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Trucs et Bricolages

Pour des cheveux parfaits, on oublie la chaleur et on se tourne vers le froid

Depuis longtemps, on utilise des fers plats et fers à friser pour modeler notre chevelure avec de la chaleur.

Mais voici un nouvel outil qui pourrait changer nos habitudes.

Pour dompter les cheveux, on se tourne maintenant plutôt vers le froid!

C’est la société Inverse qui a imaginé un accessoire de coiffure  qui utilise le froid pour en finir avec les frisottis et autres irritants capillaires.

Et ça fonctionne sans chargeur, piles ou câble!

Il s’agit de plaques intérieures amovibles qu’on dépose au congélateur au moins deux heures avant l’utilisation.

On l’utilise ensuite sur des cheveux humides et fraîchement lavés, ou encore secs.

Le froid est bénéfique pour les cheveux

Les températures en bas de zéro degré des plaques de cet appareil revitalisent les cheveux naturellement, sans aucun produits chimiques.

Elles modifient la fibre de kératine pendant l’utilisation, ce améliore la force et l’élasticité du cheveu.

Il n’y a aucun miracle, mais ce système est très prometteur pour qui veux améliorer la santé de sa chevelure, l’hydrater au fil du temps et en éliminer les frisottis.

On peut se procurerici, pour 125$.

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Quand le stress ramène aux bonnes habitudes

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le stress qui dévoile des informations pertinentes concernant la gestion du stress et des habitudes qui en découlent.

On apprend que le fait d’être stressé ne mène pas toujours à de vilaines habitudes, mais parfois aussi à de bonnes. Encore faut-il en avoir déjà eu, explique notamment Wendy Bois, qui dirige l’étude en compagnie de David Neal.

Selon ces chercheurs, qui ont analysé les cas de plusieurs sujets au cours de cette étude, l’humain aurait tendance à se cacher derrière les habitudes du passé en situation accrue de stress.

Ainsi, quelqu’un qui a un passé de mauvaise alimentation pourrait se remettre à manger de façon malsaine, mais un ancien sportif pourrait tout aussi bien se remettre à la course…

Les chercheurs croient donc, en conclusion, que la meilleure arme en gestion de stress ne serait pas tant de tenter de contrôler cette émotion, mais plutôt de voir à ce que les habitudes adoptées soient bonnes pour la santé.

Lorsque vous êtes trop fatigué pour expérimenter de nouvelles méthodes, la prochaine situation stressante vous donnerait donc l’envie de reprendre d’anciennes habitudes. D’en adopter de nouvelles pourrait donc être bénéfique pour l’avenir!

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Un soutien-gorge dépisteur de cancer

Topsante.com rapporte la création d’un soutien-gorge « dépisteur de cancer », par une compagnie américaine.

Il s’agit d’un soutien-gorge de type sport, tout ce qu’il y a de plus commun, mais qui contient un système peu banal. L’objet serait en mesure de détecter les signes précoces d’un cancer du sein, jusqu’à six ans avant qu’une mammographie puisse y parvenir!

C’est énorme, si l’on prend en considération que le dépistage sauve des vies, et que plus le diagnostic de cancer est fait tôt, plus les chances de survie sont excellentes.

Portant le nom de Breast Self Exam, le soutien-gorge est muni d’un système de capteurs qui peut analyser les changements de température des seins, indicateurs de la création de nouveaux vaisseaux sanguins, utiles à la prolifération de tissus cancéreux.

Tout un concept, qui semble futuriste, mais qui s’avère génial dans son intention. Des essais cliniques ont conclu à un taux d’efficacité de 90 %, mais plusieurs autres sont à venir pour assurer le fonctionnement total de l’appareil.

En attendant, les spécialistes conseillent vivement aux femmes de subir des tests de dépistage pour le cancer du sein dès 50 ans, mais plusieurs suggèrent maintenant de le faire dès la quarantaine.

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Internet : un outil de choix pour les mamans

Internet viendrait surtout en aide aux mamans à la recherche d’une activité à faire en famille.

Une enquête des deux compagnies précédemment nommées démontre que plus de 69 % des mères utilisent des moteurs de recherche afin de trouver des idées de sorties, et 53 % d’entre elles se sont déjà servies de cette technologie afin d’organiser des évènements, choisir leur destination de vacances ou encore trouver des animations pour les anniversaires de leurs tout-petits.

De plus, 74 % des parents ayant pris part à l’enquête affirment avoir immortalisé le moment avec leur téléphone portable.

En fait, ce ne sont pas que les parents qui bénéficient des avantages d’Internet. Environ 7 mères sur 10 ont dit que leur famille entière interagissait tous les jours avec ces nouveaux moyens de communication.

