Catégories
Uncategorized

La vitamine D et les oméga-3, un duo de choc pour contrer l’Alzheimer?

Des chercheurs américains sont parvenus à déterminer le processus de fonctionnement de la vitamine D (D3) et des oméga-3 sur le système immunitaire, qui permettrait notamment d’annihiler ce qu’on appelle les plaques amyloïdes.

Ces dernières se retrouvent au cerveau et sont une caractéristique de la maladie d’Alzheimer.

Selon les conclusions de ces chercheurs californiens, rapportées par Santé Log, la vitamine D3 permet d’éliminer les plaques amyloïdes en éradiquant sa protéine, la protéine bêta-amyloïde.

Même son de cloche concernant les oméga-3, qui permettraient la même chose, sauf que dans ce cas-ci, on s’attend à d’autres recherches sur le sujet afin d’avoir un portrait plus clair.

C’est que les oméga-3 et leurs effets sur la santé, notamment sur le cerveau, font l’objet d’une certaine polémique au sein de la communauté scientifique.

Toutefois, pour les chercheurs de l’Université de Californie en tête de l’étude, la vitamine D et les oméga-3 pourraient constituer un intéressant cocktail pour plusieurs patients.

Catégories
Uncategorized

Importante mise au point concernant les gras et les oméga-6

Santé Log rapporte une importante mise au point et mise en garde concernant le mythe que les graisses animales sont adéquatement remplaçables par des oméga-6 dans le cadre d’un régime alimentaire sain et équilibré.

En fait, pour les chercheurs australiens et américains en tête de l’étude, ce comportement pourrait non seulement ne pas rallonger l’espérance de vie comme plusieurs le croient, mais plutôt la raccourcir.

Selon ce plus récent rapport publié dans l’édition actuelle du British Medical Journal, on ne peut remplacer les gras saturés et les graisses animales par les oméga-6, retrouvés notamment dans la margarine, les huiles végétales, les noix et les grains entiers.

Bien que l’un ne remplace pas l’autre, on indique qu’il est important de compter sur des apports alimentaires variés, sans abus. Donc, il faut manger des viandes avec modération pour éviter les risques de maladies cardiaques, mais elles sont tout de même les bienvenues dans un régime sain.

Les huiles végétales et autres sources d’oméga-6 sont également conseillées, mais en abuser peut mener à des problèmes de santé et même certaines maladies chroniques comme le diabète, apprend-on.

Catégories
Uncategorized

Les oméga-3 ne préviendraient pas la fibrillation auriculaire

Plusieurs études et recherches ont suggéré dans le passé que les oméga-3 étaient bénéfiques pour contrer les effets de la fibrillation auriculaire, ou atriale, une condition qui se définit par des battements irréguliers du cœur.

La plus récente étude sur le sujet, rapportée par www.nlm.nih.gov, suggère qu’il n’en est rien. À tout le moins, si les oméga-3 ont un effet sur cette condition, il serait minime, selon les chercheurs.

« Il n’y a aucun rôle de prévention joué par les oméga-3 en ce qui concerne la fibrillation auriculaire. Les patients qui souffrent de cette condition n’obtiennent pas de résultats grâce aux oméga-3. Par contre, il est possible que ceux-ci puissent aider à la prévention, mais la preuve est loin d’être faite », lance un Dr Alejandro Macchia convaincu.

Ce dernier est responsable de l’étude et voit d’un mauvais œil que l’on attribue aveuglément des propriétés aux oméga-3.

Les problèmes de fibrillation auriculaire sont plus communs qu’on pourrait le croire et peuvent mener à de sérieux problèmes de santé, voire la mort, en plus d’être très coûteux aux systèmes de santé dans le monde.

Les chercheurs indiquent cependant que la prise d’oméga-3 ne peut nuire aux gens qui souffrent de cette condition, et que ceux-ci possèdent réellement de belles qualités pour la santé cardiaque.

Catégories
Uncategorized

Maximiser l’impact des oméga-3 lors de la cuisson des poissons

C’est bien connu maintenant : les poissons sont LA source d’oméga-3 par excellence. Ces acides gras sont reconnus pour leurs nombreuses vertus sur la santé et pour la prévention de certaines maladies graves.

Encore faut-il savoir apprêter le poisson correctement, afin d’en retirer tous les bénéfices. C’est ce qu’explique e-sante.fr, qui rapporte qu’il existe plusieurs méthodes pour y parvenir.

