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Les produits laitiers efficaces contre l’ostéoporose, mais…

Le vieillissement de la population entraine de plus en plus de chercheurs à se pencher sur certains dossiers, comme celui de l’ostéoporose.

Une récente étude, rapportée par Santé Log et publiée par l’Hebrew SeniorLife Institute for Aging Research, associée à Harvard, révèle qu’il ne faut pas compter uniquement sur les produits laitiers lorsqu’on souffre d’ostéoporose.

Ce serait notamment vrai en ce qui concerne les fractures, qui ne seraient pas systématiquement évitables en consommant des produits laitiers.

Attention cependant, plusieurs effets bénéfiques de ces produits sont toujours vérifiables. Il ne faut donc pas abandonner la formule complètement.

On note des effets moindres sur les hanches et la colonne vertébrale, ainsi que contre les fractures éventuelles.

Malheureusement, l’étude n’apporte pas de réponse quant à quel produit choisir ou vers quelles solutions se tourner pour éviter les fractures et les problèmes aux hanches et à la colonne. On souhaiterait obtenir plus de réponses…

D’ici là, on rappelle que le yogourt est en tête de liste des aliments laitiers bénéfiques, tout comme le lait à part entière. On suggère de consommer des fromages de façon modérée, notamment à cause de leurs apports en gras et en sel.

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Polémique concernant l’acide phytique chez les femmes ménopausées

Une polémique sévit dans le dossier de l’acide phytique, un élément retrouvé dans le sel de calcium et de magnésium, notamment.

Le dossier touche surtout les femmes qui vivent, ou sont sur le point de vivre, leur période de ménopause. Ces femmes sont invitées à consommer des produits et des aliments qui renferment de l’acide phytique, qui produit des phytates, afin d’aider au renforcement des os, notamment.

Si les phytates, retrouvées entre autres dans les légumineuses, les grains et les légumes racines, possèdent de belles vertus pour les femmes qui prennent un peu d’âge, elles auraient aussi des effets pervers potentiels à long terme.

On parle de possibles problèmes digestifs dus aux phytates, qui nuiraient aussi à l’absorption de certains minéraux importants par l’organisme.

Selon La Presse, qui rapporte plusieurs commentaires de spécialistes dans le dossier, beaucoup de gens croient que l’acide phytique possède plus de bons côtés que de mauvais.

On suggère aux femmes ménopausées de consommer les aliments qui en contiennent avec modération, et on mentionne que plusieurs moyens sont mis en place pour tenter d’amoindrir les taux d’acide phytique dans les produits, par processus de raffinement.

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Des résultats décevants pour la vitamine D dans le traitement de la démence

Les chercheurs espéraient pouvoir faire une corrélation entre la vitamine D et le traitement de la démence et de certaines maladies dégénératives, mais il semble que les résultats soient plutôt décevants.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet vient d’être publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.

Malgré tout, plusieurs experts gardent espoir de voir la vitamine D donner des résultats en matière de traitement de la démence, notamment.

Pour en arriver aux conclusions de la présente étude, des chercheurs du HealthPartners Institute for Education and Research, une branche à but non lucratif de la HMO (Health Maintenance Organization), ont analysé les dossiers de plus de 2000 patientes qui ont reçu des suppléments de vitamine D et de calcium.

La Dre Rebecca Rossom explique : « Je crois que l’étude ne regarde que les effets directs de la vitamine D sur la démence, mais elle demeure importante néanmoins, car elle fait le bilan des habitudes des femmes concernant celle-ci ».

De plus, on rappelle que le calcium, ainsi que la vitamine D, demeurent d’excellents alliés pour un vieillissement sain, à commencer par leurs effets protecteurs sur les os.

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Le manque de calcium lié à des problèmes hormonaux chez la femme

Les femmes qui ont une carence en calcium dans leur alimentation sont plus à risque de développer une condition hormonale causée par une suractivité des glandes parathyroïdes. Ces problèmes peuvent affaiblir les os et ainsi mener à des fractures et autres problèmes divers.

