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Katy Perry voudrait créer un parfum avec l’hormone du plaisir

L’interprète de Roar, Katy Perry, est en couverture de l’édition de juillet du Cosmopolitan. En entrevue, elle a parlé de sa malchance avec les hommes, notamment son mariage de 14 mois avec Russell Brand et sa rupture avec John Mayer, après des rumeurs de fiançailles.

À la blague, Perry, qui fêtera ses 30 ans en octobre, a déclaré : « Je crois que je suis simplement attirée par les hommes à haute fréquence ».

Pendant combien de temps la chanteuse s’est-elle abstenue de relations sexuelles? « Peut-être six mois ou un an », répond Katy Perry, en affirmant qu’elle ne reste « jamais longtemps célibataire ». Mais les histoires d’un soir, très peu pour elle. « Ça doit connecter. »

C’est la raison pour laquelle la star affirme que si elle en était capable, elle mettrait de l’ocytocine en bouteille. « Si je le pouvais, j’en ferais un nouveau parfum », question d’attirer le sexe opposé.

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Katy Perry voudrait créer un parfum avec l’hormone du plaisir

L’interprète de Roar, Katy Perry, est en couverture de l’édition de juillet du Cosmopolitan. En entrevue, elle a parlé de sa malchance avec les hommes, notamment son mariage de 14 mois avec Russell Brand et sa rupture avec John Mayer, après des rumeurs de fiançailles.

À la blague, Perry, qui fêtera ses 30 ans en octobre, a déclaré : « Je crois que je suis simplement attirée par les hommes à haute fréquence ».

Pendant combien de temps la chanteuse s’est-elle abstenue de relations sexuelles? « Peut-être six mois ou un an », répond Katy Perry, en affirmant qu’elle ne reste « jamais longtemps célibataire ». Mais les histoires d’un soir, très peu pour elle. « Ça doit connecter. »

C’est la raison pour laquelle la star affirme que si elle en était capable, elle mettrait de l’ocytocine en bouteille. « Si je le pouvais, j’en ferais un nouveau parfum », question d’attirer le sexe opposé.

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L’hormone de l’amour en traitement de l’anorexie?

L’hormone de l’amour peut-elle venir en aide aux personnes aux prises avec des troubles alimentaires comme l’anorexie? C’est ce que suggère une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs britanniques ont testé une hormone appelée l’ocytocine sur des patients souffrant d’anorexie.

L’étude s’est effectuée avec un groupe test de 64 sujets, dont 31 ont reçu de l’ocytocine ou un placébo. 33 personnes constituaient le groupe test de sujets « sains », c’est-à-dire sans trouble alimentaire.

Les résultats sont étonnants, alors qu’une série d’images proposée aux patients a démontré que ces derniers semblaient moins concentrés sur les aspects négatifs de la nourriture et moins anxieux qu’à l’habitude.

L’hormone associée au plaisir et au sentiment amoureux pourrait donc bel et bien aider les personnes anorexiques, croit Janet Treasure, auteure principale de l’étude.

« C’est une recherche préliminaire avec un petit nombre de participants, mais il est grandement excitant de voir le potentiel de ce traitement. On aura besoin d’essais plus larges avant d’entamer des changements dans la manière dont les patients sont traités », explique Mme Treasure.

Les résultats de l’étude britannique ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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L’ocytocine pour aider les enfants autistes

Des études effectuées précédemment ont déjà prouvé que l’ocytocine, libérée lorsqu’on tombe amoureux, agit aussi en tant que neurotransmetteur dans le cerveau pour effectuer tout autre lien affectif. À cet effet, elle pourrait aider à lutter contre diverses maladies.

Plus récemment, une recherche menée par IIanit Gordon au Yale Child Study Center a déterminé les bienfaits immédiats d’un vaporisateur nasal contenant de l’ocytocine. Administrée à des enfants atteints d’autisme, l’ocytocine avait un impact immédiat sur leur interaction sociale.

