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Deux grammes de sel de trop quotidiennement peuvent vous mener vers la mort

L’un des ennemis jurés de la saine alimentation est de retour à l’avant-scène, avec de récentes études qui démontrent encore une fois l’importance de réduire le plus possible sa consommation de sel.

Plus difficile à dire qu’à faire, cependant, alors que cet ingrédient est utilisé massivement par une panoplie de compagnie et de chaînes de restauration dans les aliments qu’ils proposent aux consommateurs.

Et ces derniers se retrouvent bien embêtés lorsque vient le temps d’abaisser leur consommation d’un ingrédient omniprésent dans leur environnement.

Il faudra pourtant y parvenir, selon l’étude de l’OMS, puisque l’ingestion de deux grammes de sel de trop par jour pourrait bien vous mener directement vers votre tombe, rapporte santelog.com.

Déjà, dès 2002, l’Organisation mondiale de la santé lançait une alerte et conseillait vivement aux citoyens de partout de réduire leur consommation de sel de 20 %. C’était il y a dix ans, et les choses ne se sont guère améliorées.

Pour tenter d’aider les consommateurs, ils ont dressé une petite liste des aliments qui contribuent le plus à hausser l’apport en sel :

1. Pain et biscottes
2. Charcuterie
3. Soupes
4. Fromages
5. Plats composés
6. Pizzas, quiches et pâtisseries salées

Avouons que ces aliments sont parmi les plus populaires à travers le monde…

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Nouveau virus apparenté au SRAS découvert par l’OMS

Il semble qu’un nouveau virus, qui s’apparente grandement au SRAS, a été découvert en Angleterre, dans l’organisme d’un homme qui aurait récemment été de passage en Arabie Saoudite. C’est du moins ce qu’a déclaré l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dimanche dernier (23 septembre).

Le corps de la santé des Nations-Unies affirme que des tests sur un patient de 49 ans, originaire du Qatar, confirment l’existence d’un nouveau coronavirus mortel.

Les coronavirus sont une grande famille de virus, dont font partie entre autres la banale grippe et le SRAS.

Bien que l’OMS soit toujours en attente de recevoir plus d’informations concernant cette découverte et ainsi déterminer ses dangers pour la population, il semble qu’il ne faut pas s’alarmer outre mesure.

En effet, selon Peter Openshaw, directeur du Centre des infections respiratoires de l’Imperial College London, le virus ne semble pas pour l’instant être une source d’inquiétude majeure. Il ajoute : « Il est probable que la découverte de ce virus soit due aux techniques modernes sophistiquées. Je serais prudent, mais pas inquiet, au moment où l’on se parle ».

Un autre cas aurait été découvert, selon nlm.nih.gov, chez un homme de 60 ans de la même zone géographique. Openshaw croit donc que ces deux cas suggèrent qu’il s’agit d’un événement rare, probablement non diagnostiqué adéquatement dans le passé.

Il conclut en affirmant que seule une preuve indiquant la transmission du virus par contact humain soutenu l’inquièterait, une situation qui rappellerait 2002 et le SRAS.

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Hépatite : les gouvernements membres de l’OMS appelés à améliorer la prévention

(Relaxnews) – À l’occasion de la Journée mondiale contre l’hépatite (28 juillet), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) demande à ses États membres d’intensifier leurs efforts pour lutter contre les différentes formes de la maladie.

Cette année, la Journée mondiale contre l’hépatite aura pour thème Plus proche qu’on ne croit, insistant sur le fait que les sujets infectés peuvent ne ressentir aucun symptôme pendant plusieurs décennies. À cet effet, l’OMS appelle ses États membres à accentuer leurs efforts sur la prévention et la sensibilisation du public.

« Dans l’immense majorité des cas, les personnes infectées par l’hépatite ne s’en aperçoivent pas et ne sont pas diagnostiquées ni traitées. Ce n’est qu’en faisant mieux connaître les différentes formes d’hépatite et les moyens de prévention et de traitement que l’on pourra prendre les premières mesures pour endiguer complètement la maladie et sauver des milliers de vies », assure la Dre Sylvie Briand de l’OMS.

Dans le cadre de cette journée, les particuliers seront sensibilisés aux différentes formes de la maladie et à leur mode de transmission. L’OMS rappelle qu’il est important d’informer le public sur le fait que les hépatites B, C et D se transmettent par le sang, alors que les types A et E se transmettent par l’eau ou les aliments contaminés.

