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Certaines pilules contraceptives augmentent le risque de cancer du sein

Selon les nouvelles données du Fred Hutchinson Cancer Research Center à Seattle, publiées dans la revue Cancer Research, les femmes qui prennent des pilules contraceptives contenant une dose élevée d’oestrogène sont deux fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de cancer du sein, comparativement à celles qui utilisent d’autres formes de contraceptifs oraux à faibles niveaux d’œstrogène. 

En examinant l’historique de contraception de 1102 femmes victimes d’un cancer du sein et un groupe de femmes non touchées par la maladie, il s’est avéré que celles qui prenaient une pilule à forte dose d’œstrogène depuis un certain nombre d’années étaient 50 % plus susceptibles de développer un cancer que celles qui n’avaient jamais utilisé ou cessé de prendre la pilule plus d’un an avant l’étude.

Les chercheurs mettent toutefois en garde les femmes en leur mentionnant d’interpréter avec prudence ces données et de ne pas arrêter de prendre la pilule pour autant. Ils conseillent plutôt de se renseigner auprès d’un professionnel de la santé sur les possibilités d’obtenir un contraceptif oral à plus faible dose d’œstrogène, du moins le temps que les études soient davantage approfondies.

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Le lait entier est déconseillé aux femmes en rémission du cancer du sein

Top Santé rapporte une étude américaine qui met en garde les survivantes du cancer du sein contre les produits faits à base de lait entier.

Pour l’équipe de chercheurs basés en Californie (Oakland), le lait entier renferme des propriétés qui augmentent les risques de rechute. On parle entre autres du fromage, de la crème glacée et autres dérivés des produits laitiers, qui sont à déconseiller pour les femmes en rémission.

« Les femmes qui ont eu un cancer du sein et qui doivent donc limiter leur exposition aux oestrogènes ont tout intérêt à cesser de consommer des produits laitiers à base de lait entier et leur préférer les produits laitiers allégés en matière grasse », résume la Dre Candyce Kroenke, auteure principale de l’étude.

Cette dernière s’est par ailleurs étendue sur le sujet durant 15 ans, ce qui rend ces conclusions difficiles à réfuter. Plusieurs centaines de femmes ont été observées durant cette période, et la Dre Kroenke croit qu’un autre avertissement s’impose.

« Il faut noter également que certaines femmes de ce groupe sont décédées, non des suites de leur cancer, mais d’une maladie cardiovasculaire. Or, une alimentation riche en matières grasses et toujours un facteur de risque supplémentaire pour les maladies cardiovasculaires. »

On suggère donc d’opter pour des produits laitiers allégés et une consommation modérée.

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Le traitement hormonal substitutif en prévention de l’Alzheimer

Santé Log rapporte que le traitement hormonal substitutif, aussi appelé simplement THS, pourrait s’avérer un outil de choix dans la lutte à la maladie d’Alzheimer, ainsi que pour sa prévention.

C’est ce qui ressort d’une étude américaine publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE, alors que des chercheurs croient que le THS pourrait contribuer à ralentir le vieillissement prématuré des cellules, et ainsi prévenir le déclin cognitif trop hâtif.

Si les réactions face à cette « découverte » sont pour l’instant partagées, les chercheurs de l’Université de Californie, eux, affichent un bel optimisme.

Ils ont pu constater ces effets lors de tests du THS sur un groupe de femmes ménopausées, plus particulièrement sur celles qui démontraient la variante génétique APOE-e4, un facteur de risque de l’Alzheimer.

Si les femmes ménopausées présentant cette variante génétique voient augmenter leurs risques de développer des problèmes cognitifs tels que ceux retrouvés dans les cas d’Alzheimer, le THS permettrait de les réduire considérablement.

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Plus de fruits et légumes abaisseraient les risques de cancer du sein

La réputation des fruits et légumes en matière de santé et nutrition n’est plus à faire, mais voilà que The National Library of Medicine propose une nouvelle étude qui parle d’une vertu bien précise de ces aliments.

Il s’agit du cancer du sein, plus particulièrement dans certaines de ses formes les plus agressives, qui pourraient voir ses chances de se développer baisser dramatiquement chez les femmes qui consomment régulièrement des fruits et des légumes.

