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Une nouvelle technologie fait son apparition en santé

C’est une technologie du futur que nous proposent des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, alors que ceux-ci croient avoir trouvé l’alternative parfaite à l’endoscopie en matière de dépistage du cancer, notamment de la gorge.

Il s’agit d’une « caméra-pilule », décrit Santé Log, qui rapporte les résultats de l’équipe de Harvard. Cette pilule serait tout simplement avalée, pour ensuite transmettre des images « en direct » de l’œsophage des patients.

On pense ainsi pouvoir mieux déceler les traces de cancer, en qualité et en temps, tout en évitant l’actuel moyen de prévention et de dépistage : l’endoscopie.

Cette dernière requiert beaucoup de technique et de moyens, en plus d’être invasive et désagréable.

La caméra-pilule est un concept à la fine pointe de la technologie, qui utilise de plus un système de visualisation 3D offrant une visualisation précise et efficace.

L’examen pourrait se faire en moins de six minutes, ce qui rendrait tout le processus plus efficace et attrayant, tant pour les patients que pour les praticiens.

Les détails de cette percée ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Nature Medicine.

 

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Les fraises contre le cancer de l’oesophage

Une étude présentée par l’American Association for Cancer Research mentionne que les fraises pourraient prémunir le corps contre le cancer de l’œsophage.
 
Il s’agit encore d’une étude préliminaire effectuée sur 36 personnes âgées en moyenne de 54 ans. Toutes avaient des lésions précancéreuses dans l’œsophage.
 
Chaque jour, ces personnes devaient prendre deux onces de fraises lyophilisées. Sous cette forme, il n’y avait pas d’eau qui pouvait diluer les actifs naturels de la fraise.
 
29 des 36 personnes, soit 80,6 %, ont vu leurs lésions précancéreuses chuter. Une personne les a vues augmenter, alors que les autres ont vu leur situation demeurer stable.
 
On croit que les vitamines et minéraux des fraises inhiberaient le N-NMBA, l’agent cancéreux que l’on retrouve aussi dans le bacon grillé, le tabac et les légumes en saumure.
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Les médicaments pour solidifier les os causeraient le cancer de l’oesophage?

Voilà des résultats tout à fait contradictoires avec ceux d’une récente étude qui se fondait pourtant sur la même base de données composée de 80 000 personnes.
 
Cette fois, les chercheurs affirment avoir suivi les participants deux fois plus longtemps que leurs précédents collègues.
 
Après quelques comparaisons et analyses, on en arrive à la conclusion que les personnes qui prennent depuis un moment des médicaments pour solidifier les os, comme dans le cas de l’ostéoporose, sont légèrement plus susceptibles de souffrir d’un cancer de l’œsophage.
 
Le Journal of the American Medical Association mentionne que le risque pour une personne âgée de 60 à 79 ans est normalement de 1 sur 1000, alors que pour les personnes ayant eu 10 prescriptions ou plus de médicaments pour les os pendant au moins cinq ans, les risques sont plutôt de 2 sur 1000.
 
On précise toutefois que cette étude n’est qu’une observation et on refuse de conclure que les médicaments contre l’ostéoporose causent directement le cancer de l’œsophage.
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Le curcuma contre le cancer de l’oesophage

Des chercheurs du Centre de recherche sur le cancer de l’Université de Cork, en Irlande, mentionnent que le curcuma pourrait être utilisé pour traiter le cancer de l’œsophage.

Ils sont parvenus à traiter des cellules œsophagiennes cancéreuses avec le composé chimique que l’on retrouve dans le curcuma, soit la curcumine.

La curcumine a alors commencé à détruire les cellules cancéreuses après une exposition de 24 heures. Elle attaque les cellules par un système de signaux cellulaires alternatif.

Il a déjà été prouvé que le curcuma contenait des antioxydants qui pouvaient prévenir certains types de cancers. Toutefois, jusqu’à maintenant, la dose nécessaire pour combattre le cancer est élevée et est impossible à atteindre par voie orale. C’est une voie intéressante que les chercheurs examinent pour traiter ce type de maladie.

Le curcuma a également des propriétés efficaces contre les ulcères gastriques. Il diminue l’inflammation et les troubles digestifs, en plus des inflammations de la peau et des blessures. Le curcuma dévoile donc de plus en plus ses effets bénéfiques pour la santé humaine.

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Bière rime avec cancer?

Une étude menée par une équipe de chercheurs des universités de Montréal et McGill auprès de 3 600 hommes âgés de 35 à 70 ans démontre l’association entre la consommation quotidienne de bière et de spiritueux et l’incidence de six types de cancer.

Ces patients sont sept fois plus à risque que les hommes qui ne boivent pas d’alcool de développer un cancer de l’œsophage. L’incidence du cancer du côlon grimpe de 80 % et celui du poumon de 50 % chez ces mêmes candidats.

« Ce sont les personnes qui boivent chaque jour ou plusieurs fois par jour qui sont à risque. Cela ajoute au nombre croissant de preuves indiquant que le fait de consommer beaucoup d’alcool nuit considérablement à la santé, de plusieurs manières, et que le cancer représente une part importante des risques », a expliqué l’un des auteurs, Andrea Benedetti, de l’Université McGill.

Étonnamment, ce phénomène ne s’applique pas en cas de consommation de vin. Des recherches antérieures avaient déjà démontré une diminution du risque de maladies cardiovasculaires grâce à la consommation quotidienne de vin, à raison d’un verre ou deux par jour.

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Le thé trop chaud… dangereux?

Des chercheurs associés à l’Université de Téhéran, en Iran, recommandent de laisser refroidir le thé avant de le boire puisque si la chaleur est trop intense, le risque de cancer de la gorge augmente.

Selon l’auteur principal, le Dr Reza Malekzadeh, boire du thé ayant une température de 70 degrés Celsius fait multiplier par huit l’incidence de ce type de cancer. Le chercheur recommande plutôt d’ingérer la boisson à 65 degrés afin que ce soit sans danger.

Le scientifique a comparé le risque chez 300 adultes souffrant de cancer et 571 autres en bonne santé, tous originaires de la province de Golestan en Iran, là où le taux de cancer de la gorge est très élevé.

Chaque année, on évalue que 500 000 décès dans le monde sont causés par ce type de cancer, dont le taux de survie après cinq ans est de 12 à 31 %.