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Trop peu de gens avec l’ostéoporose sont traités pour prévenir les fractures

Ostéoporose Canada vient de publier son dernier rapport concernant la maladie au pays.
 
L’ostéoporose touche pas moins de deux millions de Canadiens, soit une femme sur quatre et un homme sur huit de 50 ans et plus.
 
On constate toutefois qu’une infime partie de ces gens reçoivent des traitements afin de prévenir les fractures.
 
30 000 fractures de la hanche se produisent chaque année au pays. Celles-ci sont provoquées par la fragilisation des os. Alors qu’on misait auparavant sur le traitement de la maladie, Ostéoporose Canada mentionne que la priorité doit maintenant être la bonne identification des fractures causées par l’affaiblissement des os, car plusieurs ne sont pas bien évaluées et les traitements ne sont donc pas adéquats.
 
On rappelle également qu’une personne ayant subi une fracture en raison de l’ostéoporose est beaucoup plus susceptible d’en subir une nouvelle en raison de ses os fragilisés.
 
Toutefois, moins de 20 % des femmes et moins de 10 % des hommes qui ont eu ce type de fractures reçoivent des traitements appropriés pour prévenir de nouvelles blessures qui causent des douleurs chroniques, d’autres maladies et même, dans certains cas, la mort.
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Les médicaments pour solidifier les os causeraient le cancer de l’oesophage?

Voilà des résultats tout à fait contradictoires avec ceux d’une récente étude qui se fondait pourtant sur la même base de données composée de 80 000 personnes.
 
Cette fois, les chercheurs affirment avoir suivi les participants deux fois plus longtemps que leurs précédents collègues.
 
Après quelques comparaisons et analyses, on en arrive à la conclusion que les personnes qui prennent depuis un moment des médicaments pour solidifier les os, comme dans le cas de l’ostéoporose, sont légèrement plus susceptibles de souffrir d’un cancer de l’œsophage.
 
Le Journal of the American Medical Association mentionne que le risque pour une personne âgée de 60 à 79 ans est normalement de 1 sur 1000, alors que pour les personnes ayant eu 10 prescriptions ou plus de médicaments pour les os pendant au moins cinq ans, les risques sont plutôt de 2 sur 1000.
 
On précise toutefois que cette étude n’est qu’une observation et on refuse de conclure que les médicaments contre l’ostéoporose causent directement le cancer de l’œsophage.
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Les régimes augmentent les risques d’ostéoporose

Nombreux sont les régimes populaires et des millions de femmes en sont adeptes. Les experts les mettent toutefois en garde, car ces régimes peuvent causer de l’ostéoporose plus tard.
 
L’ostéoporose est une maladie qui fragilise les os, exposant donc les gens qui en souffrent aux risques de fractures.
 
Selon le Daily Mail, une étude révèle que trois femmes sur dix sont si désespérées de perdre du poids qu’elles coupent certains groupes alimentaires essentiels au maintien d’une bonne santé.
 
Un bon exemple est l’actrice de 37 ans Gwyneth Paltrow qui s’astreint à un régime extrêmement strict et faible en produits laitiers. Ces derniers sont pourtant une excellente source de calcium, ce minéral qui veille à la bonne santé des os et des dents, mais aussi du cœur, des muscles. Il diminue également la pression sanguine et les risques de cancer du sein et du côlon. L’actrice a récemment avoué qu’elle souffrait d’ostéopénie, soit un amincissement des os qui est un précurseur de l’ostéoporose
 
Les spécialistes mentionnent que bien que l’obésité soit maintenant un fléau, il faut y remédier, mais sainement. Ainsi, perdre du poids est bénéfique, mais sans jamais couper de groupes alimentaires. Il faut avoir une saine alimentation et faire de l’exercice.
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Les suppléments de calcium seraient plutôt nocifs pour la santé

Depuis longtemps, on suggère aux personnes souffrant d’ostéoporose de prendre des suppléments de calcium afin de prévenir les fractures qui pourraient survenir à la suite d’une chute, surtout chez les personnes âgées.
 
Après une vaste analyse de 11 études, des chercheurs néo-zélandais affirment plutôt que les suppléments de calcium seraient nocifs pour la santé.
Le British Medical Journal rapporte que ces suppléments augmentent les risques de problèmes cardiaques et les chances de faire une crise cardiaque de 25 à 30 %.
 
Toutefois, l’analyse du Dr Ian Reid de l’Université d’Auckland ne démontre pas s’il y a plus de mortalité avec les suppléments de calcium.
 
L’augmentation des risques est indépendante de l’âge, du sexe et du type de supplément consommé.
 
Pour renforcer les os, on préconise plutôt une alimentation riche en calcium qui, elle, n’augmente pas les chances de développer des problèmes graves.
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La plante à la base de la téquila contre le diabète

La téquila, la boisson alcoolisée préférée du Mexique, est faite à base d’agave, une plante qui contient des effets bénéfiques pour la santé.
 
En fait, les composants contenus dans l’agave peuvent prévenir le diabète et l’ostéoporose, selon des recherches menées sur des rats au Centre de recherches et d’études avancées de l’Institut polytechnique national qui se trouve au Mexique.
 
« Les résultats suggèrent qu’un régime enrichi en fructanes de l’agave éviterait la décalcification et améliorerait significativement la formation du tissu osseux, tout en stimulant la production d’hormone GLP-1 qui accélère celle de l’insuline, dont le manque est la cause du diabète », mentionne la Dre Mercedes Lopez qui a dirigé l’étude.
 