Bien que les chercheurs précisent qu’ils ne sont pas parvenus à prouver directement une cause à effet, et que ce comportement ne ferait pas baisser les chances de développer un cancer du sein en général, ils sont convaincus qu’il est tout de même efficace contre les formes les plus difficiles à traiter de la maladie.

Ces formes, notamment, sont définies comme des « cancers du sein de type récepteur œstrogène négatif ». Ces tumeurs ne réagissent donc pas au flux d’œstrogène chez la femme et compteraient pour 15 à 20 % de tous les cancers du sein.

Les chercheurs du département de nutrition de Harvard avancent que les femmes qui mangent quotidiennement des fruits et légumes présentent des statistiques inférieures en ce qui a trait à ce type de cancer que leurs consœurs qui n’en consomment pas ou peu.

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Un enzyme responsable de la prise de poids lors de la ménopause

Les femmes en période de ménopause qui prennent du poids peuvent cesser la culpabilité, car de récentes études proposent que la faute repose sur un enzyme, et non sur leurs habitudes alimentaires.

La prise de poids chez les femmes ménopausées est fréquente et s’ajoute aux nombreux désagréments et « effets secondaires » liés à cette période de la vie d’une femme.

Assez de choses à penser alors, pour ne pas se mettre en plus à être obsédées par ce qu’elles mangent, car selon topsante.com, le phénomène est naturel, bien que dérangeant.

C’est que le fameux enzyme verrait son activité être amplifiée massivement au contact de l’œstrogène, et doublement lors de la phase de ménopause.

Cela dit, les chercheurs répètent que même si la prise de poids est normale et naturelle, il est faux de croire que rien ne peut être fait.

Tout comme aux autres personnes aux prises avec des problèmes de gain de masse rapide, il est fortement conseillé de couper le sucre (jus, sodas, gâteaux) et les viandes grasses, de manger plus de poissons et de noix, ainsi que d’éviter les repas usinés ainsi que les restaurants.

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Cancer du sein : Accoucher de gros bébés n’aiderait pas

Des chercheurs de l’Université du Texas affirment que les femmes qui ont de gros bébés ont un niveau plus élevé d’hormones, comme l’oestrogène, qui est d’ailleurs connu pour être associé à un risque accru de la maladie, révèle un article du Daily Mail.

Le fait d’avoir de gros bébés propulserait la croissance analogue à l’insuline libre associée au développement du cancer du sein et pourrait modifier les niveaux de trois hormones qui, en conséquence, créent un « environnement procancérigène », spécifie l’article.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les premiers accouchements de 410 femmes et ont pris en considération le poids des bébés en excluant les autres facteurs qui pourraient influencer le développement d’un cancer du sein, tels que le poids des femmes elles-mêmes, les antécédents médicaux ou l’utilisation de l’hormonothérapie substitutive.

Plusieurs peuvent se demander pourquoi un cancer apparaîtrait 30 ans après l’accouchement. À en croire les experts, le corps peut conserver une « mémoire » du niveau d’oestrogène élevé en raison de l’enfant qui avait un poids élevé.

« Bien que cette étude ait révélé un lien statistique entre les femmes dont le premier bébé avait un poids élevé à la naissance et un risque plus élevé de cancer du sein, il n’est pas prouvé que le poids élevé du bébé à la naissance ou les hauts niveaux d’hormones sont source d’un risque accru de cancer du sein », précisent les chercheurs.

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La pilule contraceptive augmente les risques cardiaques

Une étude danoise parue dans le New England Journal of Medicine mentionne que la pilule contraceptive augmente les risques d’attaque cardiaque.
 
Alors qu’une étude précédente pointait du doigt les pilules Yaz et Yamsin, dont la drospirénone pouvait accroître les risques de caillots sanguins, voilà que les pilules contraceptives qui contiennent de l’œstrogène sont les fautives dans les incidents cardiaques.
 
Ces pilules augmentent les risques d’infarctus et d’incidents vasculaires cérébraux de 1,3 à 2,3 fois, comparativement à la moyenne.
 
1,6 million de femmes ont participé à cette recherche.
 
Des études plus approfondies seront nécessaires, mais voilà une nouvelle donnée qui incite à revoir la contraception.
 
