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Quand le cannabis nuit à l’orgasme

Selon la Dre Marian Pitts et ses collègues de l’Université La Trobe de Melbourne, les hommes qui consomment régulièrement du cannabis auraient quatre fois plus de difficulté à atteindre l’orgasme lors d’une relation sexuelle.

De plus, les scientifiques ont observé que certains des 8 600 participants à leur étude souffraient d’éjaculation précoce attribuée à leur consommation de marijuana.

Chez les femmes, on ne note pas de problèmes sexuels, mais le taux de transmission d’infections sexuelles est multiplié par sept lorsqu’elles consomment de la drogue.

Tous les détails de cette recherche se retrouvent dans le Journal of Sexual Medicine.

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Le Viagra et les femmes dépressives

Une recherche publiée dans le journal de l’American Medical Association nous en apprend un peu plus sur les effets de la célèbre pilule bleue chez les femmes.

Si les effets sur la libido et le désir féminin ne semblent pas concluants, le Viagra améliorerait tout de même la vie sexuelle et l’atteinte de l’orgasme chez 72 % des femmes qui prennent des antidépresseurs.

Les chercheurs, qui ont mené cette étude, croient donc que le Viagra n’est pas suffisamment efficace pour déjouer les antidépresseurs, médicaments dont les effets secondaires atténuent la libido, mais qu’il favoriserait tout de même l’atteinte de l’orgasme.

L’auteur principal de cette recherche, le Dr Stanley Althof, se dit par ailleurs préoccupé que 43 % des participantes aient avoué souffrir de migraines, alors que cette condition ne touchait que 27 % de celles qui prenaient le placebo.

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Le mystère sur le point G enfin résolu

Une étude menée par des chercheurs de l’Université de l’Aquila permet d’en comprendre davantage sur le point G, qui a été découvert dans les années 1950 par le sexologue allemand Ernest Gräfenberg.

Selon la Dre Emmanuele Jannini et son équipe, les femmes qui sont pourvues de tissu plus épais dans la région de la paroi antérieure entre l’urètre et le vagin ont des orgasmes plus intenses que celles dont le tissu est plus mince.

Le groupe de participantes se composait de neuf femmes ayant des orgasmes vaginaux et onze qui n’en ressentaient pas.

La technique des ultrasons a ensuite été utilisée afin de déterminer l’existence du point G chez les sujets. La Dre Jannini est formelle : les femmes qui n’ont aucune apparence visible de point G ne peuvent pas avoir d’orgasme vaginal.

D’autres experts remettent toutefois en cause cette recherche de la Dre Jannini et prétendent que l’épaisseur de la partie antérieure du vagin est uniquement en lien avec la taille du clitoris.