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La 70e Mostra de Venise démarre avec un thriller de l’espace, Clooney et Bullock

Gravity, un thriller de l’espace très attendu du Mexicain Alfonso Cuaron avec George Clooney et Sandra Bullock donne le coup d’envoi ce soir (28 août) de la 70e Mostra de Venise, plus vieux festival de cinéma du monde.

Présenté hors compétition, Gravity met en scène un astronaute chevronné (George Clooney) et une experte en ingénierie médicale (Sandra Bullock), livrés à eux-mêmes dans l’espace, sans espoir d’être sauvés après la destruction de leur navette spatiale.

Plusieurs fois nommé aux Oscars et primé deux fois à Venise, Alfonso Cuaron, 51 ans, s’est taillé une renommée internationale et est considéré comme l’un des réalisateurs mexicains les plus doués de sa génération avec Guillermo del Toro et Alejandro Gonzales Inarritu. Son dernier film, Children of Men, remonte à 2006.

Au total, une cinquantaine de films réalisés par des routards du cinéma mondial aussi bien que par de jeunes talents seront présentés pendant dix jours au Lido, qui accueille aussi un marché du film depuis l’an dernier.

Vingt films, auxquels s’ajoutera un film-surprise, seront en compétition pour le Lion d’or qui sera décerné le 7 septembre par un jury présidé par Bernardo Bertolucci, 73 ans, et composé notamment des actrices française, allemande et américaine, Virginie Ledoyen, Martina Gedeck et Carrie Fisher (Star Wars), de la réalisatrice britannique Andrea Arnold et du directeur de la photographie franco-suisse Renato Berta.

Si le glamour sera au rendez-vous du tapis rouge cette année encore avec une forte présence de cinéastes et de stars anglophones attendues (George Clooney, Sandra Bullock, Scarlett Johansson, Nicolas Cage ou Matt Damon…), la Mostra s’annonce plutôt sombre du point de vue des thèmes abordés, en reflet des crises « économiques, sociales et familiales » que traverse la planète, a prévenu le directeur du festival, Alberto Barbera.

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La Mostra de Venise s’ouvre mercredi et s’annonce sombre à l’image des crises

La Mostra de Venise, plus vieux festival de cinéma du monde, s’ouvre mercredi (28 août) avec une forte présence anglo-saxonne pour cette 70e édition qui s’annonce plutôt sombre en reflet des crises « économiques, sociales et familiales ».

Le festival démarrera cependant dans le glamour avec l’Américain George Clooney, habitué de Venise, et sa compatriote Sandra Bullock, héros de Gravity, thriller de science-fiction du réalisateur mexicain Alfonso Cuaron.

Présenté hors compétition dans sa version 3D, Gravity met en scène un astronaute chevronné et une experte en ingénierie médicale, livrés à eux-mêmes dans l’univers après l’explosion de leur navette spatiale.

Au total, 53 films défileront en dix jours au Lido, dont 20 en compétition pour le Lion d’or, décerné le 7 septembre.

« Abus sexuels, violences sur les femmes, dissolution des liens familiaux, crise des valeurs… Les cinéastes ne donnent pas de signal d’optimisme », a déclaré le directeur du festival, Alberto Barbera, en révélant la programmation fin juillet à Rome.

Parmi les compétiteurs, des « routards » du cinéma comme les réalisateurs britanniques Stephen Frears (Philomena) et Terry Gilliam (The Zero Theorem), l’Israélien Amos Gitaï (Ana Arabia) ou le Japonais Hayao Miyazaki (Kaze Tachinu), seul asiatique en compétition avec le cinéaste de Taipei Tsai Ming-Liang (Jiaoyou).

Le réalisateur Philippe Garrel représentera la France en compétition avec La jalousie, une histoire d’amour et de couple, avec deux de ses enfants, Louis et Esther Garrel, et l’actrice Anna Mouglalis.

