La nouvelle parvient 24 heures après l’annonce de la proposition. Un agenda trop rempli lui aurait fait décliner l’offre.
Le 11 août, la future Mme Clooney s’est fait offrir de devenir membre de la commission d’enquête du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Un comité sur les violations des lois humanitaires dans les opérations militaires à Gaza et dans les territoires occupés, écrit Metro News.
« Étant donné mes engagements actuels – qui comprennent huit affaires en cours – malheureusement, je ne peux pas accepter ce rôle. », cite Alamuddin. « Je souhaite à mes collègues qui serviront la commission, courage et force dans leur mission », écrit-elle via un communiqué publié le 11 août dans le New York Post.
On peut supposer que la préparation de son mariage avec l’acteur George Clooney prendra certainement quelques cases horaires à son agenda.
Entre temps, son chéri prépare Money Monster, un film sous la direction de Jodie Foster, où il aura le rôle principal et agira aussi à titre de coréalisateur. La sortie est prévue pour 2015. La même année, Clooney sera en salle dans le film de science-fiction Tomorrowland.
David Guetta dévoile un nouveau vidéoclip
Le plus célèbre DJ et maintenant icône pop, David Guetta, propose un tout nouveau vidéoclip, rapporte Digital Spy, cette fois pour la pièce One Voice.
Le clip et l’extrait mettent également en vedette Mikky Ekko, qui risque de se faire découvrir par un plus vaste public à travers le monde avec cette collaboration.
L’œuvre en est une destinée à la promotion de la campagne The World Needs More de l’ONU, une démarche humanitaire de sensibilisation.
Le clip s’ouvre sur des images live, alors que Guetta y va d’un discours bien senti sur l’unité mondiale et demande aux gens « qui ne font qu’un » de lever la main.
La pièce s’amorce ensuite et s’ouvre sur un rythme électro puissant et réalisé d’une main de maître. On s’étonne même qu’une pièce écoutée sur YouTube puisse sonner autant!
« La musique est un puissant moyen de connecter les gens et de les rassembler. Si on peut faire un changement simplement en expliquant ce dont le monde a besoin maintenant et en recueillant de l’argent pour aider l’ONU avec cette vidéo, wow, c’est incroyable », lance David Guetta, ravi et convaincu.
Voyez le clip de One Voice, de David Guetta et Mikky Ekko.
On annonçait récemment des statistiques qui tendaient à démontrer un recul du SIDA dans le monde, une affirmation qui se voit confirmée par un rapport présenté par l’ONU, selon Top Santé.
En effet, dans son rapport annuel sur l’état et la progression du virus du SIDA dans le monde, l’ONU reconnait non seulement ce recul par rapport aux années précédentes, mais parle également de « progrès spectaculaires ».
Une excellente nouvelle dans un dossier qui ne permet que rarement des pointes d’optimisme, ce que se permet justement maintenant l’Organisation des Nations Unies.
« Le monde se rapproche de l’un objectifs du Millénaire pour le développement : l’épidémie de sida a été stoppée, et son cours s’est inversé. La course est engagée en direction de l’accès universel au traitement contre le VIH », a expliqué Michel Sidiblé, de l’ONUSIDA, lors du dépôt et de la présentation de ce rapport.
La meilleure nouvelle consiste en cette baisse observée des cas chez les enfants, soit de 52 % par rapport à 2001. Le combat se poursuit, mais il est maintenant permis de rêver…
À l’approche de la Journée mondiale du tourisme 2013, le 27 septembre, l’Organisation des Nations Unies rappelle aux voyageurs de mettre de la crème solaire résistante à l’eau, moins polluante, ou de préférer les douches aux bains, en vue de réduire leur consommation d’eau en vacances.
Le thème de cette journée mondiale, qui encourage les vacanciers à réajuster leur empreinte hydrique, va de pair avec celui choisi par l’organisation pour 2013, décrétée « Année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau ». Essentiel lorsque l’on sait que le nombre de touristes à travers le monde a dépassé le milliard en 2012.
En amont de cette l’évènement, consacré cette année aux Maldives, et à l’approche des grandes vacances, voici quelques conseils de l’ONU aux les voyageurs :
– À l’hôtel, pendez vos serviettes et mettez la pancarte « Ne pas déranger » afin que le personnel de ménage ne change pas vos draps ni vos serviettes tous les jours.
– Si possible, choisissez des hébergements durables qui utilisent par exemple l’eau de pluie.
– Respectez les sites que vous visitez. Ne ramassez pas les coquillages, par exemple, et optez pour de la crème solaire résistante à l’eau qui réduit la pollution des océans et évite de mettre à mal la faune marine. Des scientifiques ont montré que les composants de la crème solaire pouvaient tuer les coraux.