Toutefois, curieusement, la majorité des gens interrogés ont dit trouver que la technologie les empêchait souvent de passer du bon temps avec leur famille et rendait la communication entre ses membres plus difficile.

Rappelons que ce n’est pas si surprenant que les parents pensent ainsi, puisque selon une nouvelle étude, 54 % des enfants préfèrent faire des recherches sur des sites internet plutôt que poser des questions à leurs parents pour obtenir une réponse.

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Un test buccal pour dépister l’autisme

Le test ARISk peut être utilisé aussi tôt qu’à l’âge de six mois par les médecins avec un échantillon de salive. Ce sont 65 marqueurs génétiques associés à l’autisme qui sont analysés en l’espace de quatre semaines en laboratoire, et les résultats sont remis au médecin de famille.

ARISk est pour le moment utilisé en priorité chez les enfants ayant déjà un frère ou une sœur atteint d’une forme d’autisme ou d’un trouble comportemental important. Il est démontré que les frères et sœurs d’enfants atteints d’autisme sont considérés comme plus à risque. Les garçons auraient 26 % plus de risques, et les filles 10 %.

Cependant, IntegraGen poursuit le développement de tests permettant d’évaluer le risque d’autisme chez des enfants sans antécédents familiaux.

Au coût de 2900 $, il faut dire que le parent doit avoir plusieurs soupçons de la présence de la maladie avant de vouloir investir une telle somme dans un test.

L’autisme étant considéré comme « génétiquement compliqué », car il n’y a pas qu’un seul chromosome ou gène responsable du développement de la maladie, il pourrait être mieux dépisté en observant plusieurs gènes à la fois.

Cette démarche permettrait d’accélérer l’évaluation, l’intervention et les traitements, et potentiellement d’améliorer la qualité de vie de l’enfant concerné à long terme.

Bien que les résultats puissent être fiables, les spécialistes croient que l’évaluation clinique ne sera pas à négliger à la suite du test d’ADN. La vigilance des parents sera de mise, car il se peut que certains gènes n’aient pas été démasqués.

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Une nouvelle technique au secours des malformations cardiaques pédiatriques

Il suffirait de placer le petit boîtier électronique sur le pied du bébé pour calculer le taux d’oxygène dans le sang de ce dernier. Cette technique ne représente d’ailleurs aucun risque d’erreurs de diagnostic, confirment les chercheurs.

L’oxymètre de pouls permettrait ainsi de faire davantage d’examens, un suivi plus assidu et même d’effectuer une chirurgie d’urgence, si les professionnels de la santé s’apercevaient que le rythme cardiaque du poupon est anormalement faible.

L’étude, réalisée par des médecins de l’Université Queen Mary à Londres sur 230 000 nouveau-nés, a été publiée dans la revue scientifique The Lancet. On révèle que cette technique de prévention permettrait de sauver la vie de 200 à 300 bébés de plus en Grande-Bretagne chaque année.
 
Il existe peu d’outils pour repérer les symptômes peu apparents de cette maladie chez le bébé. Souvent, l’enfant risque de mourir à la maison ou en urgence avant que le tout soit décelé.
 
En ce moment, des méthodes de dépistage comme l’échographie prénatale arrivent à trouver seulement la moitié des cas de malformation cardiaque congénitale.
 
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Un outil pour vous aider à prévenir le surmenage

Des chercheurs norvégiens ont mis sur pied l’Échelle Bergen qui, d’après sept critères de base, peut vous aider à prévenir le surmenage en identifiant les signes avant-coureurs d’une dépendance à votre travail.
 
Si vous ne comptez pas les heures supplémentaires, que vous travaillez hors de votre bureau et que vous ne parvenez pas à décrocher, il y a lieu de s’inquiéter. Les excès de travail peuvent mener à des troubles de santé physique et psychologique.
 
Le questionnaire offre un choix de réponses multiples : jamais, rarement, parfois, souvent et toujours. Si vous répondez « souvent » ou « toujours » au moins à quatre reprises aux affirmations ci-dessous, vous êtes dépendants à votre travail.
 
– Vous cherchez des solutions afin de trouver du temps pour travailler plus.
– Vous passez plus de temps que prévu au travail.
– Vous travaillez pour diminuer votre sentiment de culpabilité, d’anxiété, d’impuissance et de déprime.
– Vos proches vous ont déjà dit de réduire vos heures de travail, en vain.
– À l’idée de ne pas pouvoir travailler, vous angoissez.
– Vous délaissez vos loisirs et activités physiques pour travailler plus.
– Votre travail a des répercussions sur votre santé.
 