Patrice Leconte présentera, hors compétition, Une promesse, adapté du roman Voyage dans le passé de Stefan Zweig. Thierry Ragobert, ancien collaborateur du commandant Cousteau, aura l’honneur de clore le festival, hors-compétition aussi, avec Amazonia, une fiction animalière en 3D.

Côté francophone, le réalisateur franco-algérien Merzak Allouache sera en lice avec Les terrasses, et le Canadien Xavier Dolan avec Tom à la ferme.

Parmi les cinéastes attendus, le scénariste américain Peter Landesman, qui fait ses débuts derrière la caméra, présentera Parkland, un opus sur l’assassinat du président américain John Fitzgerald Kennedy, dont la sortie en salles est prévue autour du 50e anniversaire de la mort de JFK le 22 novembre.

Son compatriote David Gordon Green sera en compétition avec Joe, l’histoire d’un ancien taulard (Nicolas Cage) qui tente de se racheter. La cinéaste Kelly Reichardt présentera Night Moves sur un groupe d’écoterroristes.

Toujours du côté américain, les fans de James Franco seront ravis de le voir concourir avec Child of God, l’adaptation d’une nouvelle de Cormac McCarthy.

Tandis que Paul Schrader fera son grand retour (hors compétition) avec The Canyons, qui met en scène la sulfureuse Lindsay Lohan et est écrit par l’auteur d’American Psycho, Bret Easton Ellis.

Outre Stephen Frears avec Philomena, l’histoire d’une Irlandaise à la recherche de l’enfant qui lui a été arraché adolescente, le cinéma britannique sera à l’honneur avec l’ex-Monty Python Terry Gilliam, dont le film est annoncé comme un Brazil contemporain, avec Christoph Waltz, Tilda Swinton, Matt Damon et la Française Mélanie Thierry.

Le Royaume-Uni est également représenté par John Curran avec Tracks et Under the Skin de Jonathan Glazer, dans lequel Scarlett Johansson campe une extra-terrestre ultra sexy.

Côté italien, Emma Dante présentera son premier film, Via Castellana Bandiera, et Gianni Amelio (Lion d’or en 1998 pour Così ridevano) L’intrépide.

Pour la première fois, deux documentaires seront en compétition : The Unknown Known de l’Américain Errol Morris, longue entrevue de l’ex-ministre américain de la Défense Donald Rumsfeld, et Sacro GRA de l’Italien Gianfranco Rosi, tourné sur le boulevard périphérique romain.

Le jury sera présidé par le réalisateur italien Bernardo Bertolucci, 73 ans, entouré notamment de la réalisatrice et écrivaine britannique Andrea Arnold, de l’actrice française Virginie Ledoyen, du directeur de la photographie franco-suisse Renato Berta et de l’actrice allemande Martina Gedeck.

Pour cette 70e édition, 70 cinéastes du monde entier ont été invités à tourner un court-métrage illustrant « leur idée de faire du cinéma ».

Des grands seront « présents » en marge de la compétition : le Polonais Andrzej Wajda, avec un film tourné pour les 30 ans de Solidarnosc, le Coréen Kim Ki-duk avec Moebius et l’Italien Ettore Scola, qui « raconte » Federico Fellini dans un film intitulé Che strano chiamarsi Federico (Comme c’est bizarre de s’appeler Federico).

Autre vétéran, le réalisateur de The Exorcist, William Friedkin, recevra un Lion d’or pour l’ensemble de sa carrière.

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L’hôtel Fitz Roy rouvre ses portes avec 5 étoiles dès le 14 décembre

Après sa rénovation, le Fitz Roy de Val Thorens rejoindra le club très fermé des cinq étoiles de la station de ski de Val Thorens. La réouverture de l’établissement est prévue le 14 décembre.

