vivant en milieu urbain ont un surplus de poids et 7 % d’entre eux sont obèses.

Pour l’auteur principal de cette étude menée auprès de 80 000 enfants, le Dr Ding Zongyi, le phénomène d’obésité infantile en Chine est sur le point de devenir incontrôlable et seuls les États-Unis affichent un taux supérieur.

L’enrichissement collectif, l’occidentalisation des modes de vie et le manque d’exercice sont autant de facteurs qui peuvent expliquer la hausse du poids des enfants chinois.

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Des baies pour contrer l’obésité

Des chercheurs de l’Arkansas ont trouvé des propriétés antiobésité aux baies. Il semble que ce soit les anthocyanines, la pigmentation naturelle qui oscille entre le bleu et le rouge, qui soient responsables de ce phénomène.

Le Dr Ronald L. Prior et ses collègues ont observé que les souris, dont le menu était très riche, ont gagné moins de poids et avaient un indice de masse corporelle plus bas lorsque l’on retrouvait des anthocyanines dans leur nourriture et dans leur eau.

« Une nourriture à base d’anthocyanines ne prévient pas nécessairement l’obésité, mais elle la diminue », a précisé le Dr Prior.

En plus des baies, on retrouve les anthocyanines dans la peau des raisins, les mûres, les prunes et les aubergines.