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Prendre l’avion avec bébé en toute quiétude

Vaut mieux prévenir que guérir. Il y a toujours quelques précautions qui sont mieux d’être prises avant de prévoir un voyage en avion avec un bébé.

Au moment de réserver son billet, mentionnez que vous voyagez avec un bébé. Avant ses deux ans, le bambin n’a pas droit à son siège, donc si votre nouveau-né a moins de six mois, le personnel pourra prévoir un berceau à suspendre en face de votre siège ou pourra vous suggérer les places au premier rang, car il y a plus d’espace, si jamais votre poupon est un peu plus âgé et veut bouger ses petites jambes.

Dans vos bagages à main, pensez à tout : jouets, suces, vêtements, lingettes et couches de rechange, biberons et petits pots, qui pourront d’ailleurs être réchauffés par un agent de bord si vous en faites la demande.

Au décollage et à l’atterrissage, le site Top Santé donne cet excellent truc pour changer les idées de votre petit, mais surtout pour éviter que ses oreilles se bouchent et qu’il pleure. Au sein ou au biberon, faites téter votre bébé. Cette action aura le même effet que lorsqu’on dit à un plus grand de mâcher de la gomme, se boucher le nez ou bâiller : produire une pression dans le sens inverse de la pression qui s’exerce sur la membrane du tympan lors de la montée ou la descente d’un avion. Boire beaucoup durant le vol va permettre à votre mini globe-trotteur d’être mieux hydraté, avec l’air sec qu’il y a souvent en avion.

Peu importe le truc, si votre enfant a le rhume et que vous n’avez pas consulté au préalable un médecin, ne serait-ce que pour vous assurer que ses oreilles et voies respiratoires sont belles, vous risquez de ne pas passer un agréable vol.

Finalement, si vous passez un séjour loin de la maison et où vous devez combattre un décalage horaire, il est conseillé de nourrir et coucher votre bébé aux heures locales des dodos et repas.

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Pourquoi moins de cas d’otite?

Selon MedicalNewsToday, les chercheurs reconnaissent certains facteurs comme responsables de la baisse du nombre d’otites depuis les 15 dernières années. Si ce type d’infection demeure courant chez les jeunes enfants, le nombre de cas a pourtant chuté de 30 %.

On croit tout d’abord que la baisse marquée du tabagisme encouragée par les gouvernements y est pour quelque chose.
 
En effet, des chercheurs de l’Université Harvard de Cambridge, au Massachusetts, ont démontré que la fumée de cigarette causait la même irritation au nez pouvant mener à une otite. La raison en est que chez les enfants, le nez est plus directement lié aux oreilles.
 
D’autre part, l’usage de plus en plus courant d’un vaccin contre la bactérie causant cette infection pourrait être l’une des causes de la baisse mentionnée plus haut.
 
Celui-ci, le Prevnar, semble très efficace : les enfants qui font des otites à répétition ont 10 à 20 % moins de risques de développer une otite s’ils sont vaccinés.
 
Finalement, l’allaitement pourrait être en cause quant à cette baisse des otites. Parce que le lait maternel est riche en anticorps, il protègerait mieux les bébés de la maladie.

Ces anticorps feraient que le lait maternel ressemble en fait au sang humain, car ils contiennent tous deux des globules blancs.