Les œstrogènes sont aussi présents chez l’homme; il ne faut pas les attribuer uniquement aux femmes. Leur bonne production est donc à considérer chez les deux sexes.
Les choux, choux-fleurs et brocolis, que l’on qualifie de crucifères, contiennent des phytonutriments s’attaquant directement aux cancers hormono-dépendants, rapporte nutranews.org, particulièrement le cancer du sein.
On rapporte que la consommation de ces phytonutriments augmente la 2-déhydroxylation des œstrogènes et conséquemment, cela contribue à une meilleure production d’œstrogènes non carcinogènes comme le 2-hydroxyestrone.
Ces derniers sont en fait des antioxydants tellement puissants qu’ils peuvent détruire des cellules cancéreuses. Lorsque l’on est en carence de ces phytonutriments, au contraire, ce sont les mauvais œstrogènes (comme le « mauvais cholestérol ») qui se propagent et contribuent à la formation de cancers.
Même si l’on consomme des légumes crucifères, d’autres facteurs peuvent diminuer le 2-hydroxyestrone, comme une alimentation riche en gras ou une carence d’oméga-3.