Catégories
Uncategorized

Un manque de vitamine D chez les femmes enceintes et les bébés

Il n’y a pas que les parents qui semblent ignorer qu’une carence en vitamine D peut entraîner une perte osseuse, une altération de la fonction musculaire et une augmentation du risque de chutes et de fractures. Plus de la moitié des professionnels de la santé au Royaume-Uni ne sont pas au courant de l’importance de cette vitamine.

Un quart de tous les bambins au Royaume-Uni manquent de vitamine D, confirment des recherches qui rappellent que la solidité des os commence dès la naissance ou même dans l’utérus.

Des suppléments de vitamine D sont d’ailleurs aussi recommandés pour les femmes enceintes, celles qui allaitent et les personnes âgées.

Le Dr Benjamin Jacobs, pédiatre consultant à l’hôpital Royal National Orthopaedic, décrit la carence en vitamine comme un « problème majeur ».

Il explique qu’il y a environ 100 ans pour contrer le rachitisme, la vitamine D servait à prévenir la maladie, mais a ensuite été éradiquée dans les années 50, car les spécialistes craignaient que les enfants aient un surplus de vitamine dans les compléments alimentaires et l’huile de foie de morue. Une erreur nocive, selon lui.

Heureusement, la plupart des autres pays occidentaux ont continué la consommation de vitamine D au fil du temps.

Les gouttes, les comprimés, les suppléments alimentaires et l’exposition au soleil sont des moyens d’obtenir un taux plus élevé de vitamine D.

Catégories
Uncategorized

Détection d’un rare cancer infantile

Des chercheurs tentent de détecter plus facilement chez les enfants des tumeurs cancéreuses des tissus et des os, les sarcomes, lit-on dans Pediatric and Developmental Pathology.

Le diagnostic de ce cancer de forme rare demeure difficile, car les cellules d’origine sont encore méconnues. On essaie donc de trouver une façon de les remarquer, ce qui pourrait conduire à un traitement plus efficace de la maladie.

Déjà, les chercheurs ont remarqué une différence dans l’expression des protéines cellulaires visées; cette découverte permettra sûrement de mieux comprendre comment le cancer évolue.

Jusqu’ici, deux sous-types de sarcomes ont été identifiés. L’un d’eux consiste en une morphologie primitive ronde, l’autre en une apparence plus simple. Il semble par ailleurs que certains sarcomes naissent de cellules souches mésenchymateuses.

Catégories
Uncategorized

Un verre de vin par jour protège les os

L’American Journal of Clinical Nutrition avance qu’un verre de vin par jour permet de préserver la densité osseuse, mais la bière et les spiritueux n’ont pas cet effet.
 
L’étude menée auprès de 1000 jumelles dans la mi-cinquantaine a examiné la relation entre l’alimentation et la densité osseuse. En plus d’un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires, les femmes ont également passé des scans pour vérifier la densité minérale de leurs os.
 
On constate qu’une consommation modérée de vin est liée à une densité osseuse plus grande, donc à un moindre risque de fractures.
 
Par contre, un régime comportant du poisson frit, des fèves au lard, des pâtés à la viande ou de la charcuterie a des effets néfastes sur les os, les rendant plus fragiles.
 
Certains scientifiques ne croient pas que ce soit le vin lui-même qui protège les os, mais bien les polyphénols contenus dans la peau des raisins.
 
N’oublions pas, toutefois, que l’abus d’alcool affecte négativement les os et peut causer bien d’autres problèmes de santé.

Catégories
Uncategorized

Les oméga-3 contre l’arthrose

Le journal Osteoarthritis and Cartilage dévoile que les oméga-3 pourraient prévenir et même ralentir la progression de l’arthrose.
 
Des chercheurs de l’Université de Bristol ont effectué des études avec des porcs de Guinée. Ils ont constaté que ceux ayant reçu une alimentation riche en oméga-3 ont vu les symptômes de leur arthrose être diminués de 50 %.
 
Les acides gras de l’huile de poisson ou de lin diminuent également la dégradation du collagène dans les cartilages et la perte de molécules qui ont des propriétés d’amortissement.
 
Des tests sur les humains sont maintenant nécessaires pour savoir si l’on obtiendra les mêmes résultats.
 
Généralement, l’alimentation moderne offre beaucoup trop d’oméga-6 et trop peu d’oméga-3. En plus de prévenir et ralentir la progression de l’arthrose, les oméga-3 sont aussi reconnus pour leurs bienfaits sur le cerveau et les maladies cardiaques.
 
Jusqu’à présent, il n’existe aucun traitement efficace pour freiner la progression de l’arthrose.
 
Catégories
Uncategorized

Bienfaits rapides de l’exercice chez les enfants

Des chercheurs de la Georfia Health Sciences University présentent leurs conclusions quant à un programme d’exercice suivi par des enfants obèses. Après 12 semaines, on a remarqué une baisse du taux de gras viscéral, une amélioration de la sensibilité à l’insuline et des os plus forts chez les participants.

Ces derniers étaient du nombre de 222 et ils étaient âgés de 7 à 11 ans. Parmi eux, un groupe ne faisait pas d’aérobie, un deuxième en faisait d’un degré modéré (20 minutes par jour) et un troisième en faisait à un degré vigoureux (40 minutes par jour).

