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La pensée magique au service du vieillissement en bonne santé

Ceux qui croient que la pensée n’a aucun pouvoir sur la matérialisation des choses risquent d’être abasourdis par cette nouvelle étude sur le vieillissement.

Rapportée par Santé Log, cette nouvelle recherche parle de l’importance de ne pas « s’imaginer vieux et fragile », puisque le corps pourrait bien transposer ces pensées en une triste réalité.

Ainsi, les chercheurs de l’Exeter Medical School, qui présentaient ces conclusions au début du mois lors de la conférence de la British Psychological Society, croient qu’il faut plutôt voir l’avenir avec optimisme et chasser les idées préconçues voulant que vieillir se fait inévitablement dans la douleur et la maladie.

C’est après avoir analysé les comportements et les réactions subséquentes de 29 personnes âgées que les chercheurs ont pu tester et confirmer leur théorie.

« En se voyant vieux et fragile, on agit comme si l’on est vieux et fragile. », croit l’un des sujets de l’étude en question.

Cette étude est révélatrice en ce qui concerne la force de la pensée sur le corps, et montre à quel point un comportement enthousiaste et optimiste peut soulever des montagnes. Tout porte à croire que cette façon de voir la vie est payante à tout âge!

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L’optimisme et les taux de cholestérol : cause à effet?

Les gens de plus de 40 ans qui voient la vie d’un bon œil pourraient améliorer leur bon taux de cholestérol dans le sang, suggère une nouvelle étude.

C’est ce que rapporte The National Library of Medicine, qui prétend qu’il est possible de tracer un lien entre le cholestérol et le fait d’être positif à 40 ans.

Les tests effectués démontreraient en effet que les personnes à mi-chemin dans leur vie qui ont d’excellents résultats en matière de cholestérol dans le sang ont bel et bien une vision plus légère et enjouée de la vie en général… ou serait-ce l’inverse?

« Il s’agit d’une nouvelle pièce de preuve qui suggère que la santé psychologique et la santé physique sont interreliées, et que voir le monde de façon optimiste peut avoir des effets tangibles sur la santé », résume l’auteure de l’étude, Julia Boehm, de la Harvard School of Public Health de Boston.

Des propos qui laissent croire que non seulement un bon taux de cholestérol dans le sang peut améliorer l’attitude, mais que l’inverse serait aussi vrai.

D’autres tests doivent être effectués sur le sujet, car les chercheurs ne veulent pas trop s’avancer sur les effets possibles d’une attitude positive sur l’organisme. Une cause à effet reste à prouver.

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Des nouvelles encourageantes pour les asthmatiques

LeDevoir.com rapporte des nouvelles encourageantes pour les asthmatiques, à la suite du Congrès Québécois de Recherche en Santé Respiratoire qui se tenait à Montréal récemment.

L’événement a dévoilé certaines percées concernant l’asthme et les moyens pour en contrôler les effets. Les pneumologues et autres spécialistes auraient révisé un peu leurs méthodes, tout en ajoutant de nouvelles façons de faire.

Le Dr Louis-Philippe Boulet, de l’Institut Universitaire de Cardiologie et de Pneumologie de Québec, explique : « On s’est rendu compte qu’en mesurant la concentration de certains médiateurs de l’inflammation dans les sécrétions bronchiques, ou dans l’air expiré des patients, on pouvait mieux évaluer l’intensité de l’inflammation des bronches, et par conséquent savoir si le patient adhère bien à son traitement ou s’il est nécessaire de le réajuster ».

Et c’est d’ailleurs à ce sujet que les nouvelles sont bonnes, soit celui des traitements, mais surtout en matière de suivi. On pourra désormais mieux définir si un patient réagit bien ou non à un type de traitement donné.

On se réjouit également de la montée des pratiques non invasives sur les patients. Le Dr Boulet en rajoute en affirmant que de nouveaux traitements modernes seront bientôt proposés, comme des médicaments à effet prolongé.

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De l’espoir pour les femmes qui ont de la difficulté à tomber enceintes

Selon une étude australienne publiée dans le journal Fertility and Sterility, près de la moitié des femmes qui ont dit avoir eu du mal à tomber enceinte pendant au moins un an ont fini par avoir un bébé, sans avoir recours à un traitement de fertilité.

En effet, 1400 femmes âgées de 28 à 36 ans, sur 7000 Australiennes qui ont répondu à un questionnaire, ont déclaré avoir eu de la difficulté à tomber enceintes. Sur ce nombre, 53 % ont réalisé leur rêve grâce à un traitement de fertilité, et 44 % ont redoublé de patience pour y arriver naturellement.

