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Les suppléments d’huile de poisson protègent-ils vraiment le coeur?

De sérieux doutes sont émis par de nouvelles recherches sur les bienfaits véritables des suppléments d’huile de poisson et d’oméga-3 sur la santé cardiaque, rapporte The National Library of Medicine.

Il s’agit de deux recherches effectuées par des chercheurs de l’Université Cambridge, qui se penchaient sur les données et résultats obtenus par plusieurs essais cliniques en la matière.

« En regardant les 17 essais cliniques aléatoires que nous avons combinés, la majorité des essais (surtout ceux à large échelle) démontrent peu ou pas d’effet significatif sur la réduction des risques de maladies cardiaques », explique le Dr Rajiv Chowdhury, auteur principal de ces recherches.

Les analyses confirment cependant les effets néfastes pour le cœur et la santé cardiovasculaire du gras saturé, mais rien n’indique que les gras ou huiles de poisson consommées en suppléments peuvent inverser le procédé ou procurer une protection au cœur.

Au total, aucun effet bénéfique n’aura été véritablement observable sur pas moins de 1100 personnes analysées.

Ces étonnants résultats s’ajoutent à plusieurs autres précédentes qui ne concluent pas aux bienfaits catégoriques de la prise de suppléments alimentaires.

Les résultats de ces analyses ont été publiés dans le journal Annals of Internal Medicine.

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Les oméga-3 favoriseraient un sommeil de qualité

Alors que l’on ne croyait plus trouver d’avantages aux oméga-3, voilà qu’une nouvelle étude laisse entrevoir la possibilité que la prise de suppléments pourrait aussi favoriser un sommeil de qualité.

Principalement retrouvés dans les poissons et fruits de mer, les oméga-3 sont vantés depuis quelques années pour leurs nombreux bienfaits potentiels sur la santé. L’une de ces propriétés pourrait-elle être un meilleur sommeil?

C’est ce que semblent croire des chercheurs de l’Université d’Oxford, rapporte MedicalNewsToday, qui ont testé la théorie sur des enfants aux prises avec des troubles du sommeil, notamment.

Un groupe de 300 jeunes sujets ont donc été appelés à consommer 600 mg d’oméga-3 sur une période de 16 semaines afin d’évaluer les effets. Les résultats semblent probants, alors que l’on note une moyenne de près d’une heure de sommeil supplémentaire par nuit chez plusieurs enfants.

De plus, les sujets ont démontré un sommeil de plus grande qualité, de moindres mouvements et des nuits plus réparatrices.

D’autres études et recherches sont à venir dans ce dossier qui s’annonce prometteur, notamment pour évaluer si des résultats similaires peuvent être confirmés chez les adultes.

Les résultats de l’étude d’Oxford ont été publiés dans le Journal of Sleep Research.

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Certaines huiles végétales seraient aussi néfastes pour la santé cardiaque

Coup de théâtre dans le monde de l’alimentation et de la nutrition, alors qu’une nouvelle analyse trace un bilan pas toujours reluisant de certaines huiles végétales en matière de santé cardiaque, rapporte MedicalNewsToday.

La recherche, effectuée et publiée par le CMAJ (Canadian Medical Association Journal), croit que Santé Canada devrait revoir les étiquettes de certaines huiles végétales qui affirment que celles-ci sont bonnes pour la santé du cœur ou encore qu’elles réduisent les taux de cholestérol.

Selon les spécialistes en cause, certaines huiles fortes en oméga-6, mais faibles en oméga-3, n’auraient pas l’impact escompté en matière de santé cardiaque. Ce serait le cas, notamment, de l’huile de maïs et de carthame, dont les effets bienfaiteurs seraient loin d’être vérifiables.

On veut donc, du côté du CMAJ et de certaines universités canadiennes, que Santé Canada révise sa politique d’affichage sur ces produits, en vigueur depuis 2009, et qui permet aux compagnies productrices d’afficher ces prétendues vertus.

On attend maintenant la réponse de Santé Canada à la suite de ces révélations. 

