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Les oméga-3 liés au cancer de la prostate

Douche froide sur les oméga-3. Le groupe d’acides gras, reconnu pour ses nombreux bienfaits sur la santé, vient de recevoir une gifle en plein visage.

Le centre de recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, aux États-Unis, vient de publier une étude dans l’American Journal of Epidemiology. Réalisée auprès de 3 461 hommes de plus de 55 ans, elle démontre qu’une grande concentration en acides oméga-3 engendrerait 2,5 fois plus de chance de développer un cancer de la prostate, ou que celui-ci se développerait plus rapidement.

L’étude réalisée de 1994 à 2003 a surpris les chercheurs. Depuis de nombreuses années, les oméga-3 avaient rallié la communauté scientifique.

Malgré ces résultats et devant le scepticisme qu’ils occasionnent, les chercheurs qui ont réalisé cette étude continuent de penser qu’il y a plus de bienfaits associés aux aliments riches en oméga-3, comme le poisson, car ils préviennent de nombreuses maladies. Il ne faut donc pas bannir ces aliments par crainte de contracter un cancer de la prostate.

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Un autre avis quant à l’huile de poisson

On apprenait dernièrement que la classique huile de foie de morue serait à bannir durant la grossesse, car elle pourrait causer des dommages au fœtus.

Une nouvelle recherche nous dit maintenant qu’elle serait bénéfique, de même que le poisson, pour prévenir la dépression postnatale, apprend-on sur Mail Online.
 
La grande quantité d’oméga-3 que ces aliments contiennent soutiendraient cette hypothèse. Il semble qu’en faire des réserves durant la grossesse donnerait une meilleure force mentale aux femmes quelques mois plus tard.
 
Toutes les méthodes de prévention de la dépression postnatale doivent bien sûr être prises en compte, car ce mal touche 13 % des mères.
 
Malgré ces résultats d’une équipe de l’Université du Connecticut, il semble que les doses doivent être quand même raisonnables, car trop d’huile de poisson durant la grossesse peut contrer le développement du bébé.

De plus, de nombreux poissons contiennent de forts taux de mercure. Ainsi, une femme enceinte ne devrait pas en prendre plus de deux fois par semaine.

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Prévenir le cancer dès le plus jeune âge

Une recherche de l’Université de Guelph sous-entend qu’un régime alimentaire comprenant beaucoup d’acides gras comme les oméga-3 serait la meilleure prévention du cancer du sein.

En fait, l’exposition aux oméga-3, même avant la naissance, réduirait de 20 % la taille et le nombre de tumeurs cancéreuses aux seins à l’âge adulte. Il semble donc que ce qu’un enfant mange et ce que sa mère a mangé durant la grossesse ont une forte incidence sur l’apparition du cancer.
 
Afin de soutenir ces hypothèses, les chercheurs se sont fiés à des données sur des embryons, des bébés et des tout-petits quant à l’influence de certains nutriments sur leur santé générale et future.
 
Le tissu mammaire est en croissance constante de la naissance à la première grossesse. On sait toutefois que certaines périodes du développement sont plus enclines aux mutations que d’autres, ce qui peut entraîner le cancer du sein. Chacune d’entre elles inclut différents facteurs de risque, dont le régime alimentaire.

Rappelons finalement que le cancer du sein est celui qui est le plus diagnostiqué chez les Canadiennes. Il est aussi la deuxième cause de décès chez les gens atteints du cancer.

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Poisson : Les bienfaits l’emportent sur les effets néfastes du mercure

Manger du poisson une ou deux fois par semaine demeure recommandé, car cela protège des maladies cardiovasculaires, même avec la présence de mercure.
 
Ces dernières années, on mentionnait que le mercure augmentait les risques d’infarctus, mais selon la nouvelle étude suédoise effectuée sur 900 adultes et publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, les effets protecteurs des oméga-3 l’emportent sur les effets potentiellement néfastes du mercure.
 
Sur les 900 personnes étudiées, la moitié avaient déjà eu un infarctus. Ces participants ont été interrogés sur leurs habitudes de consommation de poisson (1,26 fois par semaine en moyenne). On a ensuite analysé le taux de mercure, de sélénium et d’oméga-3 dans leur sang.
 
Les personnes qui consommaient le plus de poisson avaient un taux de mercure sanguin plus élevé. Toutefois, elles ont eu moins d’infarctus du myocarde également. Cela démontre que les bienfaits des oméga-3 l’emportent sur les méfaits du mercure.
 
Par contre, il est toujours préférable de ne pas consommer en trop grande quantité certaines espèces de poisson particulièrement contaminées, comme le requin, l’espadon, le maquereau ou le flétan.
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Les oméga-3 sont aussi bons pour les yeux

Reconnus pour leurs bienfaits sur le cerveau et le cœur, les oméga-3 viennent de se voir attribuer une nouvelle utilité par une équipe de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont à Montréal.
 