Afin de valider leur théorie, 17 enfants autistes âgés de 8 à 16 ans étaient sélectionnés de façon aléatoire et recevaient soit une vaporisation d’un placébo, soit celle de l’ocytocine. Ils étaient ensuite évalués pendant différentes interventions sociales.

« Nous avons conclu que la région du cerveau associée avec la récompense et la reconnaissance émotive répondait mieux durant les tâches sociales lorsque l’enfant avait reçu de l’ocytocine plutôt que le placébo », a déclaré Gordon dans un communiqué de presse.

Science World Report informe que les données complètes de l’étude se retrouvent dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. Les effets du vaporisateur sont temporaires, et la découverte nécessite d’autres recherches.

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Un vaporisateur nasal à base d’ocytocine pour traiter l’autisme?

Dans les années 90, des recherches ont révélé que les personnes autistes ont tendance à avoir des taux d’ocytocine plus bas dans leur sang.

Une étude à petite échelle, sur sept enfants autistes, effectuée par des chercheurs de l’Université Yale a démontré que les régions du cerveau connues pour être impliquées dans le bon fonctionnement avec le monde social ont été plus actives chez des enfants autistes qui ont utilisé un vaporisateur nasal contenant de l’ocytocine une seule fois que ceux qui ont reçu le placebo.

Pour arriver à ces conclusions, l’activité du cerveau d’enfants autistes a été observée par IRM, et les petits ont répondu à des tests qui concernaient la sociabilité.

Bien que considérablement intéressants, ces résultats ne sont pas suffisants pour justifier l’utilisation de l’ocytocine dans la pratique clinique de l’autisme aujourd’hui.

Les chercheurs mettent en garde que l’ocytocine ne pourrait pas devenir une solution miracle et faire disparaître la maladie.

Toutefois, prouvée comme efficace pour le bon développement des relations interpersonnelles chez l’humain, l’ocytocine pourrait être combinée à des thérapies comportementales avec des spécialistes pour faire en sorte que l’enfant autiste communique mieux et développe ses capacités en lecture.

Les études vont se poursuivre à plus grande échelle avant d’être publiées dans une revue médicale.

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L’ocytocine donne des complications post-partum

L’ocytocine est décrite comme étant l’hormone de l’amour. Elle est sécrétée naturellement par le système nerveux lorsque l’on éprouve du plaisir ou un sentiment d’attachement, mais aussi pendant un accouchement, pour faciliter le travail.
 
Lorsque les choses durent ou se compliquent, l’ocytocine de synthèse est administrée à la future maman par une perfusion et permet de faire accélérer les contractions.
 
Selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), le risque d’hémorragie double lorsque l’on administre l’hormone à une femme en train d’accoucher, et il augmente proportionnellement à la dose donnée.
 
À la suite de ce constat de l’INSERM, le Collectif interassociatif autour de la naissance demande aux professionnels de la santé de modérer leurs pratiques lors des accouchements.
 
Mentionnons que malgré ces dangers attribués, l’administration d’ocytocine se voit dans les 2/3 des accouchements par voie naturelle de nos jours.
 
Selon le Collectif, les pratiques obstétricales de routine seraient, en partie, à l’origine des complications, traumatismes et séquelles qui suivent l’accouchement.
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Une hormone capable d’aider les timides

Si vous devenez rouge écrevisse à la moindre occasion, les résultats de cette nouvelle étude devraient vous intéresser.

Des chercheurs de l’Université Concordia à Montréal ont étudié l’impact de l’ocytocine sur cent hommes et femmes âgés de 18 à 35 ans. Ces personnes n’avaient pas d’antécédents médicaux et ne consommaient pas de cigarettes ni de drogues.

Lors des tests, les injections nasales d’ocytocine ont démontré notamment que ces personnes avaient la capacité de lutter contre la timidité et étaient plus sociables qu’auparavant, explique l’étude parue dans la revue Pharmacology.