Dans le cas des contraceptifs Yaz et Yasmin, les experts avaient jugé que les risques de caillots sanguins demeuraient relativement faibles et n’avaient pas choisi de recommander l’arrêt de cette prise de pilule aux femmes qui en faisaient l’usage.
 
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Quand pilule contraceptive rime avec maladie de Crohn

Le Dr Hamed Khalili, chercheur en gastro-entérologie au Massachusetts General Hospital de Boston a affirmé, lors d’une réunion à San Diego sur les maladies digestives, que les femmes qui ont recours à l’hormonothérapie de remplacement après leur ménopause ont 1,7 fois plus de risques de souffrir de colite ulcéreuse.

De plus, « si vous avez pris des contraceptifs oraux pendant plus de cinq ans, vous avez un risque trois fois plus élevé d’être atteint par la maladie de Crohn », déclare le spécialiste, spécifiant toutefois que les femmes qui ont pris la pilule contraceptive n’ont pas plus de risques de souffrir de colite ulcéreuse.

Pour les besoins de l’étude, des données au sujet de 230 000 femmes ayant pris ou non la pilule contraceptive ont été examinées.

Même si les chercheurs ont découvert un lien entre les thérapies à base d’hormones et les problèmes digestifs, il n’y a pas de relation de cause à effet d’établie.

Des études animales ont déjà prouvé que le côlon est plus vulnérable à l’inflammation lorsque l’œstrogène est donné. « Il modifie la perméabilité du côlon », explique l’expert.

Le spécialiste croit que toutes les jeunes femmes, en particulier celles qui ont des antécédents familiaux de maladies inflammatoires, devraient être mises au courant des risques qu’elles courent. D’autres moyens de contraception devraient également leur être offerts.

Ces données doivent être considérées comme provisoires jusqu’à ce qu’elles soient publiées dans une revue médicale.

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Le café modifie le niveau d’oestrogène

Les femmes qui boivent deux tasses de café quotidiennement peuvent affecter leur niveau d’œstrogène. La différence sera à la baisse ou à la hausse, selon leur origine ethnique.
 
D’après l’American Journal of Clinical Nutrition, les femmes asiatiques qui consomment au moins deux tasses de café par jour voient leur niveau d’œstrogène augmenter, comparativement à celles qui ne boivent pas ou peu de café.
 
Chez les Occidentales, on remarque toutefois que cette même quantité de café diminue le niveau d’œstrogène, alors que chez les femmes noires, on note peu de changement.
 
L’équipe de l’Université de l’Utah a évalué 250 femmes entre 2005 et 2007.
 
On note également que la source de caféine joue un rôle. Ainsi, les femmes qui avaient eu de la caféine par les boissons gazeuses ou le thé vert avaient plus d’œstrogènes que les autres, et ce, peu importe leur origine ethnique.
 
Toutefois, bien qu’on observe un changement au niveau des œstrogènes, cela ne semble pas affecter le cycle d’ovulation des femmes.
 
Le niveau d’œstrogène est aussi lié à certains troubles de santé comme l’endométriose, l’ostéoporose et certains cancers comme du sein, des ovaires ou de l’endomètre.
 
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Les femmes actives sont ménopausées plus tôt

Une étude japonaise dévoilée dans la revue Menopause mentionne que les femmes qui font beaucoup d’exercices et qui suivent un régime bon pour le cœur sont généralement ménopausées plus tôt.
 
Après avoir suivi 3100 femmes pendant dix ans, les chercheurs ont constaté que celles qui faisaient de huit à dix heures d’exercices par semaine étaient 17 % plus susceptibles d’avoir leur ménopause plus tôt que leurs congénères sédentaires.
 
De plus, celles qui consommaient des graisses polyinsaturées, que l’on retrouve dans les poissons et les huiles végétales, étaient 15 % plus à risque de vivre la même chose.
 
Durant la ménopause, les ovaires des femmes cessent de produire des ovules, et l’exposition à l’œstrogène est nettement réduite. L’œstrogène a tendance à favoriser l’apparition du cancer du sein, donc une ménopause précoce est liée à un risque moindre de cancer du sein pour la femme.
 
Cependant, une ménopause à un jeune âge est également liée à un risque accru de maladies cardiaques et d’ostéoporose. Les spécialistes affirment tout de même que les avantages l’emportent sur les inconvénients.
 
Généralement, la ménopause débute entre 41 et 55 ans.