Cette année, Val Thorens voit son parc hôtelier monter en gamme. Si en 2011 la station de ski comptait un établissement cinq étoiles avec Altapura, désormais elle en a trois. Le Koh-I Nor ouvrira ses portes le 5 décembre, et le Fitz Roy, en cours de rénovation, sera opérationnel dès l’ouverture de la saison, à savoir le 14 décembre. À noter que ce palais du ski gagne du galon, puisqu’hier encore il était un quatre étoiles.

Au cœur de la plus haute station d’Europe, ce chalet situé à 2 300 mètres d’altitude comprend 58 chambres et suites. Il dispose d’un spa, composé notamment d’une piscine taillée à flanc de montagne. Du côté du restaurant, même si le nom du chef n’a pas encore été dévoilé, on mise sur une cuisine gastronomique. Le bar, quant à lui, se veut un haut lieu de la convivialité, notamment grâce à sa grande cheminée centrale.

L’architecture d’intérieur a été confiée à Gilles Leborgne et au cabinet ID.associés. Les volumes ont été habillés de pierre et de chêne, et le mobilier se veut intimiste et chaleureux. Cette renaissance se caractérise aussi par une décoration savoyarde authentique, discrète et raffinée. 

 

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Le Laura Ashley Manor Hotel ouvre à 20 minutes de Londres

La marque d’ameublement britannique Laura Ashley, connue pour ses imprimés floraux, est devenue la nouvelle maison de design à entrer sur la scène hôtelière avec un hôtel-boutique dans la campagne anglaise.

À une vingtaine de minutes de Londres en train, Laura Ashley Manor Hotel à Elstree dans l’Hertfordshire s’étend sur près de cinq hectares. L’hôtel pourrait être décrit comme le cottage anglais parfait et luxueux : les clients pourront séjourner dans une maison à colombages style Tudor du XVIe siècle avec une façade couverte de rosiers grimpants typiques d’un jardin anglais, un étang et des bois sur la propriété. 

L’ouverture de l’hôtel marque les 60 ans de la marque.

Anciennement connue sous le nom Edgwarebury Hotel, la propriété a déjà été utilisée comme décor de tournage pour Sophia Loren.

Les terrains de tennis ont été transformés en un échiquier géant qui accueille les visiteurs à leur arrivée et sur lequel on peut jouer de vraies parties d’échecs. Une tonnelle de roses est idéale pour des photos de mariage parfaites, et un joli jardin permet de boire un thé à quatre heures sur la pelouse.

S’il fait beau, les clients pourront même apercevoir le Canary Wharf & Docklands, The Sard, la BT Tower et le Wembley Stadium à Londres.

L’hôtel-boutique dispose de 49 chambres décorées par les articles des collections Laura Ashley Home, un restaurant, un bar et des lieux pour les mariages, les réceptions et les conférences.

Chaque chambre dispose d’un téléviseur HD et du WiFi gratuit, et le restaurant Cavendish sert un mélange intéressant de cuisines anglaise et malaisienne.

Laura Ashley n’est pas la première marque de design à se lancer dans le monde de l’hôtellerie : les maisons Missoni, Armani et Versace ont également des hôtels à leur nom.

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Bientôt une station de ski au coeur de Londres?

Alors qu’il est déjà possible de faire du ski en plein désert à Dubaï, le maire de Londres aimerait créer sa propre station intérieure.

Dans le cadre du réaménagement du Queen Elizabeth Olympic Park, Boris Johnson, le maire de Londres, prévoit de rivaliser avec la plus grande station intérieure actuelle, à savoir Ski Dubai, aux Émirats Arabes Unis, qui s’enorgueillit de 22 500 m² de pistes enneigées.

Le nouveau domaine londonien serait deux fois plus grand que les stations intérieures déjà présentes au Royaume-Uni et proposerait, en plus du ski, des magasins, un hôtel et des espaces de restauration, selon le maire.