D’abord, il serait préférable d’effectuer une « cuisson douce », c’est-à-dire en évitant de cuire les poissons à très haute température. On prône notamment la cuisson à la vapeur ainsi que le bain-marie.

Ensuite, il semble primordial d’éviter les corps gras étrangers lors de la cuisson si l’on veut maximiser les impacts des oméga-3 dans notre assiette. Les huiles de cuisson grasses et le beurre, par exemple, viennent « éponger » les oméga-3 et vous empêchent de les consommer.

On suggère donc d’éviter de cuire avec ces matières ajoutées, mais il est possible d’en ajouter une fois dans l’assiette.

Par ailleurs, on signale que la consommation d’oméga-6 vient contrecarrer les effets des oméga-3. Si vous désirez suivre une diète qui implique une hausse des oméga-3 dans votre alimentation, vous devrez veiller à abaisser votre consommation d’oméga-6.

Catégories
Uncategorized

Maximiser l’impact des oméga-3 lors de la cuisson des poissons

C’est bien connu maintenant : les poissons sont LA source d’oméga-3 par excellence. Ces acides gras sont reconnus pour leurs nombreuses vertus sur la santé et pour la prévention de certaines maladies graves.

Encore faut-il savoir apprêter le poisson correctement, afin d’en retirer tous les bénéfices. C’est ce qu’explique e-sante.fr, qui rapporte qu’il existe plusieurs méthodes pour y parvenir.

D’abord, il serait préférable d’effectuer une « cuisson douce », c’est-à-dire en évitant de cuire les poissons à très haute température. On prône notamment la cuisson à la vapeur ainsi que le bain-marie.

Ensuite, il semble primordial d’éviter les corps gras étrangers lors de la cuisson si l’on veut maximiser les impacts des oméga-3 dans notre assiette. Les huiles de cuisson grasses et le beurre, par exemple, viennent « éponger » les oméga-3 et vous empêchent de les consommer.

On suggère donc d’éviter de cuire avec ces matières ajoutées, mais il est possible d’en ajouter une fois dans l’assiette.

Par ailleurs, on signale que la consommation d’oméga-6 vient contrecarrer les effets des oméga-3. Si vous désirez suivre une diète qui implique une hausse des oméga-3 dans votre alimentation, vous devrez veiller à abaisser votre consommation d’oméga-6.

Catégories
Uncategorized

Les oméga-6 n’augmenteraient pas les risques d’attaque cardiaque

La polémique concernant les oméga-6, qui commencent à faire parler d’eux de plus en plus, fait rage depuis un certain temps.

La communauté scientifique est profondément divisée sur le sujet, alors que plusieurs chercheurs croient aux bienfaits des oméga-6 sur le cœur. D’autres sont plutôt convaincus qu’ils peuvent augmenter le risque de problèmes cardiaques éventuels, en plus de provoquer des inflammations.

L’étude dont il est question tentait de déterminer les effets des oméga-6 en évaluant les dossiers de 22 000 Américains, des hommes, sur une période de 17 ans. Par la suite, on a comparé les dossiers des 788 sujets qui ont développé des problèmes cardiaques avec ceux qui avaient le même profil (âge, sexe, paramètres), mais qui n’en avaient pas développé, explique www.nlm.nih.gov.

Au final, on sent que le débat risque de faire rage encore longtemps, puisque les notions et conclusions varient d’une étude à l’autre. Pour celle-ci, par exemple, tout ce que les chercheurs arrivent à affirmer avec certitude, c’est que les oméga-6 ne seraient pas néfastes pour la santé.

De là à dire qu’ils protègent, il y a un pas à franchir. Cependant, tous semblent s’entendre pour dire que les oméga-6 ont le mérite de gérer la haute pression, un facteur de risque des maladies cardiovasculaires.

Catégories
Uncategorized

Le poisson : oui, mais attention au mercure

Les études et suggestions provenant de nutritionnistes de partout qui conseillent de manger beaucoup de poisson sont un peu contredites par un rapport qui met en garde la population mondiale contre les dangers du méthylmercure.

Cet élément serait très présent dans les produits de la mer et peut avoir un effet néfaste sur la santé, notamment sur le cerveau.

On le sait, les poissons contiennent des oméga-3, éléments importants pour l’organisme et la prévention de plusieurs maladies. Or, cet effet pourrait être contrecarré par les taux de mercure qu’ils contiennent.

