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Le poisson, allié de votre coeur

Une nouvelle étude réalisée par des chercheurs américains, qui sera publiée la semaine prochaine dans le Journal of the American College of Cardiology, indique que les gens qui consomment du poisson ont moins de problèmes cardiaques.

Les gens qui mangent régulièrement du poisson ont des artères en meilleure santé et plus d’oméga-3 dans le sang. Les oméga-3 sont de bons acides gras présents en grande quantité dans le poisson.

L’enquête a été réalisée auprès de 870 personnes quadragénaires, parmi lesquelles on retrouve des Japonais nés et vivants au Japon, ainsi que des Américains, dont certains sont d’origine japonaise. Les Japonais sont réputés pour manger énormément de poisson, comparativement aux Américains.

Les chercheurs ont comparé le degré d’athérosclérose des patients. Seulement 9 % des Japonais présentaient un début de maladie, contre 26 % des Américains d’origine européenne et 31 % des Américains d’origine japonaise. Cette caractéristique ne serait donc pas génétique.

Les chercheurs pensent que cette meilleure santé cardiovasculaire serait due à l’alimentation riche en poissons et en oméga-3 des habitants du Japon. L’expérience a également montré que les Japonais avaient un taux d’oméga-3 dans le sang deux fois supérieur à celui des Américains.

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Un médicament qui cause la controverse

La Dre Lili Wang et son équipe de l’Université Memorial, à Saint-Jean de Terre-Neuve, ont utilisé de l’huile de phoque, riche en oméga-3, pour mettre au point un médicament anti-inflammatoire qui pourrait être commercialisé à l’échelle mondiale d’ici cinq ans.

Toutefois, la mise en marché sur le territoire européen pourrait poser problème, puisque l’Union européenne s’apprête à adopter un projet de loi visant à interdire l’importation des produits dérivés du phoque sur son territoire.

Alors que la Dre Wang croit que l’Union européenne devrait revenir sur sa décision, il en est autrement pour Christophe Marie, de la Fondation Brigitte Bardot : « Les oméga-3, on en trouve dans beaucoup de produits. On n’a pas besoin de tuer des phoques pour en trouver. De toute façon, on veut toujours trouver de bonnes excuses pour perpétrer des choses qu’on dénonce très fortement. »

Du côté de Terre-Neuve, le gouvernement de Danny Williams menace déjà l’Europe de sanctions économiques si la loi contre l’importation des produits à base d’huile de phoque est adoptée.

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L’oméga 3, cet inconnu

Un sondage téléphonique mené par Ipsos-Reid auprès de 600 nouvelles mamans canadiennes nous apprend qu’environ le tiers d’entre elles ignore les bienfaits du DHA, un oméga 3 reconnu pour favoriser le développement cognitif et visuel chez les bébés.

« Des recherches ont démontré que le DHA (ou acide docosahexanoique) doit être présent à des concentrations élevées dans le cerveau et la rétine de l’oeil pour favoriser le développement normal, ce qui est particulièrement important chez les nourrissons », suggère le Dr Jacques Simard, pédiatre au Centre pédiatrique de Laval.

Comme le corps humain ne peut produire que de faibles quantités de DHA, l’apport quotidien provient du lait maternel pour les nourrissons. Cette quantité peut varier en fonction de la consommation, chez la mère, de sources alimentaires de ce nutriment.

Des préparations sont aussi enrichies de DHA et peuvent être proposées aux bébés qui ne sont pas allaités par leur mère.

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Un QI plus élevé grâce au poisson ?

Une recherche publiée récemment dans l’American Journal of Epidemiology annonce que des bambins âgés de trois ans ont obtenu des résultats supérieurs à des tests d’intelligence lorsque leur mère a craqué pour les poissons lors de sa grossesse.

Les chercheurs apportent toutefois un bémol à ces résultats puisque le mercure contenu dans plusieurs produits de la mer semble avoir eu l’effet inverse. Les enfants exposés à cette substance lorsqu’ils étaient dans le ventre de leur mère ont moins bien performé à ces mêmes tests.

