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Les femmes enceintes doivent-elles éviter le poisson?

Le débat entourant la consommation de poisson durant la grossesse se continue de plus belle. Alors que la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis recommande de ne pas dépasser 12 onces de poisson par semaine dans la diète des femmes enceintes, les scientifiques claironnent que sa consommation a des effets bénéfiques pour le développement du cerveau de l’enfant.

La FDA limite cette consommation en raison de la présence de mercure dans les poissons, alors que la communauté scientifique l’encourage à cause des oméga-3, éléments essentiels au développement du cerveau du foetus.

« Des données récentes nous démontrent que les femmes ne mangent toujours pas assez de poisson et c’est vraiment inquiétant », a déclaré Judy Meehan, directrice générale de la National Healthy Mothers, Healthy Babies Coalition, une organisation destinée à faire connaître les plus récentes études sur la santé des mères et des enfants.

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La caféine, mauvaise pour le coeur

Lors d’un congrès organisé par l’European Society of Cardiology, la Dre Anna Vittoria Mattioli, de l’Université de Modène en Italie, a affirmé que les personnes qui boivent beaucoup de café et qui ne suivent pas un régime méditerranéen sont plus à risque d’être touchées par la fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque.

Selon la chercheuse, les sujets ayant participé à son étude qui consommaient plus de trois tasses de café quotidiennement étaient plus fréquemment associés à la maladie cardiaque.

De plus, ils étaient moins enclins à suivre une alimentation riche en antioxydants, en fruits et légumes et grains entiers, car ils préféraient ajouter de la viande rouge à leur menu.

« Notre recherche suggère qu’une grande consommation de café fait augmenter le risque d’arythmie chez les gens qui n’ont pas nécessairement d’antécédents cardiaques », a conclu Mme Mattioli.

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La caféine, mauvaise pour le coeur

Lors d’un congrès organisé par l’European Society of Cardiology, la Dre Anna Vittoria Mattioli, de l’Université de Modène en Italie, a affirmé que les personnes qui boivent beaucoup de café et qui ne suivent pas un régime méditerranéen sont plus à risque d’être touchées par la fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque.

Selon la chercheuse, les sujets ayant participé à son étude qui consommaient plus de trois tasses de café quotidiennement étaient plus fréquemment associés à la maladie cardiaque.

De plus, ils étaient moins enclins à suivre une alimentation riche en antioxydants, en fruits et légumes et grains entiers, car ils préféraient ajouter de la viande rouge à leur menu.

« Notre recherche suggère qu’une grande consommation de café fait augmenter le risque d’arythmie chez les gens qui n’ont pas nécessairement d’antécédents cardiaques », a conclu Mme Mattioli.

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Du poisson contre la démence

Une étude, dont les résultats se retrouvent dans l’American Journal of Clinical Nutrition, démontre que le déclin cognitif diminue de 19 % lorsque l’alimentation est riche en poisson.

Les travaux menés auprès de plus de 15 000 participants par le Dr Emiliano Albanese du King’s College de Londres suggèrent également que la consommation de viande rouge est associée à un risque accru de démence.

Le chercheur croit toutefois que d’autres recherches supplémentaires devront être effectuées afin de corroborer ses résultats, qu’il attribue aux oméga-3 que l’on trouve particulièrement dans des poissons gras comme le saumon, le thon et le maquereau.

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Des oméga-3 contre le cancer de la prostate

La recherche menée par l’équipe du Dr John S. Witte, de l’Institute for Human Genetics, Epidemiology & Biostatistics de San Francisco, démontre que les oméga-3 font diminuer l’incidence de cancer de la prostate.

Pour cette étude, dont les résultats se retrouvent dans la revue médicale Clinical Cancer Research, 466 hommes souffrant d’un cancer de la prostate à un stade avancé et 478 sujets en bonne santé ont été suivis par le Dr Witte.

« Nous avons découvert une association marquée entre la consommation d’acides gras et le cancer de la prostate », a mentionné le chercheur qui précise que le risque de ce type de cancer diminue de 63 % chez les hommes qui consomment beaucoup d’oméga-3.

Rappelons que l’on retrouve les oméga-3 dans les poissons gras, comme le saumon, les graines de lin et certains légumes verts, comme le chou.

