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D’autres bienfaits pour les femmes qui mangent régulièrement du poisson

C’est une récente étude effectuée par l’équipe de Sharon Curhan, publiée dans la revue scientifique American Journal of Clinical Nutrition, qui conclut à cette association.

Il avait déjà été suggéré dans d’autres recherches que les acides gras et les oméga-3 présents dans le poisson comportaient des bienfaits pour l’ouïe. Cependant, peu de résultats concluants avaient été présentés jusqu’ici.

Curhan explique : « Bien que la détérioration auditive est souvent considérée comme un aspect inévitable du vieillissement, l’identification de plusieurs facteurs de risque potentiellement modifiables nous fournit des possibilités de prévenir ou du moins de retarder la perte de l’audition ».

Une cohorte de 65 215 femmes a servi pour la présente étude. Celles-ci ont été suivies de 1991 à 2009.

En vérifiant l’alimentation de ces femmes, les chercheurs ont réalisé que celles qui consommaient du poisson 2 fois ou plus par semaine avaient 20 % moins de risques de perte auditive que celles qui mangeaient rarement du poisson.

Ceci confirme donc le lien entre l’apport d’oméga-3 et d’acides gras et la diminution du risque de perte d’audition chez la femme.

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Les enfants ont besoin d’un minimum d’aliments gras

Patrick Tounian, spécialiste en nutrition chez l’enfant, rapporte que « trop d’enfants seraient en dessous des apports quotidiens lipidiques recommandés ».

Les acides gras compris dans les aliments (oméga-3) sont indispensables au développement du cerveau des enfants de moins d’un an, explique Top Santé. Voilà une première raison qui devrait convaincre les parents de baisser un peu la garde sur les aliments dits « gras ».

Contrairement aux adultes qui ne doivent pas dépasser de 35 à 40 % de lipides quotidiennement, l’alimentation d’un enfant de moins de 3 ans doit en être constituée de 45 à 50 %. On retrouve ces lipides principalement dans les produits laitiers et les poissons gras, mais il faut même ajouter un peu d’huile ou de beurre.

« Les besoins sont couverts tant que l’enfant ne consomme que du lait maternel ou infantile », spécifie cependant Tounian. Par contre, dès que vous intégrez les aliments solides, « il faudrait ajouter des matières grasses ».

Variez cependant entre acides gras végétaux et animaux. Il est possible de combler à l’aide de différentes huiles (colza, lin, tournesol et pépins de raisin).

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Du poisson au four ou grillé pour une meilleure santé cérébrale

Ce sont les chercheurs de l’Université de médecine de Pittsburgh qui affirment que peu importe la concentration d’oméga-3 comprise dans le poisson, c’est la régularité de sa consommation qui importe pour la santé cérébrale.

Comme le rapporte Science World Report, le Dr James T. Becker est catégorique. D’ici 2040, il estime à 80 millions le nombre de personnes recevront un diagnostic de démence. Bien entendu, les conséquences sur les familles des malades seront lourdes, mais le système de santé en souffrira aussi grandement.

La population étant vieillissante, les chercheurs encouragent donc les gens, dès qu’ils le peuvent, à inclure ces acides gras élevés en antioxydants dans leur alimentation. Les oméga-3 sont également présents en grande quantité dans les noix, les graines et certaines huiles.

Ils ne font pas que maintenir, mais améliorent la santé du cerveau et diminuent donc les risques d’Alzheimer. « Notre étude démontre que les gens qui mangent du poisson cuit ou grillé, mais pas frit ont un cerveau plus volumineux dans les régions associées à la mémoire et aux réponses cognitives. »

Les résultats ont été publiés dans la revue American Journal of Preventive Medicine.

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Les oméga-3 liés à un meilleur sommeil chez l’enfant

La recherche a été menée par une équipe de l’Université d’Oxford. Les chercheurs ont validé les conséquences d’un supplément d’algues (oméga-3) de 600 mg quotidiennement chez 362 enfants de 7 à 9 ans. Choisis de façon aléatoire, ceux-ci recevaient pendant 16 semaines le supplément ou un placébo.

Au début, rapporte Medical News Today, les spécialistes devaient vérifier la problématique au niveau de la lecture de ce groupe du primaire. Cependant, les questionnaires remplis par les parents ont révélé que 40 % d’entre eux souffraient d’un trouble du sommeil.