C’est ce qu’affirme www.nlm.nih.gov, qui reprend les constats d’une étude menée par la Dre Julie Paik et ses collègues du Brigham and Women’s Hospital de Boston.

Aux fins de l’étude, les chercheurs ont suivi plus de 58 000 dossiers de patientes, âgées de 39 à 66 ans, qui n’avaient pas de problèmes connus liés aux glandes parathyroïdes.

Les participantes ont été divisées en cinq groupes distincts, basés sur leurs habitudes de consommation de calcium. Les données compilées sont celles observées chaque quatre ans, sur une période de 22 ans.

Les résultats sont clairs : après un certain âge, les femmes qui consomment régulièrement des sources de calcium voient diminuer de 44 % leurs chances de développer des problèmes liés aux glandes parathyroïdes.

Un indicatif clair de l’importance du calcium. Les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium fait le travail, et que 500 milligrammes quotidiennement font chuter les risques jusqu’à 59 % de moins.

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Le régime méditerranéen bon pour les os

Selon une étude publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism, le fait de suivre un régime méditerranéen riche en huile d’olive durant deux ans pourrait augmenter la concentration de sérum d’ostéocalcine qui protège les os.

Or, des études ont prouvé que dans la région de la Méditerranée, les gens souffrent beaucoup moins d’ostéoporose et expérimentent moins de perte de masse osseuse qu’ailleurs en Europe.

Les experts recommandent donc de manger beaucoup de fruits et de légumes afin d’avoir un régime riche en gras monosaturé et en fibres.

« La consommation d’huile d’olive a été reliée à la prévention de l’ostéoporose dans les modèles expérimentaux et in vitro. C’est la première étude randomisée qui démontre que l’huile d’olive préserve les os », a expliqué l’auteur principal de la recherche, José Manuel Fernández-Real.

Rappelons que le régime méditerranéen protège aussi le cerveau. On constate qu’une alimentation riche en végétaux, poissons, huile d’olive et faible en viandes rouges et en produits laitiers diminue les risques de développer des lésions cérébrales liées aux troubles cognitifs.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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L’alcool serait bénéfique pour les os des femmes

Deux nouvelles études démontrent d’autres effets bénéfiques d’une consommation modérée d’alcool chez les femmes.
 
Selon le Bristih Medical Journal, une première étude s’est penchée sur les effets de l’alcool sur la polyarthrite rhumatoïde auprès de 34 000 femmes âgées de 54 à 89 ans.
 
Les femmes qui consommaient de l’alcool modérément, en moyenne un demi-verre par jour, avaient 52 % moins de risques de développer de la polyarthrite rhumatoïde que les femmes qui ne consommaient pas du tout d’alcool.
 
Les effets bénéfiques chez les femmes ménopausées seraient donc notables, car la deuxième étude dévoile des résultats similaires en ce qui concerne l’ostéoporose.
 
Attention toutefois, les bienfaits ne sont pratiquement pas présents chez les fumeuses, car le tabagisme est un facteur de risque pour ces deux maladies des os.
 
Avec l’alcool, la clé demeure toujours la modération, pour en retirer tous les bienfaits.
 
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De plus en plus de bébés ont des crânes aplatis

Aux États-Unis, des spécialistes ont remarqué que depuis le début de la campagne de sensibilisation Back To Sleep en 1994, moins d’enfants sont victimes de la mort subite du nourrisson, mais plus d’enfants se retrouvent avec un problème de plagiocéphalie positionnelle.

Souvent causée par la position sur le dos qui se doit d’être adoptée durant le sommeil, la plagiocéphalie positionnelle fait que les petits se retrouvent avec « une tête asymétrique avec une section aplatie derrière le crâne », indique la Dre Sherilyn Driscoll, directrice de la réadaptation pédiatrique à la clinique Mayo dans le Rochester, au Minnesota.

Selon l’experte, les asymétries crâniennes sont généralement faciles à traiter. Cependant, elles doivent être soignées dès qu’elles sont remarquées. La période est cruciale, car le crâne doit être encore en croissance, et le traitement doit se réaliser avant que les os du crâne soient soudés.