C’est du moins ce qu’affirme une coalition internationale, qui comprend pas moins de 94 organisations, dans un rapport déposé et rapporté par Santelog.com.

Les spécialistes veulent sensibiliser la population au problème, avant qu’un accord officiel soit signé. On attend justement la ratification d’un traité international par les Nations Unies, qui devrait légiférer dans le dossier.

Le traité devrait être finalisé pour janvier 2013.

D’ici là, on parle de consommer le poisson de façon raisonnable. Le rapport des bienfaits des oméga-3 comparativement aux effets néfastes du mercure est encore à définir. Les chercheurs croient que plusieurs autres études seront nécessaires pour savoir si un argument l’emporte sur l’autre.

Catégories
Uncategorized

Des gras de poisson qui aident à perdre du poids!

Il y a de quoi être stupéfait lorsqu’on lit que des aliments gras sont non seulement suggérés et conseillés, mais qu’ils peuvent aussi aider à perdre du poids!

C’est pourtant vrai dans le cas de plusieurs poissons, même en croquettes, rapporte topsante.com.

Plusieurs d’entre vous auront sans doute deviné que si l’on parle de poisson, on parle presque inévitablement d’oméga-3. C’est cette composante qui, alliée aux autres éléments, permettrait la « lipolyse », mot qui désigne l’action de fonte de graisses par l’organisme. On parle donc carrément d’aliment qui aide à maigrir, ici.

Plusieurs « bons » poissons sont cités, notamment le saumon, le hareng, les sardines et le flétan.

Vu la teneur élevée de ces aliments en iode, en protéines et en oméga-3, certains spécialistes n’hésitent pas à les conseiller, peu importe leur mode de cuisson ou leur format.

Par contre, on indique aux gens qui font congeler leurs poissons qu’ils ne doivent pas attendre trop longtemps avant de les consommer. Les bénéfices des oméga-3 seraient grandement diminués, alors que ceux-ci seraient coupés de 50 % après six mois de congélation.

Catégories
Uncategorized

Le manque d’oméga-3 lié à la dépression chez les femmes âgées

Plusieurs études récentes suggéraient un lien entre les symptômes de dépression et le manque d’oméga-3 dans l’organisme.

Cette fois, des chercheurs italiens ont décidé de pousser cette question plus loin, en ciblant le phénomène chez les femmes plus âgées.

46 femmes âgées de 66 à 95 ans avec un diagnostic de dépression ont donc fait partie des patientes dans cette étude. On a par la suite séparé le groupe en deux, l’un recevant un complément alimentaire d’oméga-3, et l’autre, un placebo.

Les résultats, rapportés par Lanutrition.fr, sont plutôt clairs. Les chercheurs concluent qu’un taux plus élevé d’EPA dans le sang permet d’amoindrir les symptômes de la dépression. Des changements d’humeur positifs ont également été notés chez ces personnes d’âge mûr.

Il faut cependant prendre note que les spécialistes italiens croient qu’il faut également regarder du côté des taux d’acides gras oméga-6, qui joueraient un rôle important dans le processus.

En clair, plus le taux d’oméga-3 est élevé, combiné à un taux d’oméga-6 faible, plus les symptômes liés à la dépression sont faibles.

Catégories
Uncategorized

Le poisson plus efficace que les suppléments d’oméga-3?

Selon une étude publiée par le Dr Luc Djoussé et rapportée par nlm.nih.com, il serait plus bénéfique de consommer du poisson que des suppléments d’oméga-3.

Ce serait vrai en tout cas en ce qui concerne les risques de problèmes cardiaques, l’étude ciblant principalement les liens observables entre les effets du poisson sur le cœur.

Après avoir compilé les données provenant de 20 000 hommes, le chercheur croit pouvoir conclure que le poisson réduit les risques de problèmes cardiaques. Cependant, les effets des oméga-3 vendus en suppléments sont loin d’être aussi convaincants et clairs.

Ces résultats vont de pair avec les recommandations de l’American Heart Association, affirme le Dr Djoussé.

Ces recommandations suggèrent à la population de consommer deux portions de poisson dit « gras » par semaine. On retrouve dans cette liste le saumon, les sardines, le thon et le hareng.

L’étude démontre que le risque de problèmes cardiaques est, en moyenne, diminué de 30 % chez les hommes qui consomment régulièrement du poisson.

La polémique entourant la prise d’oméga-3 en suppléments se poursuit donc, et parions que les débats ne font que commencer.