Parmi toutes, aucune différence majeure n’a été remarquée concernant la santé des bébés à la naissance (prématuré, mort-né, etc.).

En général, les spécialistes disent qu’il n’y a environ que 15 % des femmes qui ne réussiront pas à concevoir, mais après un an ou même deux d’essai, elles parviendront à leur but. Parmi le 15 %, seulement 3 à 5 % sont des cas de stérilité.

Les chercheurs disent être conscients de l’excitation, du désir et de l’empressement des femmes à vouloir devenir mère. Cependant, ils croient que les couples devraient être plus optimistes, patients et persévérants dans leur démarche de fécondation naturelle, et ce, surtout lorsque la femme a moins de 36 ans, qu’elle ovule régulièrement, que l’homme produit assez de sperme et que le couple a passé des tests médicaux qui se sont avérés normaux.

Les experts indiquent que les résultats pourraient être davantage précisés en examinant, dans de futures études, l’impact du changement de partenaire sexuel, du régime alimentaire et du mode de vie sur la fécondité.

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L’optimisme pour vivre vieux

Selon des chercheurs de l’Université de Pittsburgh, les femmes optimistes ont moins de risque de développer des maladies cardiovasculaires que celles qui sont déprimées. Elles sont également moins nombreuses à mourir prématurément que celles au tempérament hostile et cynique.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs américains ont suivi 97 252 femmes postménopausées, âgées de 50 à 79 ans, sur une période de huit ans.

Au début de l’étude, les participantes ont répondu à un questionnaire afin de mesurer leur niveau d’optimisme. Aucune n’avait de maladies cardiovasculaires.

Après des suivis annuels au cours des huit années, les femmes optimistes étaient 9 % moins nombreuses à avoir développé des maladies cardiovasculaires et 14 % moins nombreuses à avoir connu une mort prématurée.

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Les méfaits du désespoir

Selon la Dre Susan Everson-Rose, de la Faculté de médecine de l’Université du Minnesota, les femmes qui se sentent fréquemment désespérées sont plus à risque de faire des plaques dans les artères de leur cou, ce qui augmente l’incidence d’accident vasculaire cérébral (AVC).

Plusieurs études antérieures avaient démontré l’association entre le stress ou la dépression et les maladies coronariennes, mais la recherche de la Dre Everson-Rose est la première à se pencher sur le manque d’optimisme et son effet sur la santé.

Cette dernière a travaillé avec 559 femmes en bonne santé dont l’âge moyen était de 50 ans. Elles ont rempli un questionnaire afin de démontrer leurs perceptions envers le futur et les objectifs qu’elles souhaitaient atteindre. Ensuite, on a mesuré l’épaisseur des artères du cou.

Les artères des sujets les plus pessimistes étaient plus épaisses que celles des participantes optimistes, ce qui les rend plus vulnérables à souffrir d’athérosclérose et d’AVC.

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Les vertus de l’optimisme

À la suite d’une recherche menée pendant huit ans auprès de 97 000 femmes ménopausées, la Dre Hilary A. Tindle, de l’Université de Pittsburgh, a pu conclure qu’une personnalité optimiste et joyeuse a un effet protecteur sur le coeur.

Les sujets devaient répondre à un questionnaire où l’on mesurait leur degré de cynisme.

Les femmes jouissant d’un haut niveau d’optimisme ont 9 % moins de risques de souffrir d’une maladie coronarienne et 14 % moins de risques d’en décéder. Quant aux natures pessimistes, leur risque de mortalité augmenterait de 16 %.

Bien que cette étude ait été conduite exclusivement auprès des femmes, la Dre Tindle croit que ces résultats peuvent sans doute être similaires auprès de la gent masculine.

 

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L’optimisme, un puissant médicament

Selon une recherche dont les détails sont publiés dans le Psychosomatic Medicine, les personnes qui ont une attitude positive et ouverte s’en sortent plus facilement et deviennent autonomes plus rapidement à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC).

Pour le Dr Glenn V. Ostir de l’Université du Texas, il ne fait pas de doute que le moral peut jouer un rôle dans l’évolution de la convalescence après une maladie. « Nous avons un contrôle relatif sur notre état de santé, mais il vaut mieux voir la vie du bon côté que d’être pessimiste », a-t-il souligné.

Pendant trois mois, le Dr Ostir a observé 823 personnes âgées de 55 ans et plus, ayant souffert d’un AVC. Les sujets qui choisissaient de surmonter cette épreuve et de ne pas se laisser abattre par les évènements sont devenus autonomes beaucoup plus rapidement que ceux qui décrivaient leur état comme étant sans espoir.