Les effets ont été remarqués parmi le groupe qui faisait un exercice quotidien rigoureux. Les chercheurs soulignent donc l’importance de l’activité physique quant à la santé à long terme.

Cette recherche a été présentée récemment lors de la rencontre annuelle (2011) de l’American Society for Bone and Mineral Research; un aperçu en a été publié sur Endocrine Today.

Catégories
Uncategorized

Découverte pour préserver le cartilage des os

Le Science Translational Medicine révèle une étude sur une hormone naturelle qui est déjà approuvée par les autorités pour traiter l’ostéoporose. Cette hormone, appelée PTH, serait également très efficace pour reconstruire les cartilages, en plus de diminuer la douleur des articulations.
 
Cette découverte faite par une équipe de l’Université de Rochester offre donc de nouvelles possibilités contre les maladies dégénératives comme l’arthrose, qui amincit le cartilage des articulations, les rendant douloureuses et gonflées.
 
Jusqu’ici, la seule option qui s’offrait aux gens qui ne pouvaient plus supporter la douleur était une chirurgie dans le but de remplacer le cartilage manquant par du métal ou du plastique.
 
Les chercheurs ont voulu savoir si l’hormone PTH sous forme de médicament par injection pouvait être efficace. Après un mois de traitement sur des souris, les cartilages de ces dernières étaient 37 % plus épais et mieux préservés que ceux des souris qui n’avaient pas été traitées.
 
Catégories
Uncategorized

Découverte pour préserver le cartilage des os

Le Science Translational Medicine révèle une étude sur une hormone naturelle qui est déjà approuvée par les autorités pour traiter l’ostéoporose. Cette hormone, appelée PTH, serait également très efficace pour reconstruire les cartilages, en plus de diminuer la douleur des articulations.
 
Cette découverte faite par une équipe de l’Université de Rochester offre donc de nouvelles possibilités contre les maladies dégénératives comme l’arthrose, qui amincit le cartilage des articulations, les rendant douloureuses et gonflées.
 
Jusqu’ici, la seule option qui s’offrait aux gens qui ne pouvaient plus supporter la douleur était une chirurgie dans le but de remplacer le cartilage manquant par du métal ou du plastique.
 
Les chercheurs ont voulu savoir si l’hormone PTH sous forme de médicament par injection pouvait être efficace. Après un mois de traitement sur des souris, les cartilages de ces dernières étaient 37 % plus épais et mieux préservés que ceux des souris qui n’avaient pas été traitées.
 
Catégories
Uncategorized

Les pruneaux pour des os forts et en santé

Connus pour aider à soulager la constipation, les pruneaux ont une autre utilité non négligeable.

Selon le British Journal of Nutrition, ils aident les femmes ménopausées à avoir une protection contre les fractures ostéoporotiques.

À la ménopause, les femmes sont plus susceptibles de souffrir d’ostéoporose, ce qui fragilise les os et les rend plus vulnérables aux fractures.

Pendant un an, les chercheurs ont suivi deux groupes de femmes. Le premier groupe, constitué de 55 participantes, a consommé 100 g de pruneaux (environ 10 pruneaux) par jour. Le deuxième, qui comportait 45 femmes, a mangé quotidiennement 100 g de pommes séchées. Toutes les femmes ont également reçu une dose quotidienne de vitamine D.

Les femmes qui avaient consommé des pruneaux avaient une densité osseuse plus importante que les autres.

Ainsi, les pruneaux sont meilleurs que les figues, les dattes, les fraises séchées, les pommes séchées ou les raisins secs pour la santé des os.

Catégories
Uncategorized

L’ostéoporose touche plus les femmes à faible revenu

Selon Statistique Canada, les femmes de plus de 50 ans à faible revenu sont plus affectées par l’ostéoporose, qui se caractérise par une fragilisation des os.
 
À partir de 50 ans, une femme sur quatre recevra un diagnostic d’ostéoporose. Pour les hommes, le taux est de seulement 3,4 %.
 
Alors que l’environnement social peut jouer un rôle dans le développement de la maladie, il semble que la situation financière y est également reliée.
 
Le Devoir rapporte que les femmes moins favorisées ont jusqu’à trois fois plus de risques de souffrir de cette maladie que les femmes mieux nanties.
 
On croit que la chute du taux d’œstrogène arrivant à la ménopause fragilise les os des femmes. Toutefois, dans la population en général, il faut dire aussi que la carence en calcium et en vitamine D joue un rôle important dans le développement de la maladie.
 
Catégories
Uncategorized

Les bleuets aideraient à renforcer les os

Des expériences menées sur des rats de laboratoire démontrent que les bleuets pourraient servir à la bonne formation des os.
 
Selon le Medical News Today, les polyphénols qui donnent la couleur bleutée, pourpre et rouge aux bleuets aident à construire des os solides.
 
Après avoir nourri des rats avec des bleuets, on a constaté que les rongeurs avaient des os plus solides que leurs congénères qui n’avaient pas eu ce régime alimentaire.
 
Bien entendu, il faudra pousser encore plus les recherches afin de recueillir des données chez l’homme, en espérant que les résultats obtenus soient similaires.

Cette découverte a ouvert la voie également à de nouvelles études afin de mesurer l’impact réel de ces composés des bleuets, à savoir notamment s’ils peuvent aider à prévenir l’ostéoporose.