La branche de l’ONU qui s’occupe des pêches, de l’agriculture et de l’alimentation y va d’une recommandation surprenante, mais qui prend son sens lorsqu’on écoute les explications proposées, selon Top Santé.
Les spécialistes recommandent d’ajouter la méduse à notre menu, afin d’encourager la pêche ou la capture de l’animal marin. Ce dernier causerait du tort à certaines familles de poissons, sa gourmandise mettant même en danger d’extinction certaines espèces.
Rien à voir avec le goût de la méduse, alors, mais il s’agit plutôt d’une tentative désespérée de contrer les ravages qu’elle cause en ce moment dans nos océans.
Outre son insatiable faim pour les poissons et leurs rejetons, la méduse semble en pleine croissance et se multiplie à un rythme alarmant.
« L’océan est en train de devenir un océan de méduses », lancent les experts de l’ONU.
Serez-vous du nombre à tenter l’expérience gastronomique de la méduse au nom de l’écologie marine?
C’est toute une déclaration que fait l’Organisation des Nations Unies (ONU), alors qu’elle affirme qu’il est « faisable » d’enrayer la problématique du SIDA à travers le monde.
Des chiffres récents rapportés par www.nlm.nih.gov tendent à donner raison à l’ONU, puisque l’on constate une baisse de nouveaux cas enregistrés partout sur la planète.
Si le VIH et le SIDA sont encore loin de disparaitre, on peut conclure en ce moment à une fin pour l’effet pandémique du virus.
Les Nations Unies expliquent cette excellente nouvelle par le fait que de nouveaux traitements plus efficaces sont maintenant accessibles dans presque toutes les régions du monde. Ces traitements permettent entre autres de ralentir la progression de la maladie et de prévenir son développement et sa transmission.
« La communauté internationale s’est embarquée dans une quête historique qui a jeté les fondations d’une éventuelle fin pour l’épidémie de SIDA connue depuis au moins dix ans. Cet effort n’est plus que simplement visionnaire, c’est entièrement faisable », lance un porte-parole de l’organisation.
Les chiffres concernant le SIDA sont en baisse depuis cinq ans, notamment au niveau des décès (2,3 millions en 2005 comparativement à 1,7 million en 2011).
Il s’agit d’une diminution considérable depuis 1990. Cependant, le fait qu’il y a toujours une femme qui meurt des complications liées à sa grossesse toutes les deux minutes fait frissonner, d’autant plus que la plupart de ces mortalités pourraient être évitées, mentionne un rapport intitulé Tendances en matière de mortalité maternelle 1990-2010 qui a été réalisé pour l’Organisation mondiale de la santé, l’UNICEF, le Fonds pour la population et la Banque mondiale.
En effet, selon les dernières statistiques, parmi les 287 000 femmes qui ont perdu la vie durant leur grossesse, au moment d’accoucher ou dans les 42 jours suivant l’accouchement, 99 % d’entre elles vivaient dans un pays en développement.
Les femmes en Afrique subsaharienne se retrouvent en tête du classement avec 56 % des décès. L’Asie du Sud suit avec 29 %, alors l’Inde (19 %) et le Nigeria (14 %) représentent à eux seuls un tiers de la mortalité maternelle, relate Radio-Canada.
Bien que la pauvreté entre en ligne de compte, mentionnons qu’une récente analyse scientifique du Chili a conclu que les femmes qui ont une certaine éducation réduisent leurs risques de mourir pendant la grossesse ou à l’accouchement.
Ces dernières seraient plus portées à se renseigner, à pratiquer de saines habitudes de vie, à accéder à des ressources de santé et à faire affaire avec des médecins ou des sages-femmes reconnus, dévoile la recherche publiée dans la revue PLoS ONE.
Selon un communiqué que vient d’émettre l’Organisation des Nations Unies, qui fera sans doute plaisir à toute l’industrie touristique japonaise, le pays ne présenterait aucun risque de santé pour les voyageurs.
Toujours selon l’ONU, qui a pris soin d’éplucher les rapports en provenance du pays du soleil levant, les niveaux de rayonnement émis par la centrale nucléaire de Fukushima ne présentent pas de danger pour la santé ou la sécurité du transport des passagers et des membres de l’équipage des différents véhicules qui en sont responsables.
D’ailleurs, l’Organisation des Nations Unies ne recommande même plus que le niveau de contamination des passagers dans les aéroports soit contrôlé, même si le niveau de gravité de la radioactivité s’échappant de la centrale nucléaire avait été élevé au niveau 7 le 12 avril dernier, mais dans une zone restreinte qui est interdite à toute personne.