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Une voie intéressante pour les allergies alimentaires

Des chercheurs sont convaincus que la solution aux allergies alimentaires pourrait passer par l’immunothérapie.

Ils présument qu’en exposant un enfant à l’aliment auquel il est allergique, en très petite quantité, son intolérance diminuerait graduellement jusqu’à un niveau contrôlable, sinon jusqu’à la faire disparaître complètement.

Cette adaptation se fait tout d’abord avec l’immunothérapie sublinguale qui consiste à placer le composé allergène d’un aliment sous la langue, à un niveau inférieur que celui nécessaire pour déclencher une réaction allergique.Les membranes de la bouche absorbent donc juste assez de cette substance allergène pour désensibiliser le système immunitaire.

L’autre étape est l’immunothérapie orale qui consiste alors à ingurgiter de petites quantités d’aliments et d’augmenter graduellement la dose, parfois jusqu’à des niveaux où un individu peut manger une portion normale d’un aliment dont il ne pouvait autrefois tolérer la moindre trace.

Le Dr Michael Pistiner, un spécialiste en allergies de Leominster au Massachusetts, explique toutefois que ce n’est pas un processus que les gens doivent essayer à la maison sans supervision médicale complète.

Malgré les résultats positifs, beaucoup de questions demeurent, notamment à savoir si les personnes allergiques qui auront amené leur système immunitaire à supporter un aliment devront ensuite continuer à manger un minimum de cet aliment par semaine afin de conserver active leur tolérance.

Les essais cliniques se sont déroulés avec des patients allergiques au lait, aux arachides et aux oeufs.

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L’alimentation et le risque d’insuffisance cardiaque

Une portion quotidienne supplémentaire de grains entiers diminue de 7 % l’incidence d’insuffisance cardiaque, nous apprend une étude menée par des chercheurs de l’Université du Texas.

Par contre, consommer des aliments à haute teneur calorifique ou encore des oeufs augmente respectivement ce risque de 8 et 23 %.

« Consommer de façon occasionnelle des produits à base de farine enrichie, un yogourt plus gras ou des oeufs ne signifie pas automatiquement une insuffisance cardiaque. Par contre, l’accumulation de ces habitudes alimentaires peut jouer dans la balance », a mentionné l’auteur de cette étude, la Dre Jennifer A. Nettleton.

Pendant 13 ans, la scientifique a analysé les habitudes alimentaires de 14 153 adultes âgés de 45 à 64 ans. Pendant ses travaux, 1 140 patients ont été hospitalisés pour une insuffisance cardiaque.

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Messieurs, modérez votre consommation d’oeufs

Selon une étude publiée dans la revue American Journal of Clinical Nutrition, trop d’oeufs au menu serait nocif pour les hommes, particulièrement ceux qui souffrent de diabète.

Lorsque les participants de l’étude mangeaient plus de sept oeufs par semaine, le taux de mortalité bondissait de 23 % et doublait lorsque les sujets étaient diabétiques.

Selon les chercheurs, cela pourrait s’expliquer par le fait que les diabétiques convertiraient plus facilement le cholestérol alimentaire en cholestérol sanguin que les personnes non diabétiques. Un oeuf contient 200 mg de cholestérol, soit 100 mg de moins que la limite quotidienne suggérée pour éviter les risques de maladies cardiaques.

Heureusement, cette consommation excessive d’oeufs n’a pas d’incidence sur les infarctus et les accidents vasculaires cérébraux.

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Des oeufs antiallergiques

Des chimistes allemands et suisses ont réussi un exploit qui pourrait faire le bonheur des personnes allergiques aux oeufs.

La procédure consiste à exposer les oeufs crus à un mélange d’enzymes qui anéantit les éléments allergènes dans ceux-ci.

Les chercheurs ont testé ces nouveaux oeufs sur le sérum sanguin des personnes allergiques à ce type d’aliments. Il en résulte que l’oeuf modifié provoque 100 fois moins de réactions allergiques qu’un oeuf normal.

Cette procédure a aussi l’avantage de ne pas modifier la saveur et la texture des oeufs.

L’étude sera publiée dans l’édition du 12 mars de la revue médicale Journal of Agricultural and Food Chemistry.