Cependant, cette station de ski n’est pas le seul projet en lice pour le réaménagement prévu de l’Olympic Park. On évoque aussi un nouveau campus pour l’University College de Londres, un quartier résidentiel de 8000 maisons ou encore une zone dédiée aux commerces.

En attendant, une petite partie du Queen Elizabeth Olympic Park a rouvert au public fin juillet, un an après les Jeux olympiques qui avaient animé la capitale en 2012.

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Hôtel Indigo prévoit l’ouverture d’un premier établissement en France

Le groupe hôtelier ouvrira l’une de ses boutiques-hôtels dans le quartier de l’Opéra à Paris en 2014. Ce sera le premier établissement de la marque à s’implanter en France.

Situé à proximité de l’Opéra Garnier, l’établissement comprendra 54 chambres, un bar et un restaurant haut de gamme ainsi qu’un centre de conditionnement physique. Les travaux de rénovation du bâtiment actuel permettront de créer un décor caractéristique de l’architecture parisienne.

Cette chaîne d’hôtels, détenue par le Britannique InterContinental Hotels Group, s’attache à respecter les particularités culturelles de chaque ville et de chaque quartier où elle s’implante à travers le monde.

La marque possède une cinquantaine de boutiques-hôtels internationalement, dont une dizaine en Europe. Elle prévoit l’ouverture de 14 établissements supplémentaires sur le Vieux Continent d’ici 5 ans.

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La maison natale de Victor Hugo ouvrira ses portes le 13 septembre à Besançon

La maison natale de Victor Hugo ouvrira ses portes au cœur de Besançon (Doubs) le 13 septembre prochain, à l’occasion des Journées européennes du patrimoine. Ce lieu historique où l’écrivain a vu le jour le 26 février 1802 offre une tribune pour les combats et les engagements de Victor Hugo, aujourd’hui incarnés par des associations telles que Reporters sans frontières ou Amnistie internationale. 

Véritable lieu de mémoire, la maison de Victor Hugo ne se présentera pas comme un musée classique. Le site mettra certes à la disposition du visiteur des archives et des documents d’époque, mais se placera également comme un espace de réflexion sur les engagements de l’écrivain. 

Les combats de Victor Hugo seront incarnés et actualisés par des associations humanitaires et des organismes tels que Reporters sans frontières, ATD Quart Monde, Unicef et Amnistie internationale. La liberté de la presse, les droits de l’enfant ou encore la liberté des peuples seront mis de l’avant dans une scénographie contemporaine. 

La maison de Victor Hugo est parrainée par Robert Badinter, ardent défenseur de l’abolition de la peine de mort. Ce lieu a également bénéficié de l’appui de l’historien et biographe de l’écrivain Jean-Marc Hovasse. 

(Maison natale de Victor Hugo, 140, Grande Rue, Besançon, ouverte à partir du 13 septembre tous les jours sauf le mardi. Entrée gratuite jusqu’au 31 décembre 2013. Payante à partir du 1er janvier 2014. Site Internet : www.besancon.fr.)

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Ouverture officielle d’un Burger King à Reims, le premier sur autoroute

La marque américaine de fast-food ouvre ce 4 juillet un restaurant sur l’aire d’autoroute Reims Champagne Sud.

Annoncée par Autogrill, la société qui gère l’exploitation des restaurants Burger King en France, cette implantation est la première du géant américain sur une aire d’autoroute en France.

Elle coïncide avec l’ouverture de la nouvelle aire Reims Champagne Sud, située sur l’autoroute A4 entre Paris et Strasbourg. À noter que cette aire n’est accessible que dans le sens Paris-province.

Après seize ans d’absence en France, Burger King effectuait son retour pour la première fois en décembre 2012 avec l’implantation d’un restaurant dans l’aéroport Marseille-Provence.

Depuis la semaine dernière, des informations circulent selon lesquelles Burger King ouvrirait un établissement dans la gare Saint-Lazare à Paris d’ici la fin de l’année, sans confirmation toutefois de la marque ni de la société Autogrill.

