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L’ostéoporose, rarement diagnostiquée chez les femmes

Dans le cadre d’un colloque organisé à Barcelone, une recherche québécoise portant sur l’ostéoporose dévoile que 80 % des cas de fractures rapportés chez les femmes de 50 ans et plus étaient directement liés à l’ostéoporose et que 80 % d’entre elles n’ont jamais été traitées pour cette maladie.

Cette ignorance des femmes ne les rend que plus vulnérables aux fractures, d’après les chercheurs.

Selon le Dr Jacques Brown, chef du Service de rhumatologie du CHUQ et coauteur de l’étude, ces données risquent de changer la façon de traiter l’ostéoporose chez les professionnels de la santé : « L’importance de connaître l’historique des fractures chez les patientes est primordiale pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose. Les tests de densité minérale osseuse ne suffisent pas. Il faut analyser l’historique des fractures, car il représente un important facteur de risque de fracture. C’est une étape essentielle dans le processus du diagnostic et, la plupart du temps, on la néglige. »

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Une bonne ossature grâce au soccer

Selon une récente étude, des mouvements répétitifs comprenant des courses et des sauts, comme au soccer, ont un effet bénéfique sur la densité osseuse des adolescentes.

Cette période de leur vie est cruciale pour la formation d’une ossature qui résistera à l’ostéoporose, à l’âge adulte.

Le Dr James W. Bellew, de l’Université de la Louisiane, a comparé les masses osseuses de jeunes adolescentes de 10 à 17 ans qui pratiquaient trois sports différents : le soccer, la natation et le lever de poids.

Les joueuses de soccer étaient celles dont la densité osseuse était la plus importante parmi les participantes. De plus, les chercheurs croient que le basket-ball et le volley-ball pourraient avoir le même effet sur l’ossature des adolescentes.

 

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Le cola, mauvais pour l’ossature

Une recherche menée par le Dr Lawrence Raisz, du Centre sur l’ostéoporose de l’Université du Connecticut, conclut que les boissons gazeuses sont néfastes pour la masse osseuse, particulièrement chez les enfants.

Les chercheurs expliquent cette découverte par plusieurs éléments. D’abord, les consommateurs de ce type de rafraîchissements ont des carences en calcium et en vitamine D puisqu’ils boudent d’autres boissons qui en contiennent, comme le lait ou les jus enrichis.

La caféine pourrait être une autre explication, car elle a souvent été associée à l’ostéoporose.

L’acide phosphorique pourrait aussi jouer dans la balance, car le corps va puiser du calcium dans les os lorsqu’il y a trop de cet acide dans l’organisme humain.

« La modération est très importante. On ne recommande pas de les éliminer complètement de votre alimentation, mais d’en prendre un verre ou deux par semaine », a suggéré le Dr Raisz, qui mentionne que l’exercice physique est un excellent moyen de prévention contre l’ostéoporose.

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Les muscles et les os, premiers touchés par la sédentarité

Le quotidien La Presse nous apprend que la musculature et l’ossature sont les premières structures touchées par les effets négatifs de la sédentarité.

En l’absence d’exercice physique, les muscles subissent une atrophie comme lorsqu’on porte un plâtre. Ainsi, 225 g de masse musculaire par année s’envolent dès qu’une personne ayant atteint la trentaine est sédentaire. Cette perte est alors souvent compensée par une augmentation des tissus gras.

Ce phénomène s’explique par la dégradation des protéines des muscles peu utilisés. Ceci provoque un effet d’entraînement, car les tendons faiblissent ensuite sous l’effort et le coeur doit alors compenser durant un exercice physique.

La sédentarité a aussi des effets sur les os, particulièrement les tibias, les péronés, les fémurs et les vertèbres lombaires. Ces derniers ont besoin de la gravité terrestre et de la traction des muscles qui y sont attachés.

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Une ossature plus fragile pour les autistes

Une étude menée auprès de jeunes garçons démontre que certaines carences alimentaires nuisent au développement des enfants aux prises avec des problèmes d’autisme. Leur ossature s’affaiblirait davantage que celle des autres garçons.

Le mode de vie des autistes serait à la source du problème. Le manque d’exercice, une alimentation peu variée, des carences en vitamine D et en caséine (substances se trouvant dans les produits laitiers) et des problèmes digestifs contribuent à l’affaiblissement de l’ossature.

La Dre Mary L. Hediger, auteure de l’étude, avoue que des recherches plus larges doivent cependant être menées afin d’officialiser ces résultats. Selon la spécialiste, les parents d’enfants autistes devraient néanmoins demeurer vigilants et faire appel à une diététiste.

L’autisme perturbe l’activité cérébrale et génère des difficultés de communication et de socialisation chez l’enfant. Il touche davantage les garçons que les filles. Il n’existe toujours pas d’antidote à la maladie et les traitements demeurent limités.

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Trop de chocolat rend les os fragiles

Selon une étude menée par l’University of Western Australia School of Medicine and Pharmacology, les femmes mangeant quotidiennement du chocolat ont une ossature plus mince et plus fragile que celles qui boudent cette sucrerie.

Cette conclusion s’explique par l’oxalate, une substance se trouvant dans le chocolat; cette dernière bloque le métabolisme du calcium, essentiel à la bonne santé des os.
 
L’équipe du Dr Jonathan M. Hodgson a étudié 1 001 femmes âgées de 70 à 85 ans. Parmi les participantes, celles qui craquaient pour le chocolat avaient une masse osseuse 3,1 % moins élevée que la moyenne. Leur poids était également en dessous de la normale, tout comme leur indice de masse corporelle.
 
Selon le Dr Hodgson, cette recherche est la première qui étudie la relation entre la consommation de chocolat et la masse osseuse et qui démontre que trop de chocolat peut augmenter les risques d’ostéoporose et de fracture.

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Le surplus de poids est nocif pour l’ossature

Une étude réalisée par le docteur Richard D. Lewis, de l’University of Georgia à Athens, démontre que l’ossature des jeunes adolescentes ayant un surplus de poids est plus fragile, ce qui pourrait augmenter considérablement le risque d’avoir une fracture plus tard.

Cent quinze femmes de 18 à 19 ans ont été observées et des radiographies en 3D de leur masse osseuse ont été effectuées.

Celles qui avaient un indice de masse corporelle supérieur à la moyenne voient leur ossature moins résistante de 8 à 9 % que les adolescentes minces.

Cette découverte va donc à l’encontre de la perception qui veut qu’une masse osseuse, qui doit soutenir un excédent de poids, est plus résistante.

Le docteur Lewis affirme que des recherches supplémentaires devront être effectuées afin d’analyser l’impact de l’obésité sur l’ossature.

Les résultats complets de cette étude sont publiés dans la revue médicale American Journal of Clinical Nutrition.