Une méthode appelée repositionnement permet aux parents d’encourager leurs enfants à se tenir sur le ventre quand ils sont éveillés et à atteindre des jouets qui se retrouvent dans le sens contraire de l’asymétrie.

Si cette technique ne semble pas porter fruit, un casque thérapeutique peut aider à remodeler le tout afin que les os se développent dans la bonne direction. De 4 à 6 mois, le casque peut déjà être porté et être plus bénéfique qu’à l’âge d’un an et plus.

Les parents qui détectent une asymétrie crânienne chez leur nourrisson sont invités à faire appel rapidement à un professionnel de la santé qui pourra diagnostiquer s’il s’agit d’un problème plus grave comme les craniosynostoses ou si des méthodes de positionnement peuvent remédier à la situation.

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La vitamine E causerait une réduction de la masse osseuse

Reconnue pour ses effets antioxydants, ses bienfaits contre les maladies cardiovasculaires, certains cancers, des maladies neurodégénératives, la dégénérescence maculaire et le diabète, la vitamine E aurait aussi des effets néfastes sur les os. 

Des chercheurs japonais ont constaté que la vitamine E favorisait le développement des cellules à l’origine de la résorption osseuse sur des souris. Maintenant, on doit mieux cerner les effets sur la densité osseuse des humains, rapporte le Nature Medecine.
 
Les rongeurs ayant eu des doses similaires à ce que l’on retrouve dans les suppléments de vitamines E avaient perdu 20 % de leur masse osseuse après deux mois. Ce qui pourrait entraîner l’ostéoporose.
 
En octobre dernier, une étude révélait que la vitamine E augmentait les risques de cancer de la prostate chez les hommes en bonne santé.
 
Cette vitamine n’aurait donc pas que de bons côtés.

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Une carence en vitamine D liée à une faiblesse musculaire

Deux nouvelles études confirment qu’une carence en vitamine D est non seulement liée à une faiblesse osseuse, mais aussi musculaire, rapporte Le Quotidien du médecin.
 
La vitamine D est primordiale pour maintenir une bonne santé. Malheureusement, il y a une carence chez de nombreuses personnes, car la principale source de vitamine D est le soleil.
 
Les études présentées au congrès de l’Académie des chirurgiens orthopédiques américains mentionnent qu’un manque en vitamine D est lié à une faiblesse musculaire, des fractures plus fréquentes et un retard de la consolidation des os.
 
Chez 1830 personnes ayant eu un traumatisme orthopédique, on a noté une carence chez 39 % d’entre elles et une insuffisance chez 38,4 %.
 
« Les praticiens devraient vérifier le taux de vitamine D chez les patients ayant subi un traumatisme afin d’optimiser leurs chances de récupération osseuse », disent les auteurs.
 
La deuxième étude réalisée sur 104 femmes ménopausées ayant eu des fractures et 107 personnes formant un groupe témoin démontre également que le groupe des fractures marquait de nettes carences en vitamine D.
 
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Une carence en vitamine D liée à une faiblesse musculaire

Deux nouvelles études confirment qu’une carence en vitamine D est non seulement liée à une faiblesse osseuse, mais aussi musculaire, rapporte Le Quotidien du médecin.
 
La vitamine D est primordiale pour maintenir une bonne santé. Malheureusement, il y a une carence chez de nombreuses personnes, car la principale source de vitamine D est le soleil.
 
Les études présentées au congrès de l’Académie des chirurgiens orthopédiques américains mentionnent qu’un manque en vitamine D est lié à une faiblesse musculaire, des fractures plus fréquentes et un retard de la consolidation des os.
 
Chez 1830 personnes ayant eu un traumatisme orthopédique, on a noté une carence chez 39 % d’entre elles et une insuffisance chez 38,4 %.
 
« Les praticiens devraient vérifier le taux de vitamine D chez les patients ayant subi un traumatisme afin d’optimiser leurs chances de récupération osseuse », disent les auteurs.
 
La deuxième étude réalisée sur 104 femmes ménopausées ayant eu des fractures et 107 personnes formant un groupe témoin démontre également que le groupe des fractures marquait de nettes carences en vitamine D.