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Des apports en poisson réduiraient les risques d’arthrite

Plusieurs bienfaits du poisson et des huiles de poisson ont maintes fois été démontrés, mais de récentes études ajoutent une nouvelle corde à leur arc.

Selon les renseignements rapportés par Medical News Today, des apports hebdomadaires en poisson (une portion de poisson gras par semaine, ou encore quatre de poisson maigre) permettraient de réduire de façon significative les risques de développer des problèmes d’arthrite.

C’est une étude publiée dans le magazine Annals of the Rheumatic Diseases qui soulève cette hypothèse, notamment en ce qui concerne l’arthrite rhumatoïde.

Réalisée par des chercheurs suédois basés à la Karolinska Institute, l’étude parle de risques réduits de l’ordre de 30 % à 50 % chez les personnes qui consomment régulièrement du poisson depuis une période d’environ 10 ans.

Ces conclusions se basent sur les observations effectuées auprès de 32 000 femmes de 2003 à 2010, des femmes qui avaient auparavant déjà participé à ce genre d’étude dans les années 1990. 

En ajoutant les habitudes alimentaires, notamment en matière de poisson, aux données précédemment obtenues, les chercheurs concluent à la véracité de la théorie. 

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Les bienfaits de l’huile de poisson et des oméga-3 : fausse propagande?

Le Telegraph (UK) propose une théorie des plus intéressantes : et si les bienfaits liés à l’huile de poisson et aux oméga-3 étaient plus minimes que ce qu’on croit et ce qu’on nous martèle depuis un bon moment?

C’est le constat auquel semblent arriver des chercheurs du National Institute for Health and Care Excellence, qui publient un rapport indiquant des effets réels, mais « minimes », en ce qui concerne ces fameux oméga-3, suppléments du genre, et huiles de poisson diverses.

Si l’association en question voit juste, la vraie question serait donc plutôt : sommes-nous victimes de propagande?

« Les nouvelles preuves démontrent que les risques d’accidents cardiovasculaires sont maintenant en baisse à cause des nouveaux traitements offerts. Cela signifie que l’impact des huiles de poisson sur les crises cardiaques serait minime », lance un porte-parole du National Institute for Health and Care Excellence.

Un nouveau point de vue fort intéressant…

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Les effets pervers de la malbouffe pourraient être contrés par l’huile de poisson

Après quelques études parues récemment qui invalidaient certains bienfaits précédemment reconnus des oméga-3 et des huiles de poisson, en voici une nouvelle qui pourrait convaincre certaines personnes de s’en procurer.

Surtout celles qui aiment bien consommer de la malbouffe, rapporte Science Daily, car cette nouvelle propriété en serait une protectrice contre les frites, les sodas et les hamburgers de ce monde.

Plusieurs recherches démontrent depuis longtemps que la consommation de malbouffe a des effets bien réels sur le cerveau. Les quantités alarmantes de sel et de sucre contenues dans plusieurs repas populaires ne joueraient donc pas seulement sur notre poids et notre corps, mais aussi sur les performances mentales.

Or, après avoir analysé les données compilées de pas moins de 180 recherches sur le sujet, des chercheurs de l’Université de Liverpool sont arrivés à la conclusion que ce problème peut être contré par la consommation d’huile de poisson.

L’huile serait capable, notamment, de freiner les effets néfastes de ces aliments en stabilisant les taux de sucre et de gras, ce qui permet une meilleure protection du cerveau.

D’autres recherches sur le sujet restent à venir, mais les chercheurs britanniques en tête de l’étude semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Le poisson et la tension artérielle

Le poisson pourrait bien se découvrir une nouvelle vertu, rapporte Top Santé.

Le site partage une étude allemande qui laisse présager les bienfaits du poisson, plus particulièrement du DHA (présent dans les oméga-3) sur la tension artérielle.

Ce sont des tests concluants sur des souris qui permettent aux chercheurs allemands d’être optimistes et de confirmer les effets du DHA sur la pression artérielle.

Cependant, on tient à préciser que ce ne sont pas tous les oméga-3 qui offrent cet effet, notamment en ce qui concerne les suppléments.

