Catégories
Uncategorized

Des chercheurs affirment détenir la clé du traitement contre le cancer du pancréas

Le Daily Mail (UK) rapporte les propos et conclusions d’une équipe de chercheurs de la réputée Université Cambridge, qui laissent croire que celle-ci détiendrait la clé d’un éventuel traitement pour venir à bout du cancer du pancréas.

Les chercheurs en question, dont le Dr Douglas Fearon, auraient en effet découvert un procédé et mis au point un médicament répondant au nom d’AMD3100, qui permettrait à l’organisme d’un patient de renforcer le système immunitaire et de placer ce dernier en position d’attaquer la tumeur.

Les essais effectués jusqu’à maintenant sur des souris semblent probants, alors que plusieurs de ces rongeurs-tests auraient été complètement guéris. L’ADM3100 devra maintenant passer les étapes des essais cliniques sur des humains, et l’équipe de Cambridge a bon espoir de réussir une seconde fois.

Si tout se passe bien, le Dr Fearon et ses collègues prévoient que cette percée permettrait de traiter adéquatement les patients atteints du cancer du pancréas d’ici les dix prochaines années.

Le principe démontré par ces chercheurs est le même que celui proposé par plusieurs homologues depuis quelques années, soit celui des fameuses cellules T et de l’immunothérapie.

L’équipe de Cambridge confirme qu’il s’agit d’une avancée et d’une méthode qui pourraient s’appliquer à plusieurs types de cancer, dont ceux des ovaires et du sein, par exemple.

Catégories
Uncategorized

Donner vos ovules peut mener vers le cancer des ovaires

Un nouveau marché est né, alors les femmes séduisantes et mannequins se font le magot en se transformant en donneuses d’ovules. Mais les risques de cancer ovarien doivent être considérés. 

Selon Science World Report, ces femmes séduisantes et en santé sont très recherchées. L’organisme californien The Egg Donor Program a été créé il y a 20 ans exactement dans le but de recruter ces femmes. Elles peuvent recevoir entre 8000 et 10 000 $ par don.

La chaîne ABC a accueilli le Dr Robert Stillman. « L’American Society for Reproductive Medicine met en garde les femmes en les limitant à 6 dons. Il n’y a aucune loi régissant ce processus, et donc, il n’y a aucun moyen pour prévenir les risques de santé associés pour les femmes qui sont sollicitées. » Plus souvent les femmes ont leur ovulation, plus grand est le risque de cancer.

Julia Derek, une donneuse qui a témoigné, affirme qu’elle y est retournée une douzaine de fois, surtout à cause du montant qu’elle y gagne. Elle a cependant reçu un diagnostic de plusieurs déséquilibres hormonaux.

« Vous jouez à la roulette russe avec votre fertilité et votre santé », a ajouté le Dr Stillman.

Catégories
Potins

Pierce Brosnan a le coeur brisé par la mort de sa fille

Après trois ans de bataille contre un cancer de l’ovaire, la fille de l’acteur de 60 ans Pierce Brosnan, Charlotte, 41 ans, est décédée.

« Le 28 juin à 14 h, ma chère Charlotte Emily est passée à la vie éternelle après avoir succombé à un cancer de l’ovaire », mentionne Brosnan à People.

« Elle était entourée de son mari, Alex, de ses enfants, Isabella, 14 ans, et Lucas, 8 ans, et de ses frères, Christopher et Sean. Charlotte a combattu le cancer avec grâce, humanité, courage et dignité. Nos cœurs sont lourds par cette perte de notre chère fille. Nous prions pour elle et pour qu’un remède contre cette maladie soit bientôt à portée de main. Nous remercions tout le monde pour leurs sincères condoléances », ajoute l’acteur.

La mère de Charlotte, Casssandra Harris, avait aussi succombé à un cancer de l’ovaire en 1991 alors qu’elle était mariée à Pierce Brosnan. Elle avait elle-même perdu sa mère, emportée par ce terrible cancer, alors qu’elle n’était qu’une adolescente.

