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Grossesse : l’huile de poisson ne protège pas contre le surpoids du bébé

Auparavant, les chercheurs supposaient que la consommation de « mauvais » gras pendant la grossesse contribuait à la croissance excessive des tissus adipeux du nourrisson et que les « bons » acides gras oméga-3 empêchaient leur développement.

Une étude gérée par la Technische Universität München (TUM) n’a finalement montré aucune preuve à l’appui de cette théorie, explique Science Daily.

Lors des tests, plusieurs femmes ont augmenté leur consommation d’oméga-3 pendant la grossesse et l’allaitement. Ce régime n’a eu aucun effet sur la masse grasse de leur progéniture.

L’obésité est devenue une épidémie mondiale. De plus en plus d’enfants ont une surcharge pondérale. Selon l’Institut Robert Koch, 15 % des enfants âgés de 3 à 17 ans sont en surpoids.

L’obésité infantile a de graves incidences sur la santé. Le surpoids augmente notamment les chances de développer une maladie coronarienne ou un cancer à l’âge adulte.

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Des changements d’alimentation pour prévenir l’Alzheimer

Une équipe de l’Oregon Health & Science University confirme les bienfaits des oméga-3, que l’on retrouve dans les poissons gras et les suppléments, sur le cerveau.
 
En effet, les personnes âgées qui avaient un haut niveau d’oméga-3 ont obtenu de meilleurs résultats à des tests de mémoire.
 
Des imageries du cerveau ont également confirmé que les oméga-3 et les vitamines D, B, C et E étaient liés à un volume cérébral plus important.
 
Il est donc encourageant de constater qu’avec un ajustement de son alimentation, il est possible de freiner le rétrécissement du cerveau qui caractérise le déclin cognitif.
 
Par contre, les chercheurs ont aussi observé que les personnes avec un niveau élevé de gras trans dans le sang ont obtenu de moins bons résultats aux tests de mémoire et elles avaient moins de tissus cérébraux. Peu d’études avaient lié le gras trans avec le déclin cognitif jusqu’à présent.
 
Il n’existe encore aucun moyen fiable de prévenir la maladie d’Alzheimer et les autres démences, mais certains facteurs peuvent aider à prévenir ou ralentir leur progression, comme avoir une alimentation équilibrée, faire de l’exercice régulièrement, maintenir une bonne santé, ne pas fumer et contrôler sa pression sanguine et son niveau de cholestérol.
 
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Manger du poisson stimule la mémoire de 15 %

Il est déjà reconnu que manger des poissons gras comme le saumon ou la truite est bénéfique pour le cerveau. Une nouvelle étude affirme que les acides gras oméga-3 contenus dans ces aliments peuvent stimuler la mémoire de 15 %, rapporte le Daily Mail.
 
Ces nouveaux résultats démontrent une fois de plus qu’une alimentation riche en poisson préserve la santé du cerveau et aide à prévenir la démence.
 
Pendant six mois, 176 personnes ont reçu des suppléments d’acides gras oméga-3 que l’on retrouve dans les poissons. On a évalué leur mémoire et leurs capacités cognitives. Après six mois, leur mémoire s’était améliorée d’au moins 15 %.
 
On croit que les acides gras (DHA) sont la clé pour prévenir les maladies dégénératives du cerveau, comme l’Alzheimer qui est la forme la plus commune de démence.
 
Les DHA se concentrent surtout dans le cerveau et sont essentiels à sa structure et à son fonctionnement.
 
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Les oméga-3 plus bénéfiques avec les fibres

Lors de la conférence annuelle de l’American Institute for Cancer Research, les scientifiques ont démontré que les acides gras oméga-3 agissent en synergie avec les fibres alimentaires, ce qui diminue considérablement les risques de cancer du côlon.
 
Les études faites sur des tissus cellulaires et animaux démontrent que chacun est bénéfique pour la santé, mais une fois combinés, les fibres et les omégas-3 deviennent une arme puissante pour contrer la maladie, favorisant ainsi la mort des cellules précancéreuses et cancéreuses du côlon.
 
« Lorsque nous combinons une grande quantité de fibres et d’acides gras oméga-3, nous constatons un effet synergique que nous ne constatons pas avec un seul de ces nutriments. Nous identifions en effet de nouveaux mécanismes impliqués dans la protection contre le cancer du côlon », explique le professeur à l’Université du Texas et auteur principal de l’étude, Robert S. Chapkin.
 
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Le poisson bon contre la démence

Si vous mangez du poisson régulièrement, vous avez moins de risques de souffrir de démence plus tard. C’est ce qui ressort d’une étude rapportée par le Daily Mail.
 
Les bénéfices des oméga-3, acides gras que l’on retrouve beaucoup dans les poissons, ont déjà été prouvés à maintes reprises.
 
Toutefois, les chercheurs mentionnent que les oméga-3 n’améliorent pas les performances cognitives, mais qu’ils augmentent le flux sanguin vers le cerveau. Cela réduirait les risques de démence, de déclin cognitif et d’autres troubles mentaux chez les personnes âgées.
 
Maintenant, les scientifiques souhaitent mieux comprendre le mécanisme et les effets des oméga-3 sur le débit sanguin chez les personnes en bonne santé, afin que leur découverte puisse profiter aux personnes avec des problèmes cognitifs.
 
Comme la population est vieillissante, on ne cesse de pousser les recherches, car on s’attend à ce qu’il y ait de nombreux cas de démence dans les années à venir.
 
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Les oméga-3 contre l’arthrose

Le journal Osteoarthritis and Cartilage dévoile que les oméga-3 pourraient prévenir et même ralentir la progression de l’arthrose.
 