Plusieurs types de DHA n’auraient aucun effet, et certains contrecarreraient même les effets bénéfiques du poisson sur l’organisme. Il est donc préférable de bien s’informer auprès d’un spécialiste ou d’un praticien.

« L’apport non naturel d’oméga-3 peut donc aussi avoir des effets contre-productifs. Chez les sujets en bonne santé, l’apport de ces acides gras comme l’acide docosahexaeonic (DHA) par la consommation de poissons gras comme le hareng, le saumon et le maquereau doit donc être privilégié », concluent les auteurs de l’étude.

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Des bébés plus en santé grâce aux oméga-3

Susan E. Carlson, professeure en nutrition à l’Université du Kansas, a mené l’enquête auprès d’un groupe de 300 femmes enceintes et en santé. 154 d’entre elles devaient prendre 600 milligrammes de DHA (forme d’oméga-3), et 147 prenaient un placebo.

Au terme de leur grossesse, les femmes ayant pris les suppléments donnaient naissance à des bébés en moyenne plus gros d’une demi-livre. De plus, ils étaient plus grands, et la circonférence de leur tête était plus élevée.

Quant aux femmes enceintes qui avaient pris le placebo, plus de 5 % ont donné naissance à leur bébé à la 34e semaine ou moins, contre 0,6 % pour l’autre groupe de femmes.

D’ailleurs, Carlson a affirmé que le pourcentage obtenu par le groupe de femmes avec le placebo était très similaire au reste de la population des femmes enceintes. « Les femmes devraient en parler avec leur médecin, afin de savoir si elles devraient prendre le supplément d’oméga-3. »

Les résultats de l’étude sont publiés dans la revue en ligne American Journal of Clinical Nutrition.

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Impact positif des oméga-3 sur le cancer du sein

Plusieurs spécialistes avançaient que les oméga-3 ont un impact sur la prévention et sur la progression du cancer du sein, mais personne ne l’avait officiellement démontré.

Selon Santé Log, une nouvelle étude sur le sujet prouverait finalement cette théorie, qui parle même de la capacité de ces acides gras à réduire du tiers la croissance de ces tumeurs.

Les femmes gagneraient donc à adopter un régime alimentaire qui comprend des oméga-3, croient fermement les chercheurs de l’Université Guelph, en Ontario.

« Nous montrons qu’une exposition à vie aux oméga-3 joue un rôle bénéfique dans la prévention du cancer du sein. Nous prouvons que les oméga-3 sont le facteur moteur de cet effet bénéfique. », se réjouit le Dr David Ma, professeur et co-auteur de l’étude.

Pour arriver à ce constat, l’équipe du Dr Ma a littéralement créé un type de souris qui développe des tumeurs mammaires, un fait qui semble relever de la fiction. D’autres souris similaires ont ensuite été créées, avec en prime une autre capacité, celle de produire simultanément des oméga-3.

Les rongeurs du deuxième groupe ont développé trois fois moins de tumeurs que les autres, et ces dernières étaient 30 % moins grosses en se développant.

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Les oméga-3 et la DMLA

Les oméga-3 ont un impact bénéfique sur la santé, on le sait, mais ils pourraient aussi jouer un rôle important dans la prévention de la DMLA, rapporte Santé Log.

Avant d’expliquer cette cause à effet, il serait bon d’expliquer en quoi consiste la DMLA. Cette dernière semble complexe, mais elle est pourtant toute simple. Il s’agit de la dégénérescence maculaire liée à l’âge, un problème qui survient souvent chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge.

Selon les chercheurs français, les oméga-3 pourraient aider à prévenir ce navrant syndrome, et ainsi aider à conserver des yeux en santé le plus longtemps possible.

La DMLA serait par ailleurs la raison numéro un des cas de cécité dans les pays les mieux développés, notamment en Amérique. Il est ainsi important de trouver des pistes de solutions pour une population qui continue de vieillir, selon les moyennes.

Intéressant donc de constater qu’une piste naturelle est envisagée.

D’autres facteurs peuvent influencer les chances de souffrir de la DMLA, soit le tabagisme, le régime alimentaire ainsi que l’hérédité (ADN).