À l’aide d’un bracelet porté la nuit, l’équipe du professeur Paul Montgomery surveillait les enfants. Ils ont réalisé que ceux-ci gagnaient près d’une heure de plus de sommeil (58 minutes) avec le supplément d’oméga-3. Les épisodes d’éveil pendant la nuit diminuaient aussi considérablement. En moyenne, 7 réveils de moins.

Selon le collègue de Montgomery, Dr Alex Richardson, « de précédentes études que nous avons publiées démontrent un taux sanguin d’oméga-3 dangereusement bas chez les 7 à 9 ans. Cela pourrait être directement lié aux problèmes de comportement et d’apprentissage des enfants. Le mauvais sommeil de ceux-ci expliquerait également ces liens ».

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L’huile de krill pour réduire le cholestérol

Les données récoltées sur les vertus du krill, crustacé miniature dont les baleines se nourrissent, doivent encore être étoffées. Cependant, on sait déjà que l’huile extraite contribue à la réduction du cholestérol et des triglycérides sanguins, selon ce que rapporte Extenso.org.

L’huile de krill serait donc jusqu’à présent très bénéfique pour contrer les maladies du cœur.

Une seule étude a été menée à ce jour et consistait à mesurer l’efficacité de l’huile de krill sur le bilan lipidique sanguin. Trois groupes ont été formés. On leur administrait soit un placébo, de l’huile de poisson ou de l’huile de Krill.

Une fois la recherche terminée, le krill avait fait ses preuves. Les omégas-3 qu’il contient, bien que similaires à l’huile de poisson, sont mieux absorbées par le corps humain. D’autre part, ceux-ci ne se détériorent pas grâce à l’astaxanthine (antioxydant) non présente dans l’huile de poisson.

Les données se basent cependant sur 120 volontaires. D’autres recherches devront approfondir ces résultats.

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Lien confirmé entre les oméga-3 et le cancer de la prostate

Publiée dans la dernière édition du Journal of the National Cancer Institute, une étude confirme un lien entre la grande concentration des acides gras oméga-3 dans le sang et les risques de contracter le cancer de la prostate.

Ont participé à la recherche le scientifique Fred Hutchinson et son équipe de l’Université du Texas, l’Université de la Californie, l’Université de Washington, le National Cancer Institute et la Clinique Cleveland.

« La cohérence de ces résultats suggère que ces acides gras sont impliqués dans la tumorigenèse de la prostate, et que les risques potentiels devraient être sérieusement considérés lors des recommandations d’apport en acides gras oméga-3, en particulier grâce à la supplémentation », écrivent les auteurs de l’étude.

Ils ne savent toujours pas pourquoi des niveaux élevés d’acides gras oméga-3 peuvent augmenter le risque de cancer de la prostate, mais comme deux grandes études sont arrivées aux mêmes conclusions, la nécessité de poursuivre la recherche sur les mécanismes possibles devient évidente.

« Un des effets potentiellement nuisibles de ces acides est leur conversion en composés qui peuvent causer des dommages aux cellules et à l’ADN, ainsi que leur rôle dans l’immunosuppression », explique Hutchinson.

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Le chia : un super grain

Loin d’être nouveau, le chia était déjà très populaire auprès de certaines grandes civilisations anciennes comme les Aztèques, qui avaient l’habitude de l’utiliser à des fins alimentaires et médicinales, en plus d’en donner en offrande à leurs dieux.

Avec ses propriétés antioxydantes et son apport en oméga-3, en fibres et en protéines, ce n’est pas surprenant que ce grain connaisse de plus en plus de popularité un peu partout.

Sur le site Telegraph.co.uk, Ian Marber, un expert nutritionniste, explique ce qui fait que vous devriez considérer d’ajouter cette plante herbacée à votre régime.

Originaire du sud du Mexique et du Guatemala, il est maintenant surtout cultivé en Australie. En plus de ceux déjà nommés, les autres avantages du chia sont qu’il offre aussi une bonne source de potassium, de magnésium et de calcium.

Étant si complète, la graine de chia, aussi proposée sous forme d’huile, est idéale pour les végétariens, alors qu’ils doivent fournir un petit effort supplémentaire pour s’assurer d’avoir tout ce dont ils ont besoin du côté nutritif.

À cause de son goût plutôt amer et terreux, le chia est habituellement utilisé en sauce, dans les smoothies, les soupes et dans de nombreuses recettes plutôt que tel quel.

