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Des carences en vitamine D beaucoup trop communes

La plupart des patients hospitalisés pour des fractures présentent des carences évidentes en vitamine D, selon les spécialistes, ce qui fait dire à ces derniers que ce problème en est un largement généralisé.

Et peu importe l’âge, peut-on déduire des statistiques publiées par l’Université du Missouri et rapportées par The National Library of Medicine, alors que même des patients âgés de 18 à 25 ans présentent cette carence.

« Une découverte intéressante de cette étude est que la déficience en vitamine D est observable chez des patients de tous âges. Plus de recherches sont nécessaires pour démontrer clairement si la vitamine D peut réduire le risque de fracture, mais nous savons qu’elle est nécessaire pour réparer les dommages aux os », résume Brett Crist, un professeur de l’Université du Missouri qui n’hésite pas à suggérer du même souffle la prescription de vitamine D à titre préventif chez la plupart des patients.

Seul bémol : des problèmes de santé sont associés à une trop forte teneur en vitamine D dans l’organisme, par exemple des maladies rénales ou encore le cancer.

On suggère donc fortement d’avoir une discussion ouverte avec son médecin praticien avant de se lancer dans la consommation de suppléments de vitamine D.

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Des apports en poisson réduiraient les risques d’arthrite

Plusieurs bienfaits du poisson et des huiles de poisson ont maintes fois été démontrés, mais de récentes études ajoutent une nouvelle corde à leur arc.

Selon les renseignements rapportés par Medical News Today, des apports hebdomadaires en poisson (une portion de poisson gras par semaine, ou encore quatre de poisson maigre) permettraient de réduire de façon significative les risques de développer des problèmes d’arthrite.

C’est une étude publiée dans le magazine Annals of the Rheumatic Diseases qui soulève cette hypothèse, notamment en ce qui concerne l’arthrite rhumatoïde.

Réalisée par des chercheurs suédois basés à la Karolinska Institute, l’étude parle de risques réduits de l’ordre de 30 % à 50 % chez les personnes qui consomment régulièrement du poisson depuis une période d’environ 10 ans.

Ces conclusions se basent sur les observations effectuées auprès de 32 000 femmes de 2003 à 2010, des femmes qui avaient auparavant déjà participé à ce genre d’étude dans les années 1990. 

En ajoutant les habitudes alimentaires, notamment en matière de poisson, aux données précédemment obtenues, les chercheurs concluent à la véracité de la théorie. 

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Traitement possible de l’ostéoporose grâce à la pravastatine?

Radio-Canada rapporte une percée intéressante annoncée par des chercheurs de la Faculté de médecine Pierre et Marie Curie en ce qui concerne un traitement de l’ostéoporose découlant d’un traitement contre le VIH.

On le sait, les « traitements » par trithérapie sont de plus en plus puissants et efficaces. Ils permettent aux patient atteints du SIDA (ou VIH) de vivre mieux et plus longtemps dans une bonne proportion des cas.

Malheureusement, le traitement par trithérapie comprend aussi son lot d’effets indésirables, selon ce que l’on comprend, à commencer par un vieillissement prématuré des cellules souches de la moelle osseuse et de celles responsables de la formation et du développement des os.

Ainsi, on parle donc d’ostéoporose précoce chez plusieurs patients, mais Claire Laghatu croit qu’elle et son équipe pourraient ni plus ni moins régler le problème grâce à la pravastatine.

Oui, une autre de ces statines dont on parle beaucoup ces temps-ci, puisqu’elles soulèvent une petite polémique concernant les effets secondaires possibles des gens qui en consomment pour prévenir les risques de maladies et d’accidents cardiovasculaires.

Cependant, leur efficacité est quant à elle fortement démontrée, et la pravastatine pourrait également servir la cause des patients atteints d’ostéoporose.

Plusieurs autres tests et recherches doivent être effectués, mais la piste semble prometteuse.

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Approbation d’un nouveau traitement contre le cancer de la prostate

La FDA américaine (Food and Drugs Administration) vient de donner son aval à un nouveau traitement prometteur contre le cancer de la prostate, selon un communiqué publié sur le site web de l’organisation.

Le traitement, baptisé Xofigo, permettrait de lutter contre les formes avancées de cette terrible maladie,  jetant ainsi un nouvel espoir pour les hommes qui voient leur cancer proliférer.

