Catégories
Uncategorized

L’exercice pendant la jeunesse entraine une structure osseuse plus résistante

Une nouvelle recherche effectuée par le professeur Stuart Warden et son équipe a été réalisée auprès de joueurs de baseball professionnels. Leur parcours pendant la jeunesse, leur carrière et leur retraite ont été pris en considération.

Warden a réalisé que l’exercice physique pendant l’enfance et l’adolescence permettait d’augmenter la force et même la grosseur des os, rapporte Medical News Today. Cela dit, ces caractéristiques perduraient, selon les résultats, pendant toute la vie, c’est-à-dire même jusqu’à 80 ans.

Plus spécifiquement, la moitié de la grosseur des os demeurait, ainsi que le tiers de la force de ceux-ci. « C’est un niveau de maintien impressionnant », rapporte le professeur, « particulièrement considérant que certains joueurs de baseball ne s’étaient pas exercés pendant plus de 50 ans ».

Ainsi, Warden conseille fortement aux enfants de faire au moins une heure d’exercice par jour, dont le tiers doit être consacré à une activité faisant travailler tout le squelette. Entre autres, la course, la corde à sauter, le tennis, le soccer, le basketball ou le volleyball.

Catégories
Uncategorized

L’huile d’olive agirait aussi sur les os

Une autre propriété santé de l’huile d’olive aurait été confirmée par des chercheurs espagnols, rapporte le Daily Mail (UK).

La populaire huile végétale à base d’olives serait en effet également bénéfique pour la santé des os, selon une équipe de spécialistes basée à l’Université de Madrid qui s’est penchée sur les effets de l’ingrédient sur l’organisme.

Après deux ans de recherches, les chercheurs concluent que les personnes qui consomment de l’huile d’olive présentent de plus hauts taux d’ostéocalcine dans le sang, un marqueur d’une ossature forte et en santé.

Cette nouvelle étude complète celle publiée précédemment par l’Université d’Athènes, qui prêtait le même genre de vertu à l’huile d’olive, lorsque combinée à de faibles apports en viandes rouges, spécialement chez la femme.

Par ailleurs, il appert que les statistiques d’ostéoporose, une maladie des os, seraient plus faibles chez les gens qui adoptent une diète de style méditerranéenne, qui utilise justement quantité d’huile d’olive et d’huiles végétales.

Catégories
Uncategorized

Le mariage influencerait la santé des os des hommes

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude des plus intéressantes sur l’impact du mariage sur la santé des hommes, particulièrement sur celle des os et de la solidité de ceux-ci.

Étranges mais vérifiables, semble-t-il, ces constatations sont celles d’une équipe de chercheurs de la UCLA menée par les docteurs Carolyn Crandall et Arun Karlamangla, et publiées dans le journal médical Osteoporosis International.

Selon les chercheurs, le mariage influence véritablement la santé des hommes et leur « charpente », alors que l’on dévoile qu’un mariage passé l’âge de 25 ans aurait tendance à solidifier et faire grossir la masse osseuse des hommes.

Cependant, un mariage avant l’âge de 25 semble avoir l’effet contraire, c’est-à-dire que les jeunes époux présentent des caractéristiques osseuses moins puissantes.

Les chercheurs précisent que ces impacts seraient davantage vérifiables dans certaines régions du corps, comme la colonne vertébrale, par exemple.

Plusieurs autres études ont déjà révélé l’impact du mariage sur divers aspects de la santé des hommes, notamment sur la condition cardiaque et les chances de survie à une grave maladie. 

L’équipe américaine en profite également pour rappeler qu’une bonne santé passe aussi par une bonne alimentation et de l’exercice physique sur une base régulière. 

Catégories
Uncategorized

Deux patients atteints du SIDA en rémission?

Top Santé rapporte une nouvelle stupéfiante si elle s’avère fondée : deux patients atteints du virus du SIDA seraient maintenant en rémission complète, c’est-à-dire qu’on les considèrerait comment guéris… pour l’instant.

Ces miracles se seraient confirmés à la suite d’une greffe de moelle osseuse effectuée par des médecins de Boston, au Brigham and Women’s Hospital.

« Ils se portent très bien. Mais cela n’indique pas encore que ces hommes sont guéris. Le virus peut revenir dans une semaine ou six mois. Seul le temps le dira », tient à préciser Timothy Henrich, qui veut rester prudent.

On le comprendra, puisque le fait de parler de « guérison » en ce qui concerne le SIDA n’est pas une chose simple, le virus demeurant extrêmement virulent, sournois et insidieux.

Cependant, ces cas s’ajoutent à celui d’un résident de Berlin, notamment, qui affirme être lui aussi en rémission à la suite d’une greffe de moelle osseuse semblable reçue en 2007.

Il semble que si la guerre est loin d’être gagnée, comme le soulignait récemment l’OMS en publiant un nouveau plan d’attaque préventif, une autre manche vient d’être remportée par les chercheurs.

Catégories
Uncategorized

Découverte d’un « chaînon manquant » cellulaire

Des chercheurs auraient franchi une étape importante en ce qui concerne les cellules souches, la moelle osseuse et le système immunitaire.

En effet, selon les travaux rapportés par Santé Log, on pense avoir découvert un nouveau type de cellule qui échappait jusqu’à maintenant aux plus éminents spécialistes.