Ne croyez toutefois pas que vous aurez ces effets préventifs en buvant de la téquila. À la grande déception de plusieurs, les fructanes ne sont pas présentes dans la boisson. En fait, les effets bénéfiques sont anéantis lors de la fermentation dans le processus pour obtenir la boisson.
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Une plante à la rescousse de l’ostéoporose

Des chercheurs coréens viennent de faire une découverte plutôt étonnante. En isolant des composants d’une plante mythique, l’agneau de Scythie qui porte aussi le nom de Cibotium barometz, on pourrait prévenir la dégradation des os.
 
Selon les chercheurs, ces composants freinent la détérioration et la destruction des os dans 97 % des cellules, sans pour autant affecter les cellules environnantes saines. Ceci représente un grand espoir dans le traitement de l’ostéoporose.
 
Cette maladie est l’un des problèmes majeurs les plus fréquents chez les personnes âgées. Elle se caractérise par une diminution de la masse osseuse qui expose à un risque accru de fractures importantes, plus souvent aux poignets, à la colonne et aux hanches.
 
Plus de 75 millions de personnes en Europe, aux États-Unis et au Japon souffriraient d’ostéoporose. Une femme sur trois et un homme sur cinq de cinquante ans et plus subissent une fracture due à ce problème de santé. 
 
D’ici 2050, les scientifiques croient que les fractures liées à cette maladie auront augmenté de 310 % pour les hommes et de 240 % pour les femmes.
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Le calcium et la vitamine D ne suffisent pas contre l’ostéoporose

Une nouvelle étude démontre que le calcium et la vitamine D à eux seuls ne suffisent pas pour combattre l’ostéoporose. Selon TopSanté, le corps a besoin de nombreux autres nutriments.
 
Aussi surprenant que cela puisse être, la recherche a fait part de résultats plutôt décevants concernant le calcium et la vitamine D contre l’ostéoporose. Seuls, ils ne peuvent remplir la tâche.
 
En plus des produits laitiers, il est très important de manger des fruits et légumes pour avoir une bonne santé osseuse.
 
Jusqu’ici on avait sous-estimé le rôle du magnésium, du potassium, des vitamines C, K et celles du groupe B et des caroténoïdes pour la solidité des os. Les protéines sont aussi importantes, surtout chez les personnes âgées.
 
De plus, bien que le soda a plutôt des effets négatifs sur les os, l’alcool en revanche est positif, en consommation modérée bien entendu. Il est bénéfique en particulier pour les femmes âgées.
 
Les fruits, les légumes, les produits laitiers et les aliments riches en protéines sont donc grandement recommandés.
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Ostéoporose : La bière comme remède

Nouvelle surprenante rapportée par le site internet TopSanté, la bière blonde pourrait aider à combattre l’ostéoporose.
 
Cette boisson est riche en dérivé du silicium qui aide à conserver la solidité des os et leur bonne santé, donc combat l’ostéoporose. Des chercheurs britanniques ont découvert de grandes quantités de silicium dans les bières les plus légères et les moins maltées.
 
La forme acide que l’on retrouve dans la bière, l’acide orthosilicique, est en réalité la forme hydrosoluble du silicium. L’eau de mer contient également cet ingrédient bénéfique pour les os.
 
Le silicium se retrouve dans divers tissus et fluides de notre organisme. Il est important pour la santé des os, des articulations et pour le bon fonctionnement des vaisseaux sanguins.
 
Une consommation modérée de bière pourrait donc aider à soulager l’ostéoporose qui touche particulièrement les femmes de plus de 50 ans (une femme sur quatre contre un homme sur huit). Cela fragilise les os, les rendant plus fragiles aux fractures éventuelles.
 
Plusieurs facteurs prédisposent à cette affection, dont le manque d’exercice, une alimentation pauvre en calcium au cours de sa vie, le tabagisme et le manque de vitamine D notamment.
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Une ossature plus fragile chez les prématurés

Une recherche, dont les résultats complets sont publiés dans la version en ligne de PLoS Medicine, nous apprend que les bébés prématurés et ceux dont le poids était inférieur à la moyenne à la naissance ont une densité osseuse moindre à l’âge adulte.

Le Dr Petteri Hovi et ses collègues de l’Institut national de santé publique d’Helsinki, en Finlande, ont travaillé avec 144 adultes âgés de 18 à 27 ans pour en arriver à cette conclusion.

En raison de leur densité osseuse moins élevée, ces sujets deviennent plus susceptibles de souffrir d’ostéoporose à l’âge adulte, condition qui les rend plus vulnérables aux fractures.

Les chercheurs recommandent donc de respecter les recommandations quotidiennes en matière de vitamine D, d’éviter l’alcool et la cigarette et de faire plus d’exercice physique.

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Les fractures liées aux hormones

Selon le Dr Eric Orwoll, de l’Université de l’Oregon, un faible taux d’estradiol ou un niveau élevé de globuline chez les hommes les rend plus susceptibles de souffrir d’ostéoporose et ainsi subir des fractures.  

De plus, on a observé que les sujets étaient trois fois plus à risque de fractures lorsqu’il y avait un faible taux de testostérone et d’estradiol associé à un haut niveau de globuline.

Le chercheur est arrivé à ces conclusions après avoir travaillé avec 1 436 hommes âgés de plus de 65 ans chez qui l’on a mesuré pendant plus de 5 ans les taux d’hormones sexuelles.

Avec cette découverte, le Dr Orwoll croit que l’association entre les hormones sexuelles et l’ostéoporose n’est plus uniquement une affaire féminine.