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Ordonnance restrictive contre Jack White

La mannequin et musicienne Karen Elson a obtenu une ordonnance restrictive contre son ex-mari, Jack White, qui a connu la gloire au sein de la formation The White Stripes.

Elson mentionne qu’elle « craint pour sa sécurité et celle de ses enfants » à la suite d’allégations de harcèlement de la part de White.

Apparemment, le musicien aurait démontré un comportement violent et lui aurait envoyé des messages et des courriels de menaces.

White, 38 ans, ne doit plus avoir aucun contact avec Elson , 34 ans, « sauf en ce qui concerne le temps parental avec les enfants mineurs du couple ».

C’est cette intimidation qui aurait contribué à mettre fin à leur mariage. L’ex-couple s’était marié en 2005 au Brésil et a divorcé il y a deux ans.

À ce moment, tout s’était fait à l’amiable, mais les choses se sont envenimées depuis, notamment ce qui concerne la garde de leurs deux enfants, Scarlett, 7 ans, et Henry Lee, 5 ans. Ils sont sous la garde de leur mère pour le moment.

Une audience est prévue le 9 août prochain.
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Ordonnance restrictive contre Jack White

La mannequin et musicienne Karen Elson a obtenu une ordonnance restrictive contre son ex-mari, Jack White, qui a connu la gloire au sein de la formation The White Stripes.

Elson mentionne qu’elle « craint pour sa sécurité et celle de ses enfants » à la suite d’allégations de harcèlement de la part de White.

Apparemment, le musicien aurait démontré un comportement violent et lui aurait envoyé des messages et des courriels de menaces.

White, 38 ans, ne doit plus avoir aucun contact avec Elson , 34 ans, « sauf en ce qui concerne le temps parental avec les enfants mineurs du couple ».

C’est cette intimidation qui aurait contribué à mettre fin à leur mariage. L’ex-couple s’était marié en 2005 au Brésil et a divorcé il y a deux ans.

À ce moment, tout s’était fait à l’amiable, mais les choses se sont envenimées depuis, notamment ce qui concerne la garde de leurs deux enfants, Scarlett, 7 ans, et Henry Lee, 5 ans. Ils sont sous la garde de leur mère pour le moment.

Une audience est prévue le 9 août prochain.

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Edward Furlong de retour en prison

La star de Terminator 2, Edward Furlong, est de retour derrière les barreaux après qu’un juge ait révisé le montant de sa caution.

Rappelons que le 16 mai dernier, l’acteur a été arrêté au domicile de son ex-petite amie, Monica Keena, car il n’a pas respecté une ordonnance obtenue par cette dernière pour le tenir à distance. Il avait été libéré deux jours plus tard après avoir acquitté une caution de 50 000 $.

Seulement, Furlong était de retour en cour à Los Angeles lundi (10 juin), et le juge a décidé que la caution de 50 000 $ était insuffisante, il l’a donc fixée à 100 000 $. Incapable de payer une telle somme, Furlong a été menotté et conduit derrière les barreaux. Il aura une nouvelle audience plus tard ce mois-ci, mentionne TMZ.

Furlong semble avoir un réel problème à respecter les ordonnances restrictives, car en mars dernier, il avait été condamné à 180 jours de prison pour avoir refusé de rester loin de Monica Keena. Il avait été relâché peu après la sentence.

Auparavant, il avait été arrêté à deux reprises pour avoir fait preuve de violence envers son ex et pour avoir violé sa probation de trois ans. En 2010, il avait été condamné pour ne pas avoir respecté une ordonnance de protection civile obtenue par son ex-femme, Rachael Kneeland.

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Edward Furlong en prison

Lundi dernier (4 mars), l’acteur de Terminator 2 a été renvoyé en détention pour avoir violé les termes d’une ordonnance restrictive qui lui interdisait de prendre contact avec son ex-femme, Rachael Kneeland.

Cette sentence est également liée à d’autres problèmes juridiques rencontrés par Edward Furlong. En effet, il a récemment été arrêté deux fois pour violence sur son ex-petite amie, Monica Keena.

Furlong, 35 ans, avait été arrêté en octobre 2012 pour avoir saisi le bras de Keena à l’aéroport de Los Angeles, puis à nouveau en janvier dernier, pour une autre dispute.

L’acteur a ensuite été arrêté et emprisonné en février pour avoir violé les termes de sa liberté conditionnelle.

Après l’audience de lundi, son avocat, Brian Michaels, a déclaré à E! News : « M. Furlong a eu l’occasion d’éviter la prison grâce à un accord que mon cabinet avait trouvé et dans lequel il devait se présenter à un programme de désintoxication, un dispositif très inhabituel dans une affaire de violence ».

« Malheureusement, M. Furlong n’a pas accepté cette proposition, et la cour a décidé de le condamner à une peine de prison. Nous espérons que M. Furlong utilisera cette expérience déplaisante pour revoir l’idée d’une réadaptation à sa sortie. »