Qualifiée de véritable « chaînon manquant » cellulaire, cette cellule permettrait de faire le pont entre les cellules souches de moelle osseuse et celles du système immunitaire.

Ainsi, il est permis de croire que l’on pourrait bientôt « manipuler » certains processus qui régulent notamment le bon fonctionnement du sang et de ses vertus protectrices (globules), et ainsi améliorer ou réparer le système immunitaire chez certains patients.

Même chose pour la moelle osseuse, qui pourrait elle aussi se voir manipulée ainsi, permettant à des patients jusqu’ici qualifiés d’incurables de retrouver possiblement le chemin de la santé.

Tous ces constats ont été imaginés par les chercheurs jusqu’à maintenant, mais plusieurs clés restent à trouver afin de passer de la théorie à la pratique. Cette percée semble jeter un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique.

L’étude a été publiée dans l’édition de février du magazine Nature Immunology.

Catégories
Uncategorized

La transplantation de cellules souches pourrait augmenter le risque de maladies cardiaques

Les gens qui subissent une transplantation de cellules souches, par une greffe de moelle osseuse ou de sang de cordon ombilical, auraient plus de chance de développer des problèmes cardiovasculaires, selon une étude.

Celle-ci est rapportée par nlm.nih.gov et affirme que plusieurs maladies cardiaques pourraient être influencées par de tels traitements. On parle entre autres de diabète, de haute pression et d’un taux de cholestérol élevé.

Les chercheurs de l’American Society of Hematology ont noté que les patients qui subissent des traitements de chimiothérapie ou de radiation juste avant une transplantation de cellules souches voient augmenter leurs chances d’avoir des problèmes cardiaques.

« Bien que nous nous en doutions, il était difficile de conclure avec précision jusqu’à présent. En fait, comme il était difficile de faire des suivis à très long terme sur ces patients, nous ne pouvions confirmer nos doutes. Des échantillons trop petits étaient également des obstacles », explique le Dr Saro Armenian, directeur de la Pediatric Survivorship Clinic au Childhood Cancer Survivorship Program de la ville de Duarte, en Californie.

Les chances de diabète et de problèmes de cholestérol seraient respectivement 1,5 et 1,4 fois plus probables que d’ordinaire.

Catégories
Uncategorized

Les bras cassés synonymes de faiblesse osseuse chez les enfants noirs

Les jeunes enfants de race noire ayant des fractures aux bras avaient, durant l’étude, une moins haute densité minérale des os que les autres enfants.

En fait, les fractures de l’avant-bras étaient reliées à une carence en vitamine D plus élevée de 3,5 fois que la normale.

« Étant donné que 90 % du pic de la masse osseuse est atteint à l’âge de 18 ans, une santé des os déficiente durant l’enfance affecte négativement la minéralisation des os chez l’adulte et peut augmenter le risque d’ostéoporose et des fractures qui y sont reliées », peut-on lire dans l’étude.

De plus, les chercheurs affirment que plus de chutes seraient liées à une mauvaise coordination motrice ou à des carences au niveau de la densité des os et leur capacité à supporter du poids. Selon eux, d’autres recherches seront nécessaires.

Rappelons qu’une carence en vitamine D est non seulement liée à une faiblesse osseuse, mais aussi musculaire.

Catégories
Uncategorized

Les effets secondaires de l’hormonothérapie anticancéreuse

Les travaux menés par le Dr Fred Saad, titulaire de la Chaire en cancer de la prostate à l’Université de Montréal et directeur de l’unité d’urologie-oncologie à l’Hôpital Notre-Dame, l’amènent à conclure que l’hormonothérapie contre les cancers du sein et de la prostate cause de l’ostéoporose chez les patients.

« Chez la femme, la perte osseuse entraînée par les traitements contre le cancer du sein peut être de deux à quatre fois supérieure à celle causée par la ménopause. Chez les hommes, les risques de troubles osseux peuvent être près du double s’ils reçoivent un traitement contre le cancer de la prostate », explique le Dr Saad.

« Ces traitements sont très efficaces et ces cancers peuvent être guéris, mais les patients risquent par la suite de mourir de complications dues à l’ostéoporose si l’on ne s’attaque pas à ce problème », déplore le chercheur.

Ces types de médicaments réduisent la production d’oestrogène chez la femme et d’androgène chez l’homme, ce qui cause une perte osseuse suffisamment importante pour causer de l’ostéoporose.

Catégories
Uncategorized

Le traitement contre le cancer affecte la masse osseuse

Selon le Dr Fred Saad, de l’Université de Montréal, les personnes qui sont traitées contre les cancers du sein et de la prostate pourraient voir leur masse osseuse diminuer. Ce phénomène aurait pour conséquence de les rendre plus vulnérables à l’ostéoporose et aux fractures.

Ce sont les traitements avec les inhibiteurs d’aromatase, les bisphosphonates et l’hormonothérapie anti­androgénique qui occasionnent une perte de la masse osseuse, qui peut varier entre 5 à 45 %.

« Cette incidence de perte osseuse associée au cancer ne peut que susciter une prise de conscience chez les cliniciens qui se devront d’identifier les patients les plus sujets aux fractures et leur prescrire les traitements appropriés », a souligné le Dr Saad.