Catégories
Uncategorized

Homologation de l’Actonel

L’agence de santé fédérale a approuvé la vente au pays d’un médicament à dosage mensuel contre l’ostéoporose postménopausique, l’Actonel (risédronate sodique), destiné aux femmes présentant un risque élevé de fracture ostéoporotique.

« Un grand nombre de mes patientes me demandent si un régime posologique à dosage mensuel est offert. Pour ces femmes qui mènent des vies actives et qui souhaitent simplifier leur régime posologique, Actonel représente un choix idéal, car il est pratique », a souligné le Dr Jacques Brown, chef du Département de rhumatologie du Centre hospitalier universitaire du CHUQ.

Des essais cliniques ont démontré que l’Actonel réduit l’incidence de fractures vertébrales et de la hanche après seulement six mois de traitement.

D’après Ostéoporose Canada, près de deux millions de personnes souffrent d’ostéoporose au pays, dans une proportion d’une femme sur quatre et d’un homme sur huit après 50 ans.

Catégories
Uncategorized

Découverte pour soigner l’ostéoporose

Les recherches de l’équipe du CUSM concernent l’interféron gamma, une hormone produite par le corps qui est très prometteuse pour des traitements de l’ostéoporose, une maladie qui fragilise les os et hausse le risque de fractures. Elle touche une femme sur quatre après 50 ans, selon l’OMS.

L’étude, publiée dans la revue Stem Cells, explique que l’association d’un certain groupe de cellules souches multipotentes (ou mésenchymateuses) à l’interféron gamma pourrait encourager la croissance des os.

« Nous avons identifié un nouveau moyen de contrôler le processus de remodelage osseux, axé autour de l’interféron gamma, aussi bien in vivo qu’in vitro. Nous avons bon espoir que cela nous permette de mieux comprendre les causes de l’ostéoporose et de découvrir des traitements innovants », explique le Dr Kremer, auteur principal de l’étude et codirecteur de l’Axe des troubles musculo-squelettiques du CUSM.

À ce jour, l’interféron gamma a été principalement utilisé comme agent préventif des infections et pour renforcer le système immunitaire. Ces découvertes permettent de croire que l’interféron gamma pourra un jour faire partie d’un traitement efficace pour lutter contre l’ostéoporose.

Catégories
Uncategorized

Les effets secondaires de l’hormonothérapie anticancéreuse

Les travaux menés par le Dr Fred Saad, titulaire de la Chaire en cancer de la prostate à l’Université de Montréal et directeur de l’unité d’urologie-oncologie à l’Hôpital Notre-Dame, l’amènent à conclure que l’hormonothérapie contre les cancers du sein et de la prostate cause de l’ostéoporose chez les patients.

« Chez la femme, la perte osseuse entraînée par les traitements contre le cancer du sein peut être de deux à quatre fois supérieure à celle causée par la ménopause. Chez les hommes, les risques de troubles osseux peuvent être près du double s’ils reçoivent un traitement contre le cancer de la prostate », explique le Dr Saad.

« Ces traitements sont très efficaces et ces cancers peuvent être guéris, mais les patients risquent par la suite de mourir de complications dues à l’ostéoporose si l’on ne s’attaque pas à ce problème », déplore le chercheur.

Ces types de médicaments réduisent la production d’oestrogène chez la femme et d’androgène chez l’homme, ce qui cause une perte osseuse suffisamment importante pour causer de l’ostéoporose.

Catégories
Uncategorized

L’indiscipline des femmes aux prises avec l’ostéoporose

Selon une enquête canadienne, menée pour le compte de l’Association internationale des femmes médecins (MWIA), 40 % des femmes âgées de plus de 50 ans ne prennent pas leur médicament contre l’ostéoporose selon les recommandations de leur médecin.

Les raisons invoquées par les patientes sont l’oubli, dans 45 % des cas, ou encore les effets secondaires indésirables des médicaments. De plus, certaines répondantes ont mentionné qu’elles souhaitaient des traitements naturels.

Ces résultats inquiètent l’association, comme en témoigne la Dre Shelley Ross : « Les femmes savent qu’elles sont atteintes d’ostéoporose et que leur traitement est crucial afin de ralentir la perte osseuse. Malgré cela, beaucoup d’entre elles ne prennent pas leur médicament tel que prescrit. Cette situation est très alarmante, car les patientes doivent être fidèles à leur traitement afin de protéger leurs os. »

Catégories
Uncategorized

L’indiscipline des femmes aux prises avec l’ostéoporose

Selon une enquête canadienne, menée pour le compte de l’Association internationale des femmes médecins (MWIA), 40 % des femmes âgées de plus de 50 ans ne prennent pas leur médicament contre l’ostéoporose selon les recommandations de leur médecin.

Les raisons invoquées par les patientes sont l’oubli, dans 45 % des cas, ou encore les effets secondaires indésirables des médicaments. De plus, certaines répondantes ont mentionné qu’elles souhaitaient des traitements naturels.