Pour la Dre Emily Oken et ses collègues de l’école de médecine de l’Université Harvard, les femmes enceintes ne doivent toutefois pas s’abstenir de consommer du poisson lors de la grossesse en raison du mercure puisque les effets des oméga-3 sur le développement du cerveau sont notables.

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Les vertus des oméga-3 sur le foetus

Une recherche menée par Gina Muckle et Éric Dewailly, de l’Université Laval, prouve que les acides gras polyinsaturés consommés lors des derniers mois de la grossesse par les futures mamans favorisent le développement sensoriel, cognitif et psychomoteur de leur bébé.

Pour ce faire, les scientifiques ont analysé le taux de DHA, un oméga-3, dans le cordon ombilical de 109 enfants.

Par la suite, des tests de mesure de l’acuité visuelle et du développement cognitif et psychomoteur ont été effectués chez les poupons âgés de 6 à 11 mois. « Ces résultats démontrent le rôle crucial de l’exposition prénatale aux oméga-3 dans le développement de l’enfant », a mentionné la Dre Muckle.

Cette recherche, publiée dans la revue Journal of Pediatrics, démontre donc l’importance de l’alimentation de la mère dans le développement de son bébé.

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Favoriser le poisson

C’est que le poisson contient une source importante d’Oméga-3, des acides gras nécessaires au bon développement du cerveau, des yeux et des nerfs. Les Oméga-3 aideraient aussi à prévenir plusieurs maladies, dont celles du coeur, l’Alzheimer et le Parkinson.

Leur consommation doit cependant être suffisante. « On consomme très peu de poisson en Amérique du Nord. Au Québec, c’est une fois par mois en moyenne, alors qu’on recommande d’en manger deux à trois fois par semaine !» a indiqué la nutritionniste Marie Breton au quotidien Le Soleil.

Le hareng, le maquereau, la sardine, le saumon et la truite sont ainsi à privilégier dans nos repas, tout comme certaines sources végétales. La graine de lin, le soya, le canola et les noix de Grenoble contiennent également l’acide gras convoité.

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Un autre bienfait des oméga-3

Une équipe de cher­cheurs de l’Uni­ver­si­té La­val prouve que les oméga-3 pourraient éloigner les risques de souffrir de la maladie de Par­kin­son.

Lors de l’étude, qui a débuté en 2005, Fré­dé­ric Ca­lon et Fran­ces­ca Cic­chet­ti ont étudié un premier groupe de souris nourries d’une moulée enrichie d’oméga-3 et un autre avec de la moulée ordinaire.

Les chercheurs ont ensuite administré le MPTP, un composé toxique dont les effets sur le cerveau sont semblables à la maladie de Par­kin­son.

Il semble que le premier groupe de souris ait été « protégé » par sa consommation quotidienne d’oméga-3, contrairement au deuxième groupe de souris qui a développé tous les symptômes de la maladie dégénérative.

Les effets positifs des oméga-3 que l’on retrouve naturellement dans les pois­sons et les graines de lin ne cessent de s’allonger. « Ce qu’il ­faut re­te­nir, c’est qu’il ­faut évi­ter ­d’être en ca­ren­ce d’omé­ga-3, sur­tout les per­son­nes ­âgées », avertit le pro­fes­seur Ca­lon.

Ca­lon prévoit évaluer le métabolisme des souris pour une plus longue période et éventuellement analyser les bienfaits des oméga-3 sur les humains.

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À propos des oméga-3

D’après les travaux du docteur Hernando Leon, de l’Université de l’Alberta, bien qu’il soit conseillé de consommer des oméga-3, ces derniers ne protégeraient pas autant qu’on le croit.

Selon l’étude présentée au Congrès de la Fondation des maladies du coeur et de la Société canadienne de cardiologie, les oméga-3 aideraient à réduire de 20 % le risque de développer certaines maladies cardiaques. Cependant, l’acide gras n-3 n’empêcherait pas de faire de l’arythmie, c’est-à-dire d’avoir un rythme cardiaque irrégulier. De plus, les oméga-3 n’empêcheraient pas que survienne un infarctus.

Malgré les études précédentes concernant les effets des oméga-3, le mécanisme d’action de ces derniers n’a pu être clairement identifié, selon le docteur Leon.