Des chercheurs de l’Université de Bristol ont effectué des études avec des porcs de Guinée. Ils ont constaté que ceux ayant reçu une alimentation riche en oméga-3 ont vu les symptômes de leur arthrose être diminués de 50 %.
 
Les acides gras de l’huile de poisson ou de lin diminuent également la dégradation du collagène dans les cartilages et la perte de molécules qui ont des propriétés d’amortissement.
 
Des tests sur les humains sont maintenant nécessaires pour savoir si l’on obtiendra les mêmes résultats.
 
Généralement, l’alimentation moderne offre beaucoup trop d’oméga-6 et trop peu d’oméga-3. En plus de prévenir et ralentir la progression de l’arthrose, les oméga-3 sont aussi reconnus pour leurs bienfaits sur le cerveau et les maladies cardiaques.
 
Jusqu’à présent, il n’existe aucun traitement efficace pour freiner la progression de l’arthrose.
 
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Les poissons gras et les noix pour réduire les risques d’allergies d’un enfant à naître

Les poissons gras et les noix peuvent réduire les risques d’allergies alimentaires potentielles.
 
Selon le Journal of Physiology, les futures mères qui souhaitent réduire les risques que leur futur bébé développe des allergies alimentaires devraient adopter une alimentation riche en poissons gras et en noix.
 
Selon les chercheurs, les acides gras oméga-3 contenus dans les poissons gras et les noix stimulent le système immunitaire et aident le futur enfant à réduire ses risques d’allergies.
 
Le bébé à naître produit alors de nombreux anticorps, son système immunitaire se développe et murit plus rapidement, réduisant ainsi les risques de futures allergies alimentaires possibles.
 
De plus, il a déjà été prouvé que les oméga-3 durant la grossesse pouvaient également influencer la future intelligence du bébé.

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Les oméga-3 réduisent la gravité des AVC

Alors que l’on savait déjà que les oméga-3 étaient bons pour le cerveau, le cœur, la dépression et certaines maladies des yeux, voilà que des chercheurs québécois ont découvert qu’ils réduisent aussi la gravité d’un accident vasculaire cérébral (AVC).
 
Selon des chercheurs de l’Université Laval, les souris qui ont consommé tous les jours des oméga-3 de type DHA ont vu les dommages d’un AVC être réduits de 25 %. Selon eux, ces résultats pourraient être transférables aux humains.
 
Selon le magazine scientifique Stroke, on a observé qu’une alimentation riche en oméga-3 pouvait réduire les molécules qui stimulent l’inflammation après un AVC et on constate qu’il y a plus de molécules toutefois pour freiner la mort des cellules.
 
« La consommation d’oméga-3 crée dans le cerveau un environnement anti-inflammatoire et neuroprotecteur qui atténue les dommages après un AVC. Elle prévient une réponse inflammatoire aiguë qui, si elle n’est pas contrôlée, est nuisible au tissu cérébral », explique la professeure Jasna Kriz de l’Université Laval.
 
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Poisson au menu pour une diminution des risques de prématurité

Magicmaman rapporte les résultats d’une étude publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology. La consommation de poisson pendant la grossesse diminue jusqu’à 40 % les risques d’accoucher avant terme.

Lorsque vient le temps de choisir un type de poisson chez l’épicier, les choix ne manquent pas. Du saumon à la morue, en passant par le doré ou le tilapia, peu importe la façon dont vous le cuisinez, le poisson est une excellente source d’oméga-3 et qui plus est, il est faible en gras.
 
Une récente recherche américaine s’ajoute aux diverses études menées pour diminuer les sources potentielles de prématurité. Les femmes ayant participé ont rempli un formulaire sur leurs habitudes alimentaires. L’objectif de l’étude consistait à déterminer la corrélation entre la consommation d’acides gras oméga-3 entre la 16e et la 22e semaine et les risques d’accoucher avant terme.
 
Les chercheurs ont obtenu des résultats probants, si l’on considère la diminution du risque de prématurité atteignant 40 % lors d’une consommation régulière de différents poissons, soit au moins 3 fois par semaine.
 
Cette habitude en est une à transmettre à bébé éventuellement, puisque cela contribue également à la diminution des risques d’asthme chez l’enfant.
 
À noter que la dépression est reliée entre autres au manque d’oméga-3 dans le cerveau. Ainsi, maman aura tout avantage à poursuivre elle aussi afin de diminuer les chances de dépression post-partum.
 
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L’huile de poisson diminuerait les envies d’alcool

Une équipe de l’École de médecine de l’Indian University a découvert par hasard que l’huile de poisson pouvait réduire les envies de consommer de l’alcool.
 
Les chercheurs étudiaient les effets des acides oméga-3 sur les troubles bipolaires. Comme ils s’y attendaient, les souris bipolaires étaient moins dépressives et leur vie était « normalisée ».
 
Toutefois, des résultats inattendus ont aussi pu être constatés. Comme bien des personnes avec des troubles bipolaires, les souris affectionnaient l’alcool. Avec l’ajout d’acides gras DHA, elles en consommaient beaucoup moins.
 
On a aussi donné les acides à des rats de laboratoire qui avaient des tendances alcooliques et les résultats ont été les mêmes. Avec l’huile de poisson, la consommation d’alcool était réduite.
 
Cela laisse croire qu’une alimentation riche en oméga-3 aiderait à prévenir les troubles bipolaires tout en aidant à éviter les abus d’alcool, rapporte le journal Translational Psychiatry.
 
Maintenant, les chercheurs veulent faire des tests sur des humains afin de vérifier s’ils obtiendront des résultats similaires.