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Une autre vertu des oméga-3

Les travaux menés par le chercheur Michel Lucas et son équipe de la Faculté de médecine de l’Université Laval les amènent à conclure que les oméga-3 diminuent la détresse psychologique et les symptômes dépressifs légers chez les femmes en périménopause et ménopause.

120 femmes âgées entre 40 à 55 ans ont participé à cette recherche publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition. Le groupe a été réparti en deux, alors que le premier consommait quotidiennement trois gélules d’oméga-3 pendant huit semaines, tandis que le second prenait des gélules contenant de l’huile de tournesol.

Par la suite, les chercheurs ont noté une amélioration significative de l’état psychologique chez le premier groupe. « Les différences que nous avons observées entre les deux groupes ne sont pas anodines. Surtout si on considère que les oméga-3 ont peu d’effets secondaires et qu’ils procurent des bienfaits sur le plan de la santé cardiovasculaire », a mentionné M. Lucas.

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Le vin et les oméga-3

Les travaux du Dr Romina di Giuseppe, de l’Université catholique de Campobasso en Italie, démontrent qu’un ou deux verres de vin par jour augmentent le taux d’oméga-3 dans le corps humain, ce qui ne peut qu’être bénéfique pour le coeur.

Ce phénomène est dû au fait que les polyphénols contenus dans le vin, une sorte d’oméga-3, diminuent le taux de triglycérides, une variété de lipides. Les polyphénols réduisent l’inflammation et préviennent les irrégularités au niveau du rythme cardiaque.

De plus, les oméga-3 augmentent le taux de « bon cholestérol » dans le sang, réduisant ainsi l’incidence de caillots sanguins.

1 604 adultes, âgés de 26 à 65 ans, ont participé à cette recherche.

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Le vin et les oméga-3

Les travaux du Dr Romina di Giuseppe, de l’Université catholique de Campobasso en Italie, démontrent qu’un ou deux verres de vin par jour augmentent le taux d’oméga-3 dans le corps humain, ce qui ne peut qu’être bénéfique pour le coeur.

Ce phénomène est dû au fait que les polyphénols contenus dans le vin, une sorte d’oméga-3, diminuent le taux de triglycérides, une variété de lipides. Les polyphénols réduisent l’inflammation et préviennent les irrégularités au niveau du rythme cardiaque.

De plus, les oméga-3 augmentent le taux de « bon cholestérol » dans le sang, réduisant ainsi l’incidence de caillots sanguins.

1 604 adultes, âgés de 26 à 65 ans, ont participé à cette recherche.

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L’alimentation joue un rôle sur l’Alzheimer

Les travaux de Frédéric Calon, chercheur à l’Université Laval, ont prouvé que les aliments riches en gras animal augmentaient l’incidence de la maladie de l’Alzheimer.

Pendant neuf mois, l’équipe du professeur Calon a soumis deux groupes de souris transgéniques à plusieurs régimes alimentaires afin d’analyser les effets sur leur cerveau.

Celles dont l’alimentation était pauvre en oméga-3 et riche en gras présentaient un taux plus élevé de protéines bêta-amyloïdes et de protéines tau, qui sont à l’origine des plaques séniles dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie neurodégénérative.

De plus, une alimentation riche en gras signifie aussi une baisse de la protéine drébrine dans le cerveau, un autre phénomène associé à la maladie d’Alzheimer.

Tous les détails de cette recherche sont en ligne sur le site de Neurobiology of Aging.

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Les poissons gras diminuent les risques de démence

Selon des chercheurs finlandais, les gens qui consomment des poissons gras, cuits ou bouillis, courent moins de risques de subir des lésions au cerveau pouvant causer des problèmes de mémoire ou la démence.

Les chercheurs de l’université de Kuopio, en Finlande, sont parvenus à cette conclusion après avoir étudié les cas de 3 660 personnes âgées de plus de 65 ans.

La haute teneur en oméga-3 dans les poissons gras, comme le thon ou le saumon, serait la principale raison de cette découverte.

On savait que les poissons et l’huile de poisson pouvaient aider à prévenir la détérioration de la mémoire, mais c’est la première étude qui démontre que ces poissons permettent de réduire les lésions au cerveau. 

Les chercheurs finlandais ont trouvé que les patients qui consomment des poissons gras trois fois et plus par semaine ont 26 % moins de chance d’avoir une lésion au cerveau.