Les oméga-3 ralentiraient significativement la progression de la rétinopathie, une maladie des yeux qui affectent surtout les personnes diabétiques et quelques fois les bébés prématurés. Elle se caractérise par un développement anarchique de nouveaux vaisseaux sanguins et la personne atteinte perd progressivement la vue.
 
Selon le Science Translational Medicine, les oméga-3 arrêteraient cette croissance de vaisseaux. C’est la première fois que l’on obtient des résultats significatifs, car jusqu’à présent, même avec les traitements au laser et les médicaments, les résultats ne sont pas aussi spectaculaires.
 
Des essais cliniques auront bientôt lieu pour déterminer comment nous pourrions utiliser les oméga-3 comme traitement de la rétinopathie. Il s’agit donc d’un nouvel espoir pour les personnes atteintes de cette maladie.
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La dépression liée à un manque d’oméga-3

Les chercheurs ont découvert qu’un manque en oméga-3 pouvait causer un dysfonctionnement du système nerveux, ce qui entraîne de nombreuses dépressions.
 
Selon la revue Nature Neuroscience qui publie les résultats de cette nouvelle recherche, les souris qui avaient un régime pauvre en oméga-3 avaient une tendance plus dépressive, étaient plus anxieuses et avaient moins d’interactions sociales.
 
Déjà, les oméga-3 étaient reconnus pour leurs effets bénéfiques contre le cholestérol, l’obésité et contre les problèmes cardiovasculaires.
 
Notre alimentation quotidienne devrait donc avoir un équilibre en acides gras, mais il est préférable de privilégier les poissons gras, comme le saumon ou le thon, plutôt que d’opter pour des compléments alimentaires qui n’apportent pas la quantité suffisante d’oméga-3 pour maintenir une bonne santé physique et mentale.
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Oméga-3 et grossesse : prévenir la dépression

Une récente recherche parue dans Nature Neurscience a démontré qu’une trop faible quantité d’oméga-3 dans le cerveau influence négativement la transmission nerveuse, et ce, dès le moment où le fœtus se trouve dans le ventre de sa mère.

On a en effet pu remarquer chez des souris qu’une telle carence affaiblissait le fonctionnement des neurones reliés aux comportements anxieux et dépressifs.

Les oméga-3, des acides gras, jouent un rôle essentiel dans le développement du cerveau depuis le passage dans l’utérus jusqu’à l’adolescence.

Dans la présente expérience ayant porté sur des souris, on a pu statuer que la carence en oméga-3 influence deux parties du cerveau, soit le cortex préfrontal et le noyau accumbens. Ces parties sont responsables de la régulation émotionnelle et de la motivation, entre autres.

Rappelons finalement que les oméga-3 ne sont pas fabriqués par le corps et doivent être fournis par l’alimentation. Leur déficit est courant dans les pays industrialisés. On recommande de varier l’alimentation plutôt que de prendre des gélules.

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Manger du poisson pour empêcher la perte de vision

Des scientifiques ont découvert qu’une alimentation riche en poisson gras, comme le saumon, le maquereau ou le thon, pouvait prévenir la cécité des personnes âgées.
 
Les oméga-3 contenus dans ces poissons aideraient à prévenir la forme la plus fréquente de la perte de vision.
 
Le journal Ophthalmology rapporte qu’on a interrogé 2 400 personnes de 65 à 84 ans sur leurs habitudes alimentaires. Les personnes qui mangeaient au moins deux fois par semaine du poisson gras étaient moins susceptibles de développer une dégénérescence maculaire, laquelle cause la mort des cellules de la rétine.
 
Les chercheurs croient que les oméga-3 protègent les cellules contre les dommages du soleil.
 
La dégénérescence maculaire est la perte progressive de la vision centrale. Cela a comme conséquence que la personne ne peut plus voir directement devant elle. Ainsi, écrire, lire, conduire ou écouter la télévision, par exemple, sont des activités qui deviennent impossibles.
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Les oméga-3 de nouveau pointés du doigt

Après avoir démontré que la consommation d’oméga-3 ne ralentissait pas la maladie d’Alzheimer, des chercheurs affirment cette fois que ces suppléments n’ont aucun effet contre la fibrillation auriculaire, mieux connue sous le nom d’arythmie cardiaque.
 
Selon l’équipe de l’hôpital Brigham and Women de Boston, les oméga-3 sont donc utilisés pour rien dans les cas de problèmes d’arythmie qui touchent près de 250 000 Canadiens et qui augmentent les risques de formation de caillot de sang, causant des accidents vasculaires cérébraux.
 
663 personnes ont participé à cette recherche. Certaines ont reçu des placebos et d’autres, des gélules d’huile de poisson riches en oméga-3. Après six mois, les scientifiques n’ont constaté aucune différence des périodes de palpitation sur les deux groupes de personnes, rapporte le Journal of American Medical Association (JAMA).
 
Malgré tout, les oméga-3 auraient un bienfait, selon des chercheurs montréalais. Récemment, ils ont démontré que ces suppléments seraient efficaces pour traiter des personnes qui vivent une dépression.