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Le régime méditerranéen bon pour les os

Selon une étude publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism, le fait de suivre un régime méditerranéen riche en huile d’olive durant deux ans pourrait augmenter la concentration de sérum d’ostéocalcine qui protège les os.

Or, des études ont prouvé que dans la région de la Méditerranée, les gens souffrent beaucoup moins d’ostéoporose et expérimentent moins de perte de masse osseuse qu’ailleurs en Europe.

Les experts recommandent donc de manger beaucoup de fruits et de légumes afin d’avoir un régime riche en gras monosaturé et en fibres.

« La consommation d’huile d’olive a été reliée à la prévention de l’ostéoporose dans les modèles expérimentaux et in vitro. C’est la première étude randomisée qui démontre que l’huile d’olive préserve les os », a expliqué l’auteur principal de la recherche, José Manuel Fernández-Real.

Rappelons que le régime méditerranéen protège aussi le cerveau. On constate qu’une alimentation riche en végétaux, poissons, huile d’olive et faible en viandes rouges et en produits laitiers diminue les risques de développer des lésions cérébrales liées aux troubles cognitifs.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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L’alcool serait bénéfique pour les os des femmes

Deux nouvelles études démontrent d’autres effets bénéfiques d’une consommation modérée d’alcool chez les femmes.
 
Selon le Bristih Medical Journal, une première étude s’est penchée sur les effets de l’alcool sur la polyarthrite rhumatoïde auprès de 34 000 femmes âgées de 54 à 89 ans.
 
Les femmes qui consommaient de l’alcool modérément, en moyenne un demi-verre par jour, avaient 52 % moins de risques de développer de la polyarthrite rhumatoïde que les femmes qui ne consommaient pas du tout d’alcool.
 
Les effets bénéfiques chez les femmes ménopausées seraient donc notables, car la deuxième étude dévoile des résultats similaires en ce qui concerne l’ostéoporose.
 
Attention toutefois, les bienfaits ne sont pratiquement pas présents chez les fumeuses, car le tabagisme est un facteur de risque pour ces deux maladies des os.
 
Avec l’alcool, la clé demeure toujours la modération, pour en retirer tous les bienfaits.
 
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Un meilleur diagnostic d’ostéoporose et de cancer des os

Une équipe de l’Université de l’Arizona a créé un test d’urine qui permettrait de diagnostiquer rapidement l’ostéoporose ou un cancer des os chez une personne.
 
Le test calcule la perte de calcium associée à une réduction de la masse osseuse. La NASA a financé les travaux, car les astronautes font face à ce problème de santé.
 
« À l’heure actuelle, il n’y a pas beaucoup de moyens de détecter une perte de matière osseuse avant que cette perte ne soit déjà assez importante », mentionne le chercheur Ariel Anbar dans le journal de l’université.
 
La technique vérifie en fait la présence d’isotopes de calcium dans l’urine, qui sont un bon indicateur de solidité des os.
 
Pendant 30 jours, une dizaine de volontaires ont eu des périodes de repos allongées afin de recréer les conditions qui causent la perte osseuse en orbite chez les astronautes.
 
Ce test avec un diagnostic rapide permettrait un meilleur traitement pour les patients, notamment en ce qui concerne le cancer des os, dont le diagnostic se fait souvent après que les dommages aient commencé à faire des ravages.
 
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Découverte importante sur l’ostéoporose

Une équipe de l’Université de Göteborg a fait une découverte importante en identifiant 56 gènes dont 14 variantes génétiques sont liées aux fractures causées par l’ostéoporose.
 
80 000 personnes ont participé à la recherche. On a enregistré 32 016 cas de fractures.
 
56 gènes ont été identifiés, dont 32 directement liés à la densité minérale osseuse, qui est affectée lorsqu’une personne est atteinte d’ostéoporose. 14 variantes génétiques ont aussi été trouvées. Elles étaient à l’origine des fractures résultant de l’ostéoporose.
 
Rappelons que jusqu’ici, les causes génétiques de cette maladie étaient plutôt inconnues.
 
L’ostéoporose est une maladie aux conséquences graves. Sur 50 % des cas de fractures de la hanche qui surviennent après 80 ans, le taux de survie est de moins d’un an après l’accident.
 
Cette découverte pourrait donc ouvrir la voie à des diagnostics plus précoces permettant éventuellement de ralentir la progression de la maladie et de mieux la traiter.
 
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Découverte importante sur l’ostéoporose

Une équipe de l’Université de Göteborg a fait une découverte importante en identifiant 56 gènes dont 14 variantes génétiques sont liées aux fractures causées par l’ostéoporose.
 
80 000 personnes ont participé à la recherche. On a enregistré 32 016 cas de fractures.
 
56 gènes ont été identifiés, dont 32 directement liés à la densité minérale osseuse, qui est affectée lorsqu’une personne est atteinte d’ostéoporose. 14 variantes génétiques ont aussi été trouvées. Elles étaient à l’origine des fractures résultant de l’ostéoporose.
 
Rappelons que jusqu’ici, les causes génétiques de cette maladie étaient plutôt inconnues.
 
L’ostéoporose est une maladie aux conséquences graves. Sur 50 % des cas de fractures de la hanche qui surviennent après 80 ans, le taux de survie est de moins d’un an après l’accident.
 
