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L’indiscipline des femmes aux prises avec l’ostéoporose

Selon une enquête canadienne, menée pour le compte de l’Association internationale des femmes médecins (MWIA), 40 % des femmes âgées de plus de 50 ans ne prennent pas leur médicament contre l’ostéoporose selon les recommandations de leur médecin.

Les raisons invoquées par les patientes sont l’oubli, dans 45 % des cas, ou encore les effets secondaires indésirables des médicaments. De plus, certaines répondantes ont mentionné qu’elles souhaitaient des traitements naturels.

Ces résultats inquiètent l’association, comme en témoigne la Dre Shelley Ross : « Les femmes savent qu’elles sont atteintes d’ostéoporose et que leur traitement est crucial afin de ralentir la perte osseuse. Malgré cela, beaucoup d’entre elles ne prennent pas leur médicament tel que prescrit. Cette situation est très alarmante, car les patientes doivent être fidèles à leur traitement afin de protéger leurs os. »

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L’indiscipline des femmes aux prises avec l’ostéoporose

Selon une enquête canadienne, menée pour le compte de l’Association internationale des femmes médecins (MWIA), 40 % des femmes âgées de plus de 50 ans ne prennent pas leur médicament contre l’ostéoporose selon les recommandations de leur médecin.

Les raisons invoquées par les patientes sont l’oubli, dans 45 % des cas, ou encore les effets secondaires indésirables des médicaments. De plus, certaines répondantes ont mentionné qu’elles souhaitaient des traitements naturels.

Ces résultats inquiètent l’association, comme en témoigne la Dre Shelley Ross : « Les femmes savent qu’elles sont atteintes d’ostéoporose et que leur traitement est crucial afin de ralentir la perte osseuse. Malgré cela, beaucoup d’entre elles ne prennent pas leur médicament tel que prescrit. Cette situation est très alarmante, car les patientes doivent être fidèles à leur traitement afin de protéger leurs os. »

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Le traitement contre le cancer affecte la masse osseuse

Selon le Dr Fred Saad, de l’Université de Montréal, les personnes qui sont traitées contre les cancers du sein et de la prostate pourraient voir leur masse osseuse diminuer. Ce phénomène aurait pour conséquence de les rendre plus vulnérables à l’ostéoporose et aux fractures.

Ce sont les traitements avec les inhibiteurs d’aromatase, les bisphosphonates et l’hormonothérapie anti­androgénique qui occasionnent une perte de la masse osseuse, qui peut varier entre 5 à 45 %.

« Cette incidence de perte osseuse associée au cancer ne peut que susciter une prise de conscience chez les cliniciens qui se devront d’identifier les patients les plus sujets aux fractures et leur prescrire les traitements appropriés », a souligné le Dr Saad.

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L’inefficacité de la glucosamine

Une recherche menée par le Dr Allen D. Sawitzke, de l’Université de l’Utah à Salt Lake City, démontre que la consommation de glucosamine et de chondroïtine, par les personnes atteintes d’arthrite, n’empêche pas la perte de masse osseuse.

572 sujets ont participé à cette étude, où on leur a administré 500 mg de glucosamine,et 400 mg de chondroïtine, 3 fois par jour, ou encore 200 mg de Celebrex quotidiennement.

Deux ans après, les chercheurs n’ont noté aucune amélioration de l’état de la masse osseuse des participants. Pire encore, il semble que la combinaison de la glucosamine et de la chondroïtine empire la situation.

Tous les détails sont publiés dans la revue scientifique Arthritis & Rheumatism.

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Remboursement autorisé de l’Aclasta

400 000 Québécoises souffrant d’ostéoporose postménopausique pourront désormais se faire rembourser le médicament Aclasta, dont l’élément actif est l’acide zolédronique, par la Régie de l’assurance maladie du Québec.

Ce traitement, dont l’administration est annuelle, est prescrit aux patientes qui sont intolérantes aux bisphosphonates.

« La décision du gouvernement du Québec de rembourser Aclasta est très appréciée par les femmes de cette province qui souffrent d’ostéoporose. Amener les personnes atteintes d’ostéoporose à rester fidèles au traitement représente un réel défi, étant donné que jusqu’à 50 % d’entre elles interrompent leur traitement avant la fin de la première année », a souligné le Dr Denis Choquette, rhumatologue à l’Institut de rhumatologie de Montréal, qui croit que le taux de fractures risque de chuter.

L’Aclasta est administré en une perfusion intraveineuse de 15 minutes, laquelle peut être effectuée au cabinet du médecin, par l’entremise d’un réseau de centres de perfusion ou à la maison.

