Olympique – BIG Admin

Voilà près d’un an que l’athlète Bruny Surin a entamé une bataille judiciaire contre la marque de sport Puma, rapporte le Journal de Québec.

La raison ? La marque a commercialisé sans son accord un modèle de chaussures, « Cell Surin », qui utilise explicitement son nom.

Si le médaillé d’or olympique réclame environ 90 000$ de dommages et intérêts, il vient tout juste d’obtenir le droit de pouvoir comparaître devant la Cour supérieure du Québec, désormais habilitée à s’occuper du jugement.

Puma doit désormais fournir aux instances québécoises toutes les données financières de la mention « Cell Surin », puisque le Canadien Bruny Surin affirme avoir en 2001, inscrit son nom à l’Office de la propriété intellectuelle.

Le Canadien Bruny Surin est notamment reconnu pour s’être emparé de la médaille d’or du relais 4x100m lors des jeux Olympiques d’Atlanta en 1996.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

La journaliste Stéphanie Vallet signe un papier qui nous permet d’en découvrir davantage sur Maripier Morin, dont la carrière prend un envol pour le moins impressionnant.

On y déconstruit un peu le mythe de la perfection entourant Morin, et on y apprend que l’animatrice caressait le rêve de remporter une médaille olympique en patinage artistique lorsqu’elle était plus jeune.

«J’étais droite comme une barre de fer. Je n’ai pas fumé de pot ni fait le party! Je me levais le matin à 5 h, j’allais patiner, puis j’allais à l’école pour ensuite retourner sur la glace. Le soir, je faisais mes devoirs et je suivais des cours de rattrapage, car je n’étais pas bonne à l’école», explique Maripier Morin.

On découvre également dans l’excellent article de La Presse la présence de Patrick Vimbor, ancien styliste d’Occupation Double devenu le complice et l’agent de Maripier Morin au cours de la création de sa carrière.

Après quelques écueils chez TVA récemment, Maripier Morin sera néanmoins de La voix junior cet automne, en plus d’animer Maripier! sur les ondes de Z et de cumuler les apparitions spéciales, dont quelques-unes en anglais.

Il est possible de lire l’article intégral de Stéphanie Vallet, pour La Presse, ici.

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