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Sport

L’OMS recommanderait de ne pas jouer au soccer avant 2021

Dans les coulisses

Le son de cloche change constamment. Doit-on reprendre l’action à huis clos ou non dans le sport professionnel? Il y a le docteur Fauci et la UEFA qui croient (et qui suggèrent même) un retour à la compétition prochainement… 

Mais d’un autre côté, il y a l’OMS qui auraient, selon certaines rumeurs en Europe, conseillé de suspendre toutes les activités de soccer durant 18 mois.

La rumeur proviendrait à la base d’un journal italien nommé La Repubblica.

L’organisation mondiale de la Santé, indiquant que le pire est encore à venir avec la COVID-19, ne recommencerait donc même pas (selon certaines sources, et non officiellement) de relancer les activités sans partisans.

Officiellement, l’OMS indique ne pas avoir suggéré une telle chose.

Toutefois, il faut comprendre que les décisions finales ne sont pas strictement prises par des gens issus du domaine de la santé. Au final, l’opinion de tous et chacun est pondérée et une décision est prise sous forme de consensus.

Il est difficile de croire que la FIFA et l’UEFA ne mettront pas de pression sur les épaules des gouvernements afin de pouvoir offrir des matchs de soccer d’ici l’automne 2021!

Il y a ÉNORMÉMENT d’argent en jeu et la société devra trouver un moyen de vivre avec le coronavirus. Le sport professionnel ne voudra pas être oublié durant des années. Il militera fort pour un retour. Des ligues voudront éviter la faillite. Des équipes aussi. Surtout en Europe (soccer notamment) et dans les plus petits circuits nord-américains…

Qu’en est-il de nos ligues nord-américaines? Elles sont gérées aux États-Unis et les Américains viennent de retirer leur soutien financier à l’OMS…

Le Dr Anthony Fauci risque d’avoir beaucoup plus de poids aux États-Unis, donc en lien avec la LNH, la MLS et autres ligues nord-américaines. Et puisque le président Trump souhaite voir le sport reprendre, il y a de bonnes chances qu’il reprenne avant l’automne 2021.

Mais dans quel état? Sous quelles conditions? Avec combien d’équipes en bout de ligne? Avec quel genre de coupes salariales? Ça, on ne le sait pas encore.

Reste que de savoir que le Canadien se prépare à ne pas pouvoir vendre un seul billet durant les 18 prochains mois a de quoi nous donner un bon indice…

Pendant ce temps, la saison de soccer se poursuit en Biélorussie…

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Sport et Santé

Voulez-vous sauver la vie d’un proche qui risque la surdose?

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a d’autre choix que de permettre à des proches de toxicomanes ou tout intervenant en santé de posséder le Narcan.

Il s’agit d’un antidote puissant contre la surdose d’héroïne et de cocaïne, mais aussi (et surtout) pour la surdose d’antidouleurs de la famille des opiacés (oxycodone, morphine, hydromorphone, fentanyl).

Psychomedia rapporte qu’aux États-Unis, ce sont désormais 16 000 décès annuellement qui sont attribuables à ces médicaments.

Une augmentation critique du nombre de prescriptions de ces antidouleurs a été observée tant chez les Américains que chez les Canadiens.  Auparavant, la naloxone était réservée aux hôpitaux et ambulanciers, mais si l’on veut sauver plus de vie, il faut élargir les horizons.

Un programme a été mis sur pied au Québec pour former le plus de gens possible dans le milieu de la santé.  Les proches de gens qui sont toxicomanes ou prennent des doses importantes d’opiacés peuvent aussi avoir leur certification.

Il s’agit du PRO-FAN (Prévention et réduction des surdoses, formation et accès à la naxolone). Toute personne qui côtoie quelqu’un à risque de surdose, tant de drogue que de médication, peut s’inscrire à la formation.

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Sport et Santé

Ebola : le Canada doit justifier sa position à l’OMS

Vendredi dernier (31 octobre), la ministre fédérale de la Santé, Rona Ambrose, annonçait la libération de 30 millions $ dans le cadre de l’épidémie de l’Ebola.

Cependant, 75 % de cet argent servira à l’accélération du développement d’un vaccin, et le reste pour renforcer les défenses, l’équipement et la formation du personnel médical à l’intérieur du pays.

Aucune aide concrète à l’extérieur du Canada. Au contraire, le pays ferme l’accès à toute nouvelle demande de visa qui pourrait s’avérer à risque.