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La puberté entraîne la sédentarité

Une vaste recherche, menée auprès de 1 000 enfants américains, prouve que les enfants deviennent de plus en plus sédentaires à mesure qu’ils grandissent.

Alors que 90 % des jeunes de 9 ans bougent de deux à trois heures quotidiennement, ce taux chute à 3 % lorsqu’ils passent le cap des 15 ans.

D’ailleurs, les chercheurs déplorent qu’environ 66 % de leur échantillonnage ne suivent pas les recommandations des experts en matière d’exercice physique, soit 90 minutes d’activités physiques par jour.

Parmi les raisons qui justifient cette sédentarité, on retrouve le travail rémunéré; 50 % des adolescents travaillent de 10 à 15 heures par semaine. Jeux vidéos, télévision et ordinateur sont aussi pointés du doigt par les scientifiques.

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L’ostéoporose, rarement diagnostiquée chez les femmes

Dans le cadre d’un colloque organisé à Barcelone, une recherche québécoise portant sur l’ostéoporose dévoile que 80 % des cas de fractures rapportés chez les femmes de 50 ans et plus étaient directement liés à l’ostéoporose et que 80 % d’entre elles n’ont jamais été traitées pour cette maladie.

Cette ignorance des femmes ne les rend que plus vulnérables aux fractures, d’après les chercheurs.

Selon le Dr Jacques Brown, chef du Service de rhumatologie du CHUQ et coauteur de l’étude, ces données risquent de changer la façon de traiter l’ostéoporose chez les professionnels de la santé : « L’importance de connaître l’historique des fractures chez les patientes est primordiale pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose. Les tests de densité minérale osseuse ne suffisent pas. Il faut analyser l’historique des fractures, car il représente un important facteur de risque de fracture. C’est une étape essentielle dans le processus du diagnostic et, la plupart du temps, on la néglige. »

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Une bonne ossature grâce au soccer

Selon une récente étude, des mouvements répétitifs comprenant des courses et des sauts, comme au soccer, ont un effet bénéfique sur la densité osseuse des adolescentes.

Cette période de leur vie est cruciale pour la formation d’une ossature qui résistera à l’ostéoporose, à l’âge adulte.

Le Dr James W. Bellew, de l’Université de la Louisiane, a comparé les masses osseuses de jeunes adolescentes de 10 à 17 ans qui pratiquaient trois sports différents : le soccer, la natation et le lever de poids.

Les joueuses de soccer étaient celles dont la densité osseuse était la plus importante parmi les participantes. De plus, les chercheurs croient que le basket-ball et le volley-ball pourraient avoir le même effet sur l’ossature des adolescentes.

 

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Le cola, mauvais pour l’ossature

Une recherche menée par le Dr Lawrence Raisz, du Centre sur l’ostéoporose de l’Université du Connecticut, conclut que les boissons gazeuses sont néfastes pour la masse osseuse, particulièrement chez les enfants.

Les chercheurs expliquent cette découverte par plusieurs éléments. D’abord, les consommateurs de ce type de rafraîchissements ont des carences en calcium et en vitamine D puisqu’ils boudent d’autres boissons qui en contiennent, comme le lait ou les jus enrichis.

La caféine pourrait être une autre explication, car elle a souvent été associée à l’ostéoporose.

L’acide phosphorique pourrait aussi jouer dans la balance, car le corps va puiser du calcium dans les os lorsqu’il y a trop de cet acide dans l’organisme humain.

« La modération est très importante. On ne recommande pas de les éliminer complètement de votre alimentation, mais d’en prendre un verre ou deux par semaine », a suggéré le Dr Raisz, qui mentionne que l’exercice physique est un excellent moyen de prévention contre l’ostéoporose.

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Les muscles et les os, premiers touchés par la sédentarité

Le quotidien La Presse nous apprend que la musculature et l’ossature sont les premières structures touchées par les effets négatifs de la sédentarité.

En l’absence d’exercice physique, les muscles subissent une atrophie comme lorsqu’on porte un plâtre. Ainsi, 225 g de masse musculaire par année s’envolent dès qu’une personne ayant atteint la trentaine est sédentaire. Cette perte est alors souvent compensée par une augmentation des tissus gras.

Ce phénomène s’explique par la dégradation des protéines des muscles peu utilisés. Ceci provoque un effet d’entraînement, car les tendons faiblissent ensuite sous l’effort et le coeur doit alors compenser durant un exercice physique.

La sédentarité a aussi des effets sur les os, particulièrement les tibias, les péronés, les fémurs et les vertèbres lombaires. Ces derniers ont besoin de la gravité terrestre et de la traction des muscles qui y sont attachés.