L’ocytocine, qui est sécrétée lors de rapprochements sociaux ou au moment de l’accouchement pour la femme, est même étudiée pour soigner certains cas d’autisme.

Pour le moment, on ne connaît pas encore les effets négatifs liés à l’utilisation à long terme de l’ocytocine.

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La dépression postnatale serait-elle hormonale?

On cherche toujours les vraies raisons de la dépression postnatale, laquelle affecte de nombreuses nouvelles mamans.

Si plusieurs voies ont jusqu’ici été abordées, on se tourne maintenant du côté des hormones. Des chercheurs des universités de Bâle en Suisse et de Trèves en Allemagne ont présenté une étude ayant porté sur 98 femmes enceintes. Ils avancent un possible lien entre la dépression postnatale et l’ocytocine.
 
Rappelons que l’ocytocine est une hormone peptidique qui est notamment libérée pendant l’allaitement. Elle est fortement sollicitée lors de l’accouchement, ce qui empêcherait le bébé de souffrir durant sa naissance, selon une récente recherche.
 
On lui accorde aussi un rôle dans les relations sociales et amoureuses, de même que lors de situations requérant l’altruisme et l’attachement, entre autres.
 
Ainsi, on peut lire sur Santé Log que les femmes ayant un faible taux sanguin d’ocytocine durant leur grossesse se trouvent plus à risque de vivre une dépression après la naissance de leur enfant.

Toutefois, mentionnons que les chercheurs de cette étude ont émis un bémol. Selon eux, des investigations subséquentes devront suivre, car plusieurs autres facteurs peuvent entrer en ligne de compte quant à la dépression postnatale. On pense ici à des conditions physiologiques (les fluctuations d’hormones, par exemple) ou psychologiques.

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Aucune souffrance pour le bébé à l’accouchement

Des chercheurs de l’Inserm ont découvert que les bébés ne souffraient aucunement lors de l’accouchement, comme nous l’apprenons par Radio-Canada. Une hormone, l’ocytocine, en est la raison.

Cette hormone a un effet anesthésiant qui dure jusqu’à quelques heures après la naissance. Comme nous le savions déjà, l’ocytocine est libérée par la mère en grande quantité lors du travail afin de stimuler les contractions de l’utérus. Il semble qu’elle a un effet sur le bébé.
 
Afin de tirer ces conclusions, les chercheurs se sont basés sur une étude datant de 2008, où l’on avait démontré que les bébés nés par césarienne résistaient moins à la douleur que ceux nés par voie naturelle.

On a ensuite effectué des tests sur des rats, pour prouver par la suite que l’ocytocine était la cause de la résistance à la douleur des bébés humains.

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L’ocytocine renforce les souvenirs de la mère durant l’enfance chez les hommes

Des souvenirs d’affection de la mère sont revenus en force chez des hommes à qui on avait administré de l’ocytocine, nous apprennent des chercheurs de l’École de médecine de Mount Sinai.

D’après leurs résultats parus dans Science Daily, cette hormone neurotransmetteur déjà présente chez l’humain a un impact sur certains des 31 hommes en santé de leur étude.

Pour arriver à ces conclusions, on a administré par voie nasale de l’ocytocine à la moitié du groupe et un placebo à l’autre, et ce, à deux moments différents.

Après 90 minutes, les chercheurs ont posé des questions aux participants quant à leur relation affective avec leur mère lorsqu’ils étaient enfants.

Les hommes qui étaient moins anxieux et plus près de leurs sentiments avaient des souvenirs plus nets quant à l’affection de leur mère lorsqu’ils avaient reçu une dose d’ocytocine, en comparaison à ceux qui avaient reçu le placebo.

À l’opposé, ceux qui étaient anxieux avaient des souvenirs d’une mère moins affectueuse lorsqu’ils avaient eu l’ocytocine, toujours par rapport au groupe du placebo.

Ces comportements ont été causés par l’effet de l’ocytocine sur l’humeur et le bien-être.