Cette découverte pourrait donc ouvrir la voie à des diagnostics plus précoces permettant éventuellement de ralentir la progression de la maladie et de mieux la traiter.
 
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Un nouveau traitement possible de l’ostéoporose

Des essais cliniques se sont avérés concluants concernant une puce implantée dans le corps pour distribuer une dose de médicament pour traiter l’ostéoporose.
 
Ces essais, effectués au Danemark sur sept femmes de 65 à 70 souffrant d’ostéoporose, démontrent que la puce peut diffuser le médicament Teriparatide grâce à une commande à distance, et ce, aussi efficacement que les injections quotidiennes habituellement utilisées.
 
« Les malades n’auront plus à se souvenir de prendre leur médicament ou à subir les douleurs des injections multiples nécessaires pour traiter l’ostéoporose », explique le Dr Robert Farra au Science Translational Medecine.
 
« Ce système permet de diffuser rapidement un médicament dans le sang, comme avec une injection. Les médecins pourront ainsi ajuster à distance et en douceur la thérapie de leurs malades en se servant d’un ordinateur ou d’un téléphone portable », ajoute le Dr Farra.
 
Ce dispositif pourrait même être utilisé pour traiter d’autres maladies comme le cancer.
 
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Plus de fractures du fémur avec des médicaments contre l’ostéoporose

Santé Canada émet une mise en garde concernant les médicaments pour traiter l’ostéoporose qui contiennent des bisphosphonates, des molécules utilisées notamment dans les médicaments comme Aclasta, Actonel, Diarocal, Fosamax et Fosavance.
 
Les patients et les médecins seront avisés, et des avertissements seront également indiqués sur les emballages.
 
Avec la molécule, les médicaments peuvent causer plus de fractures atypiques du fémur, qui se produisent sous faibles impacts ou même sans impact, et parfois dans les deux jambes, au niveau des cuisses.
 
Les personnes qui prennent des médicaments contre l’ostéoporose et qui ressentent des douleurs inhabituelles au niveau des hanches, de l’aine et des cuisses devraient consulter leur médecin.
 
Sachez que la fracture atypique du fémur ne représente que 1 % des fractures du fémur et de la hanche, par contre.
 
Aux États-Unis, la Food and Drug Administration était arrivée aux mêmes conclusions que Santé Canada.
 
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Un verre de vin par jour protège les os

L’American Journal of Clinical Nutrition avance qu’un verre de vin par jour permet de préserver la densité osseuse, mais la bière et les spiritueux n’ont pas cet effet.
 
L’étude menée auprès de 1000 jumelles dans la mi-cinquantaine a examiné la relation entre l’alimentation et la densité osseuse. En plus d’un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires, les femmes ont également passé des scans pour vérifier la densité minérale de leurs os.
 
On constate qu’une consommation modérée de vin est liée à une densité osseuse plus grande, donc à un moindre risque de fractures.
 
Par contre, un régime comportant du poisson frit, des fèves au lard, des pâtés à la viande ou de la charcuterie a des effets néfastes sur les os, les rendant plus fragiles.
 
Certains scientifiques ne croient pas que ce soit le vin lui-même qui protège les os, mais bien les polyphénols contenus dans la peau des raisins.
 
N’oublions pas, toutefois, que l’abus d’alcool affecte négativement les os et peut causer bien d’autres problèmes de santé.

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La bière contre l’ostéoporose

Les femmes plus âgées pourraient être protégées de l’ostéoporose en buvant une chopine de bière par jour.
 
Selon une étude dévoilée par le Daily Mail, la bière serait la source idéale de silicium diététique qui est crucial pour la formation des os.
 
Le silicium est mieux absorbé par la bière que tout autre aliment, en raison du malt utilisé dans le brassage.
 
Les chercheurs ont mesuré les effets de la bière sur la densité osseuse et ont constaté que l’éthanol, aussi présent dans l’alcool, aide à prévenir la perte osseuse. Plus important encore, le silicium favorise une croissance de nouveaux tissus osseux.
 
L’ostéoporose guette principalement les femmes en ménopause. Ainsi, celles qui sont préménopausées auraient avantage à boire une demi-chopine de bière par jour.
 
Les femmes déjà en ménopause devraient boire une chopine quotidiennement afin de préserver leur densité osseuse et, par conséquent, réduire les risques de fractures.
 
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Découverte pour préserver le cartilage des os

Le Science Translational Medicine révèle une étude sur une hormone naturelle qui est déjà approuvée par les autorités pour traiter l’ostéoporose. Cette hormone, appelée PTH, serait également très efficace pour reconstruire les cartilages, en plus de diminuer la douleur des articulations.
 
Cette découverte faite par une équipe de l’Université de Rochester offre donc de nouvelles possibilités contre les maladies dégénératives comme l’arthrose, qui amincit le cartilage des articulations, les rendant douloureuses et gonflées.
 
Jusqu’ici, la seule option qui s’offrait aux gens qui ne pouvaient plus supporter la douleur était une chirurgie dans le but de remplacer le cartilage manquant par du métal ou du plastique.
 
Les chercheurs ont voulu savoir si l’hormone PTH sous forme de médicament par injection pouvait être efficace. Après un mois de traitement sur des souris, les cartilages de ces dernières étaient 37 % plus épais et mieux préservés que ceux des souris qui n’avaient pas été traitées.