L’OMS réplique et demande des explications. Selon Dre Isabelle Nutall, les Canadiens s’imagineront à tort qu’ils sont ainsi protégés du virus, et cela cultivera le sentiment de paranoïa grandissant.

« Nous ne croyons pas que les restrictions de voyage peuvent être efficaces dans les circonstances actuelles. Nous ne croyons pas que la propagation d’Ebola peut être freinée en imposant des restrictions de voyage. »

Radio-Canada dénonce cette mesure, en rappelant qu’elle va à l’encontre du Règlement sanitaire international de l’OMS. 

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Sport et Santé

100 millions $ pour Ebola de la part du cofondateur de Microsoft

Le milliardaire cofondateur du géant Microsoft, Paul Allen, a décidé d’apporter une aide substantielle pour financer la construction de deux points d’évacuation sanitaire. Ceux-ci serviront pour le personnel médical d’Afrique de l’Ouest, rapporte le Journal les Affaires.

Les millions si généreusement donnés serviront également à « accroître sa capacité à coordonner les aspects logistiques nécessaires au transport international de travailleurs de la santé ». Une aide dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est reconnaissante.

Via le site tackleebola.com, Paul Allen encourage d’autres hommes d’affaires ou entreprises à contribuer à l’éradication du fléau.

« La réalité d’Ebola fait froid dans le dos et devrait nous motiver à sauvegarder la société et prendre des mesures pour stopper cette pandémie. Ebola n’est pas le problème de quelqu’un d’autre. C’est notre problème », a déclaré Allen.

Jusqu’à présent, son partenaire d’affaires, Bill Gates, a offert la moitié de cette somme, soit 50 millions $. Mark Zuckerberg, à la tête de Facebook, a suivi avec 25 millions $.

Les dons servent notamment à fournir des lits supplémentaires, de la nourriture, de l’eau et des stations publiques pour se laver les mains

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Sport et Santé

Le personnel de la santé craint de plus en plus le virus Ebola

En France, on s’inquiète même du manque d’équipement médical dans le cas où subviendraient des besoins d’isolement. Le syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI) se demande à qui s’adresser et « où trouver le matériel ».

Le Monde rappelle que le personnel infirmier en Afrique recense 216 décès, soit plus de la moitié des cas d’infection.

D’ailleurs, un employé de l’ONU contaminé par l’Ebola a été soigné à Leipzig, en Allemagne, jeudi dernier. Malgré tous les soins apportés au Soudanais de 56 ans, il est décédé de la fièvre hémorragique.

Le Wall Street Journal rapporte que du côté du Liberia, il y aurait des échanges de dépouilles contre des pots-de-vin. Les familles veulent récupérer leurs proches sans tenir compte du risque élevé de contagion.

Un élément supplémentaire, donc, pour que les intervenants de la santé craignent de participer aux soins de cette crise épidémique.

D’autre part, une grève sévit dans l’un des centres de l’OMS, la clinique Island, depuis hier (13 octobre). Les employés de la santé ne reçoivent pas le salaire qu’on leur a promis et refusent de courir plus longtemps le risque d’être contaminés par les malades.

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Ebola : Dre Joanne Liu ne veut plus que des promesses

En entrevue avec Radio Canada, Dre Joanne Liu a spécifié : « Les résultats que nous avons maintenant, ce sont surtout des intentions, des promesses. Nous sommes très impatients de voir comment ça va se concrétiser sur le terrain ».

Par contre, les besoins sont immédiats et nécessitent entre autres l’ouverture de nouveaux centres d’isolement du virus Ebola. « Chaque jour compte parce que chaque jour, on perd des gens. Aujourd’hui, on pense que ce sont de 100 à 200 personnes qui décèdent chaque jour. »

Le bilan s’alourdit chaque jour, et comme le souligne la responsable de Médecins sans frontières, nous sommes toujours à la traîne et non « devant le virus ». Si nous n’agissons pas sans délai, les besoins changeront encore.

« Il n’y a quand même pas beaucoup de conflits ou autant de situations où on a autant de décès. En permettant à l’épidémie de se propager, la réponse à apporter dans quelques jours va être encore plus complexe. »

Selon l’OMS et le CCPM, 1,4 million de personnes pourraient être atteintes d’ici janvier 2015. Et pour développer un nombre suffisant de vaccins, il faut que tout le monde « travaille ensemble », insiste Dre Liu.

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Ebola : l’OMS supplie les dirigeants mondiaux d’offrir plus d’aide

Margaret Chan, la directrice générale de l’OMS, a pris la parole hier (25 septembre) lors d’un rassemblement des dirigeants mondiaux.

