Des chercheurs sont à mettre au point un nouveau type de farine, rapporte MedicalNewsToday, qui pourrait permettre de réduire les risques de démence.
C’est à tout le moins le souhait exprimé par l’équipe de chercheurs des universités de Loughborough, Bogor et d’Indonésie, qui concoctent une farine à base de tempe, un ingrédient largement répandu dans la cuisine asiatique.
Il s’agit donc d’une farine à base de soja, qui comprend un nombre considérable de vitamine B et de phyto-estrogènes, des éléments qui stimuleraient les fonctions cognitives et de la mémoire, selon plusieurs études précédentes.
Maintenant que les essais cliniques et les études sur les peuples asiatiques ont démontré la véracité de leur théorie, les chercheurs en tête du projet souhaitent maintenant commercialiser leur nouvelle farine.
« La prochaine étape est de voir si on peut répéter nos découvertes initiales sur la population occidentale. Si ça fonctionne, ce sera une étape majeure de franchie en prévention du déclin de la mémoire dû au vieillissement », résume Eef Hogervorst, l’un des directeurs du projet et chercheur à l’Université de Loughborough