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Yoko Ono parle de la bisexualité de John Lennon

Questionnée par The Daily Beast concernant la bisexualité de Lennon, Yoko Ono dévoile que le chanteur avait des envies bisexuelles, mais qu’il n’a jamais tenté l’expérience.

«Je crois qu’il avait le désir, mais qu’il était trop inhibé pour agir», explique-t-elle.

«Non, pas inhibé. Il a dit : Ça ne me fait rien qu’un homme soit incroyablement attirant. C’est très difficile; il faudrait qu’il soit non seulement attirant physiquement, mais aussi très avancé mentalement. On ne trouve pas ce genre de gens», continue Ono.

Elle ajoute : «John et moi avions eu une grande discussion sur le sujet et nous avions déterminé que tout le monde devait être bisexuel. Que c’est la société qui fait qu’on pense ne pas l’être. Nous cachons donc ce côté de nous qui est moins accepté».

Dans un autre registre, Yoko Ono s’est dite craintive quant à Mark Chapman, l’assassin de Lennon. Elle se décrit comme étant encore prudente, qu’elle soit chez elle ou à l’extérieur.

Mark Chapman a abattu John Lennon de quatre balles en 1980. Bien qu’il ait obtenu une peine de prison à perpétuité, sa liberté conditionnelle est envisageable depuis 2000. Il se l’est vu refusée à huit reprises jusqu’à maintenant.

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Les traitements de fertilité concernent davantage les femmes hétérosexuelles

En fait, les femmes hétérosexuelles caucasiennes sont deux fois plus susceptibles de recourir à l’aide médicale pour tomber enceinte que leurs pairs homosexuelles ou de toute autre nationalité, lance une étude de l’Université de Virginie.

Les experts ont analysé les données d’une enquête effectuée auprès de 19 222 femmes âgées de 21 à 44 ans. Il appert que 13 % des femmes de race blanche hétérosexuelles ont profité de traitements de fertilité (assistance médicale, conseils de médecins spécialisés, chirurgie ou insémination artificielle).

Chez les femmes lesbiennes, ce sont 7 % d’entre elles qui ont eu recours à l’assistance médicale, et il en est de même pour les femmes de minorité visible. Chez les femmes bisexuelles ou homosexuelles de toutes autres nationalités, seulement 1 % d’entre elles ont profité de traitement de fertilité.

L’auteure principale de l’étude, Bernadette V. Blanchfield, suppose que l’une des principales raisons de cet écart constitue des assurances plus complètes chez les femmes caucasiennes.

L’étude parue dans le journal Health Psychology reproche au système d’être injuste et de manquer d’équité envers les femmes, rapporte Science World Report. 

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Joseph Gordon-Levitt refuse de parler de son orientation sexuelle

Joseph Gordon-Levitts’est confié au magazine OUT à propos de la rumeur selon laquelle il serait gai. « Les médias gagneraient si je me sentais obligé de clarifier. » Une réplique bien placée.

L’acteur de 32 ans, qui réalise et tient aussi un rôle dans son prochain film, Don Jon, a également mentionné que la protection de sa vie privée est importante. Au début de sa carrière, alors qu’il avait à peine 7 ans, ce qu’on disait de lui l’affectait beaucoup trop. « Avant même de comprendre ou d’analyser ce qu’on disait à propos de moi, je savais que ça me rendrait nerveux. »

Justement, lorsqu’on a demandé à l’acteur de justifier son choix de film (Don Jon) à propos d’un accro à la pornographie, il a spécifié : « Ce n’est pas de faire un film sur la pornographie qui m’a intéressé. C’est plutôt sur la façon dont les gens se traitent comme s’ils étaient des choses, et tous les médias y contribuent ».

Encore aujourd’hui, Joseph Gordon-Levitt croit que les gens n’ont pas compris que l’acteur et la personne sont deux êtres distincts. « Parfois, je sens qu’on me voit plus comme une chose que comme une personne, et j’ai le sentiment que ce n’est pas un phénomène qui se produit juste chez les acteurs. »

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Joseph Gordon-Levitt refuse de parler de son orientation sexuelle

Joseph Gordon-Levitts’est confié au magazine OUT à propos de la rumeur selon laquelle il serait gai. « Les médias gagneraient si je me sentais obligé de clarifier. » Une réplique bien placée.

L’acteur de 32 ans, qui réalise et tient aussi un rôle dans son prochain film, Don Jon, a également mentionné que la protection de sa vie privée est importante. Au début de sa carrière, alors qu’il avait à peine 7 ans, ce qu’on disait de lui l’affectait beaucoup trop. « Avant même de comprendre ou d’analyser ce qu’on disait à propos de moi, je savais que ça me rendrait nerveux. »

Justement, lorsqu’on a demandé à l’acteur de justifier son choix de film (Don Jon) à propos d’un accro à la pornographie, il a spécifié : « Ce n’est pas de faire un film sur la pornographie qui m’a intéressé. C’est plutôt sur la façon dont les gens se traitent comme s’ils étaient des choses, et tous les médias y contribuent ».

Encore aujourd’hui, Joseph Gordon-Levitt croit que les gens n’ont pas compris que l’acteur et la personne sont deux êtres distincts. « Parfois, je sens qu’on me voit plus comme une chose que comme une personne, et j’ai le sentiment que ce n’est pas un phénomène qui se produit juste chez les acteurs. »

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Plus de cancers chez les hommes homosexuels

La revue Cancer rapporte que les hommes homosexuels sont plus souvent atteints d’un cancer que les hétérosexuels. Ces résultats proviennent d’une étude californienne qui a été la première à poser la question de l’orientation sexuelle chez les 10 942 patients interrogés.
 
Sur les 3 690 hommes participants à la recherche, on a remarqué que les cas de cancer étaient plus élevés de 1,9 fois chez les hommes homosexuels.
 
Toutefois, on ne note aucune différence chez les 7 252 femmes interrogées quant à leur orientation sexuelle. La seule différence est que les lesbiennes et bisexuelles survivantes au cancer auraient 2,3 fois plus de chances d’avoir une mauvaise santé comparativement aux femmes hétérosexuelles.
 
D’autres études devraient dorénavant se pencher sur le sujet et voir comment améliorer les programmes de détection précoce.