L’hépatite virale se caractérise par une inflammation du foie qui tue près d’un million de personnes chaque année dans le monde. L’hépatite est également responsable de nombreux cancers du foie et de cirrhoses.

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L’OMS veut améliorer l’accès à la contraception dans tous les pays du monde

(Relaxnews) – À l’occasion du Sommet sur la planification familiale qui se déroule à Londres (Royaume-Uni), mercredi 11 juillet, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est engagée à faciliter l’accès à la contraception « moderne » dans le monde, et notamment dans les pays en développement.

Cela devrait se traduire par un renforcement de l’évaluation de contraceptifs de qualité, par la mise en place de services de planification familiale dans les soins de santé, ou encore par une extension de la gamme des méthodes de contraception proposées.

Par cet engagement, l’OMS espère permettre aux femmes de chaque pays du monde d’accéder à des moyens de contraception efficaces, qu’ils soient temporaires ou durables, comme les dispositifs intra-utérins, les implants contraceptifs ou la stérilisation féminine.

« L’accès à la contraception moderne est un droit fondamental de chaque femme. Au même titre que ce droit, il importe de respecter la dignité des femmes en leur offrant un éventail d’options de planification familiale et la liberté de faire leur propre choix », affirme la Dre Margaret Chan, directrice générale de l’OMS.

D’après l’OMS, quelque 222 millions de femmes et de jeunes filles habitant dans des pays en développement et ne désirant pas devenir mères n’ont pas accès à des méthodes de contraception.

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La qualité de l’air au Canada est excellente

L’OMS, qui s’inquiète de la pollution atmosphérique atteignant des niveaux dangereux pour la santé dans de nombreuses villes de monde, a publié aujourd’hui (26 septembre) des données sur la qualité de l’air concernant près de 1100 villes dans 91 pays, dont des capitales et des villes de plus de 100 000 habitants.

« La pollution atmosphérique est un grave problème de santé et nous devons absolument redoubler d’efforts pour en atténuer les répercussions », déclare la Dre Maria Neira, directrice du Département OMS Santé publique et environnement. « Si nous contrôlons et gérons l’environnement correctement, nous pouvons réduire considérablement le nombre de gens qui souffrent d’affections respiratoires et cardiaques, et de cancer du poumon », a-t-elle ajouté.

Le Canada fait donc bonne figure dans ce palmarès. Le pays se classe ex aequo en troisième position, à égalité avec l’Australie, devancé pour sa qualité de l’air par l’Estonie et l’île Maurice.

L’OMS estime que, chaque année, plus de 2 millions de personnes meurent du fait de l’inhalation de particules fines présentes dans l’air intérieur et extérieur. Les particules PM10, d’une taille égale ou inférieure à 10 micromètres, peuvent pénétrer dans les poumons, entrer dans la circulation sanguine et provoquer des cardiopathies, des cancers du poumon, des cas d’asthme et des infections des voies respiratoires inférieures.

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Le CSSS des Sources, premier à être certifié par l’OMS et l’UNICEF

Le Centre de santé et des services sociaux (CSSS) des Sources, situé en Estrie, est le tout premier de la région à obtenir la certification du programme international de qualité de soins pour l’amélioration de la pratique de l’allaitement.
 
Selon lanouvelle.net, ce programme a été mis en place en 1991 et vise le développement et le soutien de l’allaitement maternel. D’autre part, il encourage ainsi le lien entre parents et enfants.
 
Le directeur du CSSS, Mario Morand, reconnaît l’importance du geste. L’établissement a d’ailleurs aménagé un local destiné à l’allaitement.
 
Selon le comité d’agrément du Comité québécois d’allaitement (CQA), un établissement ne peut être approuvé que s’il respecte les 7 étapes du plan de l’OMS et de l’UNICEF. Notamment, une politique écrite doit être mise en place, le personnel et les bénévoles doivent recevoir la formation adéquate et les futures mères doivent être informées des avantages de la politique.
 
Richard Vaillancourt, directeur des programmes spécifiques, des services généraux et de santé publique, s’est dit impressionné par la rigueur déjà en place au CSSS des Sources de l’Estrie. « Les évaluatrices ont noté que chaque procédure est respectée et à quel point les mères se sentent bien accueillies et soutenues au CSSS des Sources ».
 