Pour en apprendre plus, vous pouvez consulter le site de Ian Marber.

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Les compléments d’oméga-3 inutiles sur les sujets à haut risque cardiaque

Les compléments d’huile de poisson riche en oméga-3 n’ont aucun effet sur les personnes à haut risque cardiovasculaire déjà traitées par des médicaments, montre une vaste étude clinique menée en Italie et publiée aux États-Unis.

« Dans un groupe étendu de patients avec de multiples risques cardiovasculaires (diabète, hypertension artérielle, cholestérol élevé, tabagisme et obésité), prendre quotidiennement des compléments d’acide gras oméga-3 n’a pas réduit la mortalité et la morbidité », écrivent les auteurs de cette étude parue dans le New England Journal of Medicine (NEJM) daté du 9 mai.

Des essais cliniques précédents ont laissé penser que ces compléments pouvaient diminuer les risques cardiovasculaires chez des sujets souffrant de défaillance cardiaque ou ayant déjà eu un infarctus.

Cependant, les compléments d’huile de poisson n’avaient pas eu d’effet préventif contre la fibrillation auriculaire, un trouble fréquent du rythme cardiaque, selon les résultats d’un grand essai clinique en 2010.

Cette dernière étude clinique a été menée avec 12 513 personnes en Italie, dont la moitié a pris des oméga-3, et l’autre un placebo constitué d’huile d’olive.

Douze ans après le début de l’étude, le taux de mortalité, d’accident vasculaire cérébral et d’infarctus était de près de 12 % dans chacun des groupes, précisent les chercheurs.

La recherche a été menée par le Dr Mario Negri de l’Institut de recherche pharmaceutique de Milan.

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Le chocho ou lupin changeant pourrait détrôner le quinoa

Il s’agit d’un « super aliment », du fait de sa grande teneur en protéines, sans gluten, rempli d’oméga-3, de fibres et de minéraux essentiels.

Même les Incas utilisaient le lupin changeant, et encore aujourd’hui, il s’agit d’un aliment de base dans les cultures équatorienne et péruvienne. Avec ses qualités nutritives, on comprend pourquoi!

De nos jours, ce légume sec s’utilise broyé dans la farine ou frit comme collation, dans les soupes, ragoûts et autres plats traditionnels. Comme il est utilisé dans la farine, on en fait également du pain. D’autres utilisent ses fèves pour confectionner boissons et desserts.

Pour le moment, le lupin n’est pas encore accessible en Amérique du Nord, du moins de façon générale. Il se peut que vous en trouviez broyé dans certains magasins bios. On l’appelle aussi parfois le chocho jamaïcain.

Son intégration à notre culture prendra sans doute un peu de temps, comme ce fut le cas pour le quinoa, encore inconnu il y a quelques années. D’autant plus que le lupin, selon Nutrition Unplugged, a un goût très amer. Selon ce que l’on dit, on doit laisser tremper le légume pendant des jours pour en retirer l’amertume.

Attendons donc qu’il soit ajusté à notre culture, mais attendons avec impatience, puisque ce seul aliment comblera de nombreux besoins alimentaires essentiels.

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Les suppléments et les oméga-3 n’amélioreraient pas les performances cognitives

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche sur les capacités cognitives, et qui attaque le mythe qui veut que la prise de suppléments alimentaires comme l’huile de poisson améliore les performances du cerveau.

Ces conclusions proviennent des recherches conduites à l’Hôpital St Michael de Toronto, et elles risquent de ne pas plaire aux amateurs de produits naturels et de compléments alimentaires, notamment ceux riches en oméga-3.

C’est qu’on associe depuis longtemps ces produits à une meilleure capacité cognitive, ce que réfutent les chercheurs canadiens.

Ces derniers suggèrent plutôt de se tourner vers des jeux qui stimulent le cerveau et l’esprit, comme de simples mots croisés ou encore le sudoku.

Plus efficaces, presque gratuits, et n’influençant aucunement votre régime alimentaire et vos apports nutritifs, ces jeux pourraient bien avoir un impact direct et vérifiable sur vos performances cognitives.

C’est après avoir analysé et compilé des données issues de 32 essais cliniques, qui touchaient par ailleurs près de 25 000 patients, que les chercheurs torontois sont arrivés à cette conclusion simple, mais importante.