Comme l’indique la thérapeute Frédérique Chardeau, sur psychoenfants.fr, l’adolescent doit faire une bonne réflexion et ne pas se jeter dans un programme avant d’avoir fait le tour de la question. « Pour que cette voie aboutisse à quelque chose de sûr, le jeune devra la mûrir à son rythme, au fur et à mesure qu’il se construira et qu’il fera ses expériences. »
En tant que parent, vous devez éviter à tout prix de choisir à la place de votre enfant, mais encore plus, de projeter vos propres désirs sur lui. Vous auriez voulu être architecte? Il s’agissait de votre rêve, pas le sien.
Vous ne pouvez pas non plus le laisser libre de faire n’importe quel choix. S’il veut faire de la musique, il lui faut au moins des études pour pallier les débuts artistiques difficiles. L’objectif, c’est qu’il soit outillé pour travailler.
Si vous ne vous sentez pas l’âme objective, référez votre enfant à un conseiller en orientation. Celui-ci lui fera passer des tests psychométriques, pour découvrir ses passions et associer des métiers compatibles à ses intérêts et aptitudes.