Un homme qui craignait en 2020 d’attraper la COVID-19 et qui s’était réfugié durant trois mois à l’aéroport O’Hare International de Chicago ne sera finalement pas poursuivi par les autorités.
Aditya Singh est ce Californien qui a fait la manchette en janvier dernier. Son histoire avait fait le tour du monde. Apeuré par la COVID-19, il n’avait quitté la zone sécurisé de l’aéroport. D’octobre à décembre, il a vécu dans l’aéroport de Chicago jugeant que c’était l’endroit le plus sécuritaire pour ne pas être infecté par le coronavirus.
L’homme de 37 ans a finalement été reconnu non coupable par les autorités et les accusations qui pesaient contre lui ont été abandonnées. Selon le jugement, il n’a enfreint aucune règle.
L’homme d’origine indienne était en transit à Chicago en direction de l’Inde lorsqu’il a choisi de «s’établir» à l’aéroport. Il a confié aux autorités qu’il était paniqué à l’idée de retourner en Inde, alors que la COVID-19 frappait de plein fouet le pays asiatique.
Durant ses trois mois à l’aéroport, Aditya Singh se nourrissait dans les restaurants de l’édifice et utilisait les toilettes publiques, a indiqué son avocat.