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L’ancienne maison parisienne de Serge Gainsbourg va ouvrir ses portes

À partir de septembre, les fans de Serge Gainsbourg pourront visiter l’ancien hôtel particulier de « l’homme à la tête de chou », rue de Verneuil à Paris, dont la façade, longtemps recouverte de graffitis à sa gloire, est en cours de rénovation.

L’auteur-compositeur-interprète et cinéaste français a vécu dans cet hôtel de 1969 jusqu’à sa mort, en 1991.

Jean-Pierre Prioul, un ami de la famille et superviseur des travaux, sera le guide de ces visites, lui qui a eu « la chance de connaître Serge et [d’avoir] plein d’anecdotes et de choses à raconter ».

« Tout est resté en place à l’intérieur. Il ne manque que le personnage! », explique-t-il à l’AFP.

La fille du chanteur et de l’actrice Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg, actuelle propriétaire de la maison, avait tenté en 2011 d’en faire un musée, mais le projet nécessitait trop de travaux.

L’endroit est assez étroit et contient plusieurs objets de valeur, selon M. Prioul. Seuls ceux qui seront prêts à s’acquitter d’un droit d’entrée, après avoir réservé en ligne, pourront découvrir l’intérieur de la demeure de l’artiste par petits groupes de trois.

En attendant, le mur derrière lequel se cache la maison, auparavant recouvert de graffitis, est en train d’être repeint en blanc. Mais d’ici deux semaines, les fans pourront le décorer à nouveau, insiste M. Prioul.

Du vivant de Serge Gainsbourg, des messages et des dessins en son honneur décoraient le mur, et il leur en était reconnaissant. « Il sortait et il regardait les nouveautés, il en tenait compte », se souvient Jean-Pierre Prioul. Mais au fil du temps le mur a été recouvert par des affiches politiques et des tags. « Il y avait des gens qui n’avaient rien compris du tout à l’esprit de la maison », souligne M. Prioul.

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L’ancienne maison parisienne de Serge Gainsbourg va ouvrir ses portes

À partir de septembre, les fans de Serge Gainsbourg pourront visiter l’ancien hôtel particulier de « l’homme à la tête de chou », rue de Verneuil à Paris, dont la façade, longtemps recouverte de graffitis à sa gloire, est en cours de rénovation.

L’auteur-compositeur-interprète et cinéaste français a vécu dans cet hôtel de 1969 jusqu’à sa mort, en 1991.

Jean-Pierre Prioul, un ami de la famille et superviseur des travaux, sera le guide de ces visites, lui qui a eu « la chance de connaître Serge et [d’avoir] plein d’anecdotes et de choses à raconter ».

« Tout est resté en place à l’intérieur. Il ne manque que le personnage! », explique-t-il à l’AFP.

La fille du chanteur et de l’actrice Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg, actuelle propriétaire de la maison, avait tenté en 2011 d’en faire un musée, mais le projet nécessitait trop de travaux.

L’endroit est assez étroit et contient plusieurs objets de valeur, selon M. Prioul. Seuls ceux qui seront prêts à s’acquitter d’un droit d’entrée, après avoir réservé en ligne, pourront découvrir l’intérieur de la demeure de l’artiste par petits groupes de trois.

En attendant, le mur derrière lequel se cache la maison, auparavant recouvert de graffitis, est en train d’être repeint en blanc. Mais d’ici deux semaines, les fans pourront le décorer à nouveau, insiste M. Prioul.

Du vivant de Serge Gainsbourg, des messages et des dessins en son honneur décoraient le mur, et il leur en était reconnaissant. « Il sortait et il regardait les nouveautés, il en tenait compte », se souvient Jean-Pierre Prioul. Mais au fil du temps le mur a été recouvert par des affiches politiques et des tags. « Il y avait des gens qui n’avaient rien compris du tout à l’esprit de la maison », souligne M. Prioul.