Ces résultats inquiètent l’association, comme en témoigne la Dre Shelley Ross : « Les femmes savent qu’elles sont atteintes d’ostéoporose et que leur traitement est crucial afin de ralentir la perte osseuse. Malgré cela, beaucoup d’entre elles ne prennent pas leur médicament tel que prescrit. Cette situation est très alarmante, car les patientes doivent être fidèles à leur traitement afin de protéger leurs os. »

Catégories
Uncategorized

Remboursement autorisé de l’Aclasta

400 000 Québécoises souffrant d’ostéoporose postménopausique pourront désormais se faire rembourser le médicament Aclasta, dont l’élément actif est l’acide zolédronique, par la Régie de l’assurance maladie du Québec.

Ce traitement, dont l’administration est annuelle, est prescrit aux patientes qui sont intolérantes aux bisphosphonates.

« La décision du gouvernement du Québec de rembourser Aclasta est très appréciée par les femmes de cette province qui souffrent d’ostéoporose. Amener les personnes atteintes d’ostéoporose à rester fidèles au traitement représente un réel défi, étant donné que jusqu’à 50 % d’entre elles interrompent leur traitement avant la fin de la première année », a souligné le Dr Denis Choquette, rhumatologue à l’Institut de rhumatologie de Montréal, qui croit que le taux de fractures risque de chuter.

L’Aclasta est administré en une perfusion intraveineuse de 15 minutes, laquelle peut être effectuée au cabinet du médecin, par l’entremise d’un réseau de centres de perfusion ou à la maison.

Catégories
Uncategorized

Le Zometa contre le cancer du sein

Des essais cliniques prouvent que le Zoneta, un médicament fabriqué par le laboratoire Novartis, peut réduire de 35 % le risque de récidive du cancer du sein précoce chez les femmes préménopausées.

Ce médicament à base d’acide zolédronique est déjà utilisé pour traiter l’ostéoporose et les métastases osseuses.

Pour l’auteur de cette étude, le Dr Michael Gnant de l’Université de Vienne en Autriche, cette découverte est une excellente nouvelle : « Cet essai clinique à grande échelle démontre que les propriétés antitumeur de l’acide zolédronique améliorent les résultats du traitement au-delà des seuls effets de la thérapie hormonale. »

D’autres recherches devront être menées afin de déterminer les doses de Zometa à donner et mieux identifier les candidates qui répondront favorablement à ce traitement.

Catégories
Uncategorized

L’ostéoporose, rarement diagnostiquée chez les femmes

Dans le cadre d’un colloque organisé à Barcelone, une recherche québécoise portant sur l’ostéoporose dévoile que 80 % des cas de fractures rapportés chez les femmes de 50 ans et plus étaient directement liés à l’ostéoporose et que 80 % d’entre elles n’ont jamais été traitées pour cette maladie.

Cette ignorance des femmes ne les rend que plus vulnérables aux fractures, d’après les chercheurs.

Selon le Dr Jacques Brown, chef du Service de rhumatologie du CHUQ et coauteur de l’étude, ces données risquent de changer la façon de traiter l’ostéoporose chez les professionnels de la santé : « L’importance de connaître l’historique des fractures chez les patientes est primordiale pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose. Les tests de densité minérale osseuse ne suffisent pas. Il faut analyser l’historique des fractures, car il représente un important facteur de risque de fracture. C’est une étape essentielle dans le processus du diagnostic et, la plupart du temps, on la néglige. »

Catégories
Uncategorized

Une bonne ossature grâce au soccer

Selon une récente étude, des mouvements répétitifs comprenant des courses et des sauts, comme au soccer, ont un effet bénéfique sur la densité osseuse des adolescentes.

Cette période de leur vie est cruciale pour la formation d’une ossature qui résistera à l’ostéoporose, à l’âge adulte.

Le Dr James W. Bellew, de l’Université de la Louisiane, a comparé les masses osseuses de jeunes adolescentes de 10 à 17 ans qui pratiquaient trois sports différents : le soccer, la natation et le lever de poids.

Les joueuses de soccer étaient celles dont la densité osseuse était la plus importante parmi les participantes. De plus, les chercheurs croient que le basket-ball et le volley-ball pourraient avoir le même effet sur l’ossature des adolescentes.

 

Catégories
Uncategorized

Le cola, mauvais pour l’ossature

Une recherche menée par le Dr Lawrence Raisz, du Centre sur l’ostéoporose de l’Université du Connecticut, conclut que les boissons gazeuses sont néfastes pour la masse osseuse, particulièrement chez les enfants.

Les chercheurs expliquent cette découverte par plusieurs éléments. D’abord, les consommateurs de ce type de rafraîchissements ont des carences en calcium et en vitamine D puisqu’ils boudent d’autres boissons qui en contiennent, comme le lait ou les jus enrichis.

La caféine pourrait être une autre explication, car elle a souvent été associée à l’ostéoporose.

L’acide phosphorique pourrait aussi jouer dans la balance, car le corps va puiser du calcium dans les os lorsqu’il y a trop de cet acide dans l’organisme humain.

« La modération est très importante. On ne recommande pas de les éliminer complètement de votre alimentation, mais d’en prendre un verre ou deux par semaine », a suggéré le Dr Raisz, qui mentionne que l’exercice physique est un excellent moyen de prévention contre l’ostéoporose.