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Oslo innove avec ses taxis électriques

La Norvège est le pays du monde qui a le plus important pourcentage de véhicules électriques sur les routes.

Le pays scandinave entend poursuivre dans cette vague. À compter de 2023, tous les taxis roulant à Oslo devront être des véhicules électriques. 

Pour accélérer la recharge des taxis, la capitale norvégienne installera dans les stationnements des compagnies de taxis, des systèmes de recharge par induction. 

Ce système consiste à placer sous la chaussée, des plaques de rechargement. Les véhicules de taxi n’auront qu’à se stationner au-dessus de ces plaques pour que leurs batteries s’y rechargent sans avoir besoin d’être connecté par un câble.

La Norvège exigera que tous les nouveaux véhicules vendus à compter de 2025 soient des véhicules à zéro émission. Ce faisant, elle deviendra la société la plus avant-gardiste dans ce secteur dans le monde.

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Avec une population de seulement 5 millions de personnes, la Norvège possède un parc automobile électrique de 46 143 véhicules.

En comparaison, l’Allemagne et ses 82,7 millions de personnes ne possèdent que 36 216 véhicules électriques.

Photo : Carmen Steiner/Westend61/Cover Images

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Justin Bieber n’arrive pas à tout éponger

Le chanteur pop Justin Bieber a encore une fois trouvé une façon de faire parler de lui cette semaine. Après avoir mentionné être «tanné de se justifier et de s’excuser» en général dans la vie, le Canadien de 21 ans a tout simplement arrêté un concert télévisé jeudi soir (29 octobre), à Oslo, en Norvège, parce que des spectatrices de première rangée lançaient de l’eau sur la scène.

«Hey tout le monde, arrêtez, j’essaie d’essuyer», a-t-il lancé à une poignée de jeunes dames qui immergeaient la scène avec leur bouteille d’eau.

«Tant pis, j’ai fini, je ne fais pas de spectacle», a-t-il rapidement informé la foule quelques secondes plus tard.

Visiblement, Bieber n’était pas dans son assiette jeudi soir. Il s’est rapidement excusé de sa conduite sur Instagram, publiant le message suivant :

«Malheureusement, ça a été une difficile semaine pour moi, avec de longues journées sans dormir. En aucun cas, je n’ai voulu être méchant, mais j’ai choisi de terminer le spectacle parce que les gens en première rangée n’écoutaient pas. Je ne gère pas toujours les choses de la bonne façon, mais je suis humain et je m’efforce de mieux réagir. Malheureusement, des personnes ont été affectées par cela, je l’ai aussi été. Pour les personnes en fond de salle, je suis désolé et pour ceux que j’aurais déçus, je suis désolé. Je serai de retour dans une prochaine tournée.»

Plusieurs médias norvégiens ont fait état de l’attitude de Justin Bieber, interviewant des jeunes filles déçues de la tournure des événements.

Photo : BANG/BIG

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Oslo est la plus chère du monde

La banque suisse UBS vient d’annoncer sa liste des villes les plus chères au monde. On lit sur Routard.com qu’Oslo arrive en première position. Elle fait partie des trois villes où le salaire moyen est le plus élevé au monde.

Zurich et Genève se classent pour leur part en deuxième et troisième place, suivies de Stockholm et Sydney. Remarquons que Toronto arrive quant à elle en septième position.

Être l’une des villes dudit palmarès ne comporte pas toujours que de bons côtés. C’est le cas de Paris, qui détient la 12e position, mais qui arrive 24e quant à son salaire moyen. En guise de comparaison, un Parisien reçoit la moitié du salaire d’un citoyen d’Oslo, alors que ses prix ne sont que de 25 % inférieurs.

Une autre liste, celle-là moins joyeuse, annonce les villes les moins chères du monde. C’est Bombay, en Inde, qui se trouve en tête, affichant le salaire moyen le plus bas.

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Au tour de New York d’être la plus chère ville du monde

Selon le site web Hotel.info, qui tient des statistiques chaque mois sur le sujet, c’est à New York que le prix moyen d’une chambre d’hôtel fut le plus élevé dans le monde pour le mois d’avril 2010.

Durant ce mois, le prix moyen demandé pour une chambre dans la grande ville américaine était 240,63 $, soit près de 32 $ de plus en moyenne que l’année dernière à la même période, un signe évident de la reprise économique au pays.

Pour New York, cette augmentation est de l’ordre d’environ 15 % et la moyenne du prix demandé en 2010 dépasse même le mois d’avril 2008 qui, avec 220 $ à l’époque, n’avait de toute évidence pas été confronté à la récession de l’année dernière.

La deuxième ville la plus dispendieuse pour ses chambres d’hôtel durant le mois pascal de cette année fut Oslo en Norvège qui, avec une moyenne de 211,55 $, affiche elle aussi une augmentation de 15 % par rapport à sa moyenne de l’année dernière qui s’établissait à 174 $, encore une fois inférieure à celle de 2008 pour le même mois.

C’est Moscou qui complète sans trop de surprises le top 3 des villes les plus chères du monde dans le domaine de l’hôtellerie avec une moyenne de 199,81 $, tout juste sous la barre des 200 $. Depuis la chute du communisme, la capitale moscovite a souvent fait partie de ce top 3, allant d’ailleurs chercher la première place à plusieurs occasions.

D’ailleurs, contrairement aux villes des deux premières positions, New York et Oslo, Moscou a subi une baisse de l’ordre de 22 % en comparaison avec l’an dernier, elle qui montrait une moyenne de 256 $ à la même époque de l’année.

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Paris, la plus dispendieuse

Selon Le Figaro, la plus récente étude qu’a fait paraître The Economist Intelligence Unit (EIU), une division de la publication anglaise The Economist, avance que Paris est la ville la plus onéreuse du monde.

Ayant obtenu la deuxième position en 2008, la Ville Lumière arrive donc devant les 132 autres villes qui ont été analysées. Le classement ne dépend pas du pouvoir d’achat des résidents des diverses villes, mais plutôt du niveau des coûts des biens et services.

D’après les économistes, ce n’est pas surprenant que Paris occupe la première position, car il faut savoir que toutes les grosses villes des pays développés sont dispendieuses. Fait intéressant, il en coûterait 50 % moins cher pour vivre à New York ou à Chicago qu’à Paris. Et cela, c’est à cause notamment de la grande valeur de l’euro par rapport à celle du dollar.

L’EIU convertit toutes ses données en dollar afin d’effectuer de meilleures comparaisons pour les prix en matière de logement, de vêtements et de nourriture.

Parmi les villes les moins abordables, Paris est suivie de Tokyo, au Japon, qui a gagné quatre places cette année, et d’Oslo, en Norvège, qui en a perdu deux. De son côté, la ville de Londres, au Royaume-Uni, se retrouve loin derrière à la 16e position.