« Vous avez le pouvoir de stopper cette horrible épidémie », a-t-elle lancé, en suppliant la nation de participer plus activement à l’éradication de ce virus mortel.

Le secrétaire de l’ONU, Ban Ki-Moon, a rappelé que l’Ebola tue 200 personnes et même plus quotidiennement. Tous doivent agir, et ce, maintenant.

Le président des États-Unis, Barack Obama, était de l’avis de Chan, rapporte Yahoo. « Je veux que nous soyons clairs : nous n’avançons pas assez vite, nous ne faisons pas assez. »

Les Américains ont cependant envoyé 3000 militaires en Afrique de l’Ouest. « Mais cela doit être une priorité pour tout le monde. Nous ne pouvons pas le faire seuls », a ajouté Obama.

Le Canada a apporté une contribution de 27 millions de dollars jusqu’à présent, et l’ONU a assuré que les pays étaient « généreux ».

Pour le moment, l’OMS statue encore que la propagation est « explosive ».

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Le bilan de l’Ebola s’aggrave de jour en jour et inquiète l’OMS

Lemonde.fr rapporte les informations à jour de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En tout, 5843 cas d’infection à l’Ebola, dont 2803 décès en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone.

Christopher Dye, à la direction de l’organisme, ne se veut pas pessimiste, mais si l’intervention ne gagne pas en ampleur, c’est le virus qui atteindra 20 000 cas d’ici le 2 novembre, soit dans à peine plus d’un mois.

Qui plus est, l’Ebola atteint femmes, hommes et enfants sans distinction, et n’encourage pas les intervenants du monde entier à se présenter sur les lieux. À ce jour, 150 d’entre eux ont été infectés par le virus, et plus de 80 en sont décédés.

E-santé.fr rapporte qu’un nouveau médicament, le favipiravir (T-705), sera testé en Guinée en novembre. Bien qu’il s’agisse d’un antiviral développé pour la grippe commune, il appert que ses effets s’étendraient au virus de l’Ebola.

Seul bémol, le T-705 n’a encore jamais été testé chez l’humain.

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L’OMS déclare que l’Ebola est désormais une urgence internationale

Les experts de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sortent de deux jours de réunion d’urgence sur le virus de l’Ebola.

L’agence de santé des Nations Unies considère qu’il s’agit d’une situation dont « les conséquences possibles d’une propagation à l’international peuvent être dévastatrices à cause de la virulence du virus. »

Selon BBC news, Margaret Chan, de l’OMS, affirme qu’il s’agit de « l’épidémie la plus complexe de cette maladie ». Cependant, le virus est connu et « peut être contenu ». Les vols internationaux doivent cependant cesser.

L’OMS n’a déclaré l’état d’urgence que deux fois dans les dernières années : pour la grippe porcine en 2009 et la poliomyélite en mai. Pour le moment, il est en vigueur uniquement au Libéria, en Guinée et en Sierra Leone.

Selon le Dr Jeremy Farrar, il y a peu de chance néanmoins que l’Ebola se transforme en « pandémie mondiale », puisque ce n’est pas un virus « qui se transmet par les voies de l’air ».

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L’alcool tue toutes les 10 secondes

Ces chiffres effarants viennent d’être publiés aujourd’hui (12 mai) par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Au total, ce sont plus de 3,3 millions de personnes qui sont décédées de l’alcool en 2012.

L’alcool est donc l’ennemi public numéro 1. Chaque année dans le monde, il y a plus de gens qui meurent de l’alcool que du sida, de la tuberculose ou de violence combinés.

Pour ces raisons, l’OMS désire voir augmenter les ressources financières afin de mieux informer les populations mondiales des méfaits de l’alcool et de l’impact de cette dernière sur la santé publique.

En effet, plus de 200 conditions, tels des cancers ou la cirrhose, sont directement liées à la consommation d’alcool. L’abus d’alcool est également susceptible d’amener les gens à contracter des maladies ou des infections.

Le tiers des décès liés à la consommation d’alcool survient à la suite de problème cardiovasculaire ou de diabète.

Les accidents survenant alors que les gens sont intoxiqués à l’alcool représentent 17,1 % des décès liés à l’alcool. 

Dans le monde, toutes les personnes de 15 ans et plus consomment 6,2 litres d’alcool pur par année, selon l’OMS. Cette consommation s’établit à 17 litres lorsqu’on ne compte que les pays consommant de l’alcool.