Agissant notamment sur les os, qui sont souvent touchés lorsque la maladie progresse, le traitement semble véritablement efficace. C’est du moins ce que croient certains spécialistes, à commencer par le Dr Richard Pazdur qui travaille au Bureau d’Hématologie et d’Oncologie de la FDA.

« Xofigo travaille en symbiose avec les minéraux des os et pour délivrer une radiation dirigée vers les tumeurs osseuses, limitant ainsi les dommages des tissus normaux environnants. Xofigo est le deuxième traitement approuvé par la FDA depuis un an, qui démontre une capacité à allonger la durée de vie des patients masculins aux prises avec un cancer de la prostate », explique Pazdur.

On souhaite que cette nouvelle étape en soit une qui ouvre la porte à un traitement définitif de cette forme de cancer, qui s’avère un véritable fléau pour la gent masculine.

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La pomme, encore une arme de taille en santé

Top Santé rapporte une étude en provenance de la Norvège qui rappelle et confirme les bienfaits de la pomme sur la santé, en plus d’ajouter une nouvelle corde à son arc.

Selon les chercheurs norvégiens en tête de l’étude, qui regroupe des analyses effectuées sur plus de 3000 patientes, la pomme aurait également un impact majeur et positif sur les os.

Déjà connue pour ses effets positifs sur le cœur et en prévention de plusieurs maladies comme le diabète, la pomme permettrait également de renforcer la masse osseuse ainsi que sa résistance.

On explique le phénomène par la présence massive d’antioxydants dans le fameux fruit.

Cette nouvelle recherche confirme des théories précédentes sur le sujet et s’ajoute à celle publiée par des chercheurs du Texas en 2012, qui dévoilait alors le lien positif entre la consommation de pommes et la qualité des os.

Manger une pomme, donc, est un geste on ne peut plus simple qui permet d’aider le corps à se maintenir en bonne santé.

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Peut-on boire trop de thé?

Le thé jouit d’une réputation parfaite, sans tache. Toutes les études sur l’alimentation et la nutrition vantent les mérites de cette boisson, à laquelle on associe des notions de santé, de longévité et de bien-être.
 
Mais serait-il possible, comme les autres aliments, de boire trop de thé? Pour Top Santé, qui rapporte des cas de patients buveurs invétérés de thé, il semble que ce soit une possibilité.
 
On avance notamment que certaines personnes qui abusent de cette boisson pourraient développer des problèmes aux os, plus particulièrement un trouble connu sous le nom de fluorose squelettique.
 
Le problème résiderait dans les taux de fluorure ingérés par les consommateurs de thé. Certains spécialistes croient que la zone de danger se situe au-delà de 10 milligrammes de fluorure par jour.
 
En excès, ce dernier provoque des dépôts sur les os, ce qui mène éventuellement à une fluorose squelettique, un problème franchement sérieux et préoccupant.
 
Cela dit, ceci n’enlève rien aux vertus du thé, mais comme pour le reste, la modération est conseillée.
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L’ostéoporose chez les hommes : un phénomène méconnu

Lorsqu’on parle d’ostéoporose, on pense immédiatement à la femme. Cependant, Top Santé rapporte des propos de spécialistes américains qui veulent sensibiliser la population au problème chez les hommes, qui s’avère bien réel.

Le problème, c’est que les hommes eux-mêmes ignorent souvent qu’ils souffrent de la maladie ou qu’ils sont à risque de la développer. La gent masculine doit donc s’éveiller au phénomène, mais selon le professeur Robert Adler, les médecins aussi…

« Je pense que pour la majorité des praticiens, l’ostéoporose est une pathologie qui ne touche que les femmes. Rares sont les patients hommes à qui l’on propose de faire un test d’ostéodensitométrie, un examen qui permet de mesurer la densité osseuse », explique le spécialiste de l’hôpital pour vétérans de Richmond, aux États-Unis.

Pourtant, les facteurs de risque sont les mêmes, peu importe le sexe de la personne. Notamment, le manque de vitamine D et de calcium, le tabagisme, le vieillissement et l’absence d’activité physique sont des facteurs qui peuvent influencer le développement de la maladie.

Un travail colossal de sensibilisation et de prévention reste donc à faire.