« Des recherches antérieures ont déjà montré que le surmenage provoquait des insomnies, un épuisement professionnel et un stress permanent chez les dépendants, entraînant par ailleurs des conflits familiaux », déclare l’auteure principale de l’étude, la Dre Cecilie Schou Andreassen au Journal of Psychology.
 
Comme toute dépendance, le premier pas vers la guérison est d’admettre que l’on a un problème.
 
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Les patients bien informés refuseraient de passer le test du stress

C’est ce que les chercheurs disent avoir remarqué, dans le journal de l’American Heart Association, après avoir créé un outil d’aide à la décision pour les patients ayant des douleurs thoraciques.

L’outil a été créé afin que les patients acceptent d’être évalués sans que cela affecte de façon négative leur traitement.

Un test de stress consiste à faire augmenter le rythme cardiaque d’un patient en le faisant courir sur un tapis roulant. Ainsi, il est possible d’analyser la façon dont son coeur bat et d’en tirer différentes conclusions.

« Pour éviter de manquer un diagnostic de crise cardiaque, les médecins des urgences acceptent souvent des patients aux unités d’observation pour test de stress même si les patients sont à très bas risque d’avoir une crise cardiaque. Cela se résulte en des résultats faussement positifs, en des procédures supplémentaires qui ne sont pas nécessaires, en l’exposition du patient à des rayonnements et en des coûts plus élevés », explique l’auteur principal de la recherche, le docteur Erik P. Hess.

L’étude suggère également que les patients moins à risque ne souhaiteraient pas s’engager dans une longue série de tests après que la possibilité d’une crise cardiaque ait été écartée.

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Un outil pour évaluer l’exposition des jeunes aux publicités sur l’alcool

Créée par le Center on Alcohol Marketing and Youth (CAMY) de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, cette invention est accessible gratuitement aux parents et aux départements de santé.

Les utilisateurs de différentes villes aux États-Unis peuvent détecter la fréquence à laquelle les jeunes sont exposés à l’alcool.

« Malgré la prolifération d’outils comme les téléphones intelligents et les tablettes, la radio continue d’être un média populaire auprès des jeunes », explique le directeur du CAMY, David Jernigan.

Une étude précédente du CAMY avait révélé que plus du tiers des placements de produits de boissons alcoolisées se faisait lorsque davantage de mineurs que d’adultes étaient à l’écoute.

De plus, aux États-Unis, plus de 14 études sérieuses ont démontré que plus les jeunes sont exposés aux publicités sur l’alcool, plus ils sont susceptibles de commencer à boire avant l’âge légal, ou s’ils boivent déjà, de boire plus.

« L’alcool est la substance à laquelle le plus de jeunes développent une dépendance aux États-Unis, et nous savons que la publicité sur l’alcool a un impact significatif sur la décision de boire des jeunes », déplore le directeur du programme sur l’alcool des Centers for Disease Control and Prevention, Robert Brewer.

Rappelons que l’alcool est responsable de plus de 4700 décès de jeunes âgés de 21 et moins aux États-Unis.

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Problème de langage chez l’enfant : le LDS est un outil efficace

Saviez-vous que les enfants âgés de plus de 2 ans doivent normalement maîtriser de 75 à 225 mots, et qu’un enfant sur quatre connaîtrait un retard de développement en ne disant qu’une cinquantaine de mots?
 
C’est ce qu’a confirmé Leslie Rescorla, chercheuse américaine qui a mis au point dans les années 80 le Language Development Survey (LDS) qui permet aux parents et aux professionnels de la santé de détecter des retards de langage chez l’enfant.
 
Selon Nan Bernstein Ratner, chercheur à l’université du Maryland aux États-Unis, quand un enfant ne maîtrise pas assez de vocabulaire, l’autisme ou un problème de développement mental ou d’audition serait à l’origine la plupart du temps.
 
Plus tôt le problème est découvert, plus tôt il pourra y avoir une intervention, conviennent les spécialistes qui se sont réunis en février dernier à Vancouver pour la conférence scientifique de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS).
 
C’est d’ailleurs lors de cette conférence annuelle que le LDS a été élu à nouveau comme excellent outil de détection des troubles de l’apprentissage du langage.
Le LDS est traduit en plusieurs langues, mais pas encore en français. Il contient 14 catégories (nourriture, personnes, animaux, etc.) qui rassemblent 310 mots (oui, non, bonjour, chat, banane, etc.).
 
Il semblerait qu’en moyenne, les enfants âgés de 24 à 30 mois utilisent 150 des mots présentés. Les parents sont invités à noter les mots spontanément utilisés et à travailler avec leurs enfants ceux qui semblent plus « compliqués ».
 
Le site CogniSciences est également une autre option pour mieux suivre le développement des enfants à différents âges.