Catégories
Uncategorized

Un traitement expérimental du cancer ovarien qui donne de l’espoir

On rapporte, notamment du côté de The National Library of Medicine, qu’un nouveau traitement expérimental du cancer des ovaires donne de l’espoir aux spécialistes qui s’y affairent.

Sous la forme d’un simple vaccin, le traitement aurait permis à une patiente en stade avancé d’atteindre une rémission complète, sans l’aide d’aucune autre forme de traitement ou de médication.

Ce succès viendrait donc clore la première phase d’essais cliniques du nouveau vaccin, et ces conclusions seront déposées lors de la rencontre annuelle des spécialistes de l’American Association for Cancer Research, samedi prochain (13 avril).

Bien que le cancer ovarien ne fasse pas énormément de victimes, selon ce que l’on apprend, il n’en demeure pas moins qu’il est plus difficile à détecter. Trop de femmes, parmi le 1,8 % qui seront diagnostiquées d’un cancer des ovaires, le sauront très, ou trop, tard…

Encore une fois, le traitement se base sur des théories similaires retrouvées dans d’autres essais effectués par d’autres spécialistes, à savoir que chaque tumeur possède sa propre empreinte, et qu’elle doit donc être ciblée par un traitement qui la vise « personnellement ».

Bien que le cancer soit encore une source d’inquiétudes et trône parmi plusieurs palmarès peu enviables, il faut avouer que plusieurs nouvelles récentes permettent d’être optimiste et d’entrevoir des traitements viables d’ici peu.

Catégories
Uncategorized

Un nouveau nom pour désigner le syndrome ovarien polykystique?

Les National Institutes of Health annoncent avoir demandé à un panel d’experts de se pencher sur la question de l’appellation du syndrome ovarien polykystique, qu’il juge trop complexe.

Selon l’organisation, l’appellation actuelle apporte beaucoup de confusion au sein de la population, spécialement chez les femmes qui souffrent de ce syndrome.

Le syndrome ovarien polykystique est un désordre hormonal chez la femme qui peut créer de la douleur et des problèmes de fertilité. On note une hausse des cas rapportés en Amérique du Nord, et voilà pourquoi de plus en plus de spécialistes soulignent l’importance d’étudier le phénomène.

Le premier point à l’ordre du jour est justement le nom de ce syndrome, qui ne permet pas de bien comprendre sa complexité et ses impacts sur le corps et la santé des femmes.

« Le nom syndrome ovarien polykystique est une distraction qui nuit au progrès. Il est temps d’assigner un nom qui reflètera les interactions qui caractérisent ce syndrome. Le bon nom devra souligner et reconnaitre le problème et être favorable à une meilleure recherche », conclut le panel d’experts.

Catégories
Uncategorized

Un médicament contre le diabète efficace contre le cancer de l’ovaire

Une nouvelle étude rapportée par Santelog.com parle d’une découverte intéressante concernant le cancer de l’ovaire.

Cette maladie fait des ravages chez les femmes, et les chercheurs multiplient les efforts pour tenter de trouver des solutions. Il y en a peut-être une qui se développe en ce moment, alors que des chercheurs de la Clinique Mayo affirment être en mesure d’allonger la durée de vie de patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire grâce à un traitement contre le diabète.

Il s’agit de la metformine, un médicament bien connu, qui pourrait bien avoir une double propriété. On avait par ailleurs déjà associé la metformine à des résultats encourageants observés dans certains cas de cancers du poumon, notamment.

Cette fois, les chercheurs ont analysé les dossiers de 61 patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire à qui l’on a administré de la metformine. On a ensuite comparé ces résultats avec ceux de 178 patientes qui n’ont pas reçu le traitement.

Les résultats sont clairs : les patientes sous metformine augmentent leur durée de vie. Et cela peut même aller jusqu’à cinq années supplémentaires, affirment les experts.

Il s’agit d’une percée intéressante qui pourrait mener à d’autres traitements en matière de cancer de l’ovaire.

Catégories
Uncategorized

Des greffes ovariennes pour retarder la maternité

L’avenir pour les femmes de carrière semble prometteur. Celles qui veulent des enfants plus tard pourraient voir leur voeu être exaucé, si l’on en croit un chirurgien renommé, le docteur Sherman Silber.