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Pas de lien établi entre vitamine D pendant la grossesse et santé osseuse de l’enfant

Les apports en vitamine D chez les femmes enceintes n’auraient pas d’impact sur la santé osseuse de leurs enfants, selon une étude, alors que cette vitamine est régulièrement recommandée pour prévenir de futurs problèmes osseux chez l’enfant.

Menée par la Pr Debbie Lawlor de l’Université de Bristol sur 3960 femmes enceintes britanniques, l’étude n’a pas permis d’établir un lien significatif entre le taux de vitamine D de ces femmes pendant leur grossesse et la minéralisation osseuse de leurs enfants, mesurée à l’âge de 9 ans et 11 mois.

Le taux de vitamine D a été étudié tout au long de la grossesse, partant de son niveau le plus bas au premier trimestre pour s’élever progressivement par la suite, avec une hausse plus marquée pendant les mois d’été.

La vitamine D joue un rôle majeur dans la minéralisation osseuse en stimulant l’absorption intestinale du calcium et sa fixation dans l’os. Elle est principalement produite par le corps sous l’action des rayons ultraviolets UVB sur la peau, mais elle peut également être apportée sous une forme médicamenteuse.

Commentant les résultats de l’étude, publiée dans la revue médicale britannique Lancet, la Pr Lawlor a estimé que les recommandations britanniques « surestimaient l’importance de la vitamine D ».

« Nous pensons qu’il n’y a pas de preuve solide qu’une supplémentation en vitamine D chez les femmes enceintes peut prévenir une teneur minérale osseuse trop faible chez leurs enfants », ajoute-t-elle.

Elle reconnaît toutefois que les autres effets possibles de la vitamine D chez les femmes enceintes n’ont pas été examinés dans l’étude britannique.

En attendant le résultat d’essais répartis par tirage au sort, l’étude britannique suggère de limiter la prescription de vitamine D aux seules femmes enceintes considérées comme à risques (originaires d’Afrique, des Caraïbes ou du Sud asiatique ainsi qu’aux femmes obèses ou peu exposées au soleil).

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Des experts déconseillent les suppléments de calcium aux femmes plus âgées

The National Library of Medicine rapporte qu’un groupe de spécialistes américains vient de publier une déclaration qui déconseille aux femmes plus âgées, spécialement celles en parfaite santé, de consommer systématiquement des suppléments de calcium.

Il s’agit d’un comportement populaire encouragé, puisqu’on accorde aux compléments alimentaires de calcium (ainsi qu’à la vitamine D, aussi retrouvée dans le lait) des effets protecteurs sur les os. On pourrait ainsi prévenir les fractures lorsqu’on prend de l’âge, croient plusieurs.

Rien n’est plus faux, martèlent maintenant les autorités américaines en la matière, qui y vont d’une dernière recommandation dans le cadre de ces études.

Pour les personnes en santé, un apport supplémentaire minime ou moyen en calcium n’aurait aucun effet, et les vertus d’un apport supplémentaire fort restent à démontrer.

Pour l’équipe de chercheurs, qui publie ces résultats dans l’édition du 26 février des Annals of Internal Medicine, aucune preuve concluante ne permet de prescrire ou d’encourager la prise de calcium en supplément chez les femmes de plus de 50 ans et en bonne santé.

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Le brocoli et les épinards à la rescousse des os

On connaissait bien les impacts positifs du calcium, notamment contenu dans les produits laitiers, pour la santé des os et dans la lutte à l’ostéoporose, mais on apprend maintenant la pertinence de consommer aussi des épinards et du brocoli, selon Santé Log.

Ces légumes renferment de la vitamine K qui, jumelée à l’ostéocalcine (une importante protéine osseuse), permet le renforcement des os.

C’est donc cette vitamine K qui est ciblée dans le rapport de recherche publié dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, et qui explique son fonctionnement.

On apprend notamment que l’ostéocalcine détermine la capacité du corps, et des os, à réagir à différentes fractures. Avec de bons apports en vitamine K, on donne à l’organisme tous les outils pour lutter efficacement contre ce genre de blessures.

Oui, encore une fois, il s’avère de plus en plus difficile d’éviter les fameux légumes verts comme le brocoli et les épinards, puisqu’on leur découvre de nouvelles propriétés presque chaque semaine!

Il existe plusieurs façons d’apprêter ces légumes pour de succulents petits repas. Si on veut augmenter la solidité de ses os, par exemple, le fromage est tout désigné comme partenaire des légumes verts.