L’effet de la nouvelle politique se fait déjà sentir dans la région, avec un taux d’allaitement de 100 % cette année, contre 84 % l’an dernier.
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Allaitement et vaccination : recommandations

Le vaccin Amaril, administré en prévention de la fièvre jaune, était jusqu’ici donné aux femmes qui allaitent. Or, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de lever le drapeau rouge, comme nous l’apprenons sur Mes Vaccins.net.

C’est que trois cas d’encéphalite vaccinale ont été diagnostiqués chez des bébés allaités, lesquels étaient âgés de 10 jours, 3 et 5 semaines. Les mères de ces poupons avaient été vaccinées avec Amaril de 8 à 30 jours avant.
 
On a donc pu faire un lien entre l’allaitement et le développement de l’encéphalite. L’OMS recommande donc aux femmes qui allaitent d’éviter le vaccin Amaril si leur enfant est âgé de moins de six mois.

Toutefois, si une femme doit se rendre dans une région du globe où la vaccination contre la fièvre jaune est nécessaire, elle devra se faire vacciner pour éviter d’être atteinte par l’épidémie. Elle devra alors arrêter l’allaitement les 15 jours suivant sa vaccination, si son enfant est âgé de moins de 6 mois.

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Le vaccin de la grippe A cause la narcolepsie?

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) se questionne sur le lien possible entre le vaccin de la grippe A et les risques de narcolepsie qu’il entraînerait.

Un organisme dépendant de l’OMS, le Comité consultatif mondial sur la sécurité des vaccins, a ainsi reconnu officiellement le 8 février que ce lien était bien réel.

Il faudra poursuivre les recherches afin de bien comprendre les tenants et aboutissants de cette situation, mais nous savons déjà que ce vaccin augmente les cas d’enfants narcoleptiques.

Toutefois, il n’est pas question ici de tous les vaccins. Pour l’instant, l’OMS s’interroge surtout des effets secondaires causés par le Pandemrix. Ce vaccin est le seul qui est administré en Finlande. En Suède et en Islande, on a remarqué une hausse des cas de narcolepsie depuis l’arrivée de la grippe A.

D’ailleurs, en Finlande, le 1er février, on a fait paraître une déclaration préliminaire à la suite d’un grand nombre de cas recensés d’enfants devenus narcoleptiques à la suite d’une vaccination au Pandemrix.

La crainte gagne l’Europe, car en France, où le vaccin a aussi été utilisé, on a maintenant réduit les commandes de 50 millions de doses à 18 millions.

Rappelons qu’au Canada, lors de la campagne de vaccination contre la grippe A, des réactions allergiques anormales avaient été observées à la suite de l’administration des vaccins GSK.

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Nouvelles recommandations de l’OMS

En ce moment, 43 millions d’enfants dans le monde souffriraient d’obésité ou de surpoids.

Devant ces présentes données, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a émis de nouvelles recommandations.

Tout d’abord, les milieux de vie et d’apprentissage des enfants ne devraient offrir en aucun cas des aliments hautement commercialisés contenant de fortes teneurs en gras saturés, en acides gras, en sel et en sucre.

Ces lieux comprennent les écoles, les garderies, les prématernelles, les centres récréatifs ainsi que les unités de pédiatrie.

Selon l’OMS, l’exposition au marketing et à la publicité des aliments riches en gras et en sel prédisposerait les enfants à choisir de mauvaises habitudes alimentaires et à développer ainsi un surpoids ou l’obésité.

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Autre position quant à l’allaitement

On a lu dernièrement qu’une étude britannique du Collège universitaire de Londres parue dans BMJ remettait en question l’unique allaitement jusqu’à six mois.

Or, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) réitère maintenant sa pensée sur le sujet.

Selon elle, l’allaitement maternel est non seulement primordial pour le bébé jusqu’à l’âge de six mois, mais il devrait se poursuivre jusqu’à ses deux ans, même après l’intégration d’autres aliments.

En ce moment, 35 % des bébés sont nourris uniquement au lait maternel pendant leurs six premiers mois de vie. Un plus haut taux sauverait la vie de bien des enfants, selon l’OMS.

On pourrait en fait sauver la vie de 1,5 million d’enfants annuellement, toujours selon cette organisation mondiale.

Dans le monde, 8,8 millions d’enfants décèdent de malnutrition chaque année avant d’atteindre l’âge de 5 ans. 66 % d’entre eux connaitraient ce sort à cause de pratiques alimentaires inadaptées.

Rappelons que l’accès difficile à l’eau potable dans les pays en voie de développement est l’une des causes majeures de cette situation malheureuse.