Les femmes pourraient en effet retarder leur envie de bébé, et donc repousser la ménopause, avec une greffe de l’ovaire.

Des techniques similaires sont utilisées en ce moment pour sauver les ovaires des femmes traitées pour un cancer. Le Dr Sherman Silber prédit que ces transplantations ou greffes, pour des raisons sociales, sont une option réaliste pour la préservation de la fertilité.

Le docteur Silber a expliqué que ces greffes d’ovaires pourraient être une solution à l’augmentation des problèmes de fertilité causés par les femmes de carrière qui remettent à plus tard leur souhait d’avoir des enfants.

Sherman Silber a déjà réalisé une belle prouesse dans le domaine en 2007. Une femme de 38 ans avait donné naissance à une petite fille née après une greffe ovarienne provenant de sa soeur jumelle. La transplantation avait été réalisée aux États-Unis.

Catégories
Uncategorized

Les traitements contre l’infertilité sans risques de cancer

Une étude publiée dans le British Medical Journal dément les précédentes affirmations de chercheurs danois voulant que ces traitements qui stimulent l’ovulation augmentent les risques de cancer chez les femmes.

En fait, sur les 50 000 femmes traitées pour infertilité ayant pris part à la recherche, 156 seulement ont développé un cancer de l’ovaire.

L’étude comprenait aussi des femmes ayant reçu plus de dix cycles de traitement ainsi que celles qui ne sont finalement pas tombées enceintes.

Toutefois, durant les recherches récentes, les femmes n’avaient pas toutes atteint l’âge où le cancer se développe plus souvent, c’est-à-dire 60 ans.

Il existe plusieurs causes à l’infertilité féminine. Par exemple, les dommages aux trompes de Fallope, le trouble de l’utérus appelé endométriose, les irrégularités du cycle de l’ovulation et la taille ou la forme anormale de l’utérus peuvent nuire à la fertilité.

Certains de ces problèmes peuvent être dus à une infection transmissible sexuellement.

De plus, plus une femme vieillit, plus il est difficile pour elle de concevoir.

Catégories
Uncategorized

Les causes de l’infertilité

Afin de mieux comprendre l’infertilité féminine, Sher Institutes of Reproductive Medicine présente les cinq raisons principales qui peuvent l’entraîner.

On parle tout d’abord des dommages aux trompes de Fallope. Souvent causés par une maladie transmise sexuellement (la chlamydia ou la gonorrhée, par exemple), ils viennent à empêcher l’ovule de joindre les spermatozoïdes.

L’endométriose, un trouble touchant l’utérus, peut quant à elle endommager les trompes et les ovaires. Ces derniers demeurent justement une troisième raison principale de l’infertilité. S’ils sont endommagés ou dans une position incorrecte, entre autres, cela peut empêcher le cours normal de l’ovulation.

Le cycle de l’ovulation peut aussi affecter le déclenchement d’une grossesse et le succès de celle-ci. L’un des facteurs d’une telle irrégularité est l’âge de la femme; on a déjà remarqué une baisse de sa fertilité à partir de l’âge de 35 ans.

L’utérus représente finalement le cinquième élément déclencheur, dans le cas où il est de forme et de taille anormales. L’exemple classique est celui du ventre en forme de T, ce qui fait que l’utérus et la cavité utérine sont nettement plus petits que la normale.

Catégories
Uncategorized

Les jeunes femmes devront faire congeler leur tissu ovarien

Selon l’avis d’experts, les femmes dans la vingtaine auraient tout intérêt à conserver leurs chances de tomber enceintes plus tard en congelant une partie de leur tissu ovarien, apprenons-nous sur Mail Online.

C’est l’avis du Dr Sherman Silber, l’un des experts en fertilité les plus respectés à l’échelle mondiale, qui soutient que cette procédure encore controversée est des plus efficaces.

Selon lui, elle devrait même être accessible par le biais du réseau de la santé, car elle serait beaucoup plus efficace que la fécondation in vitro.

La réalité d’aujourd’hui fait en sorte que les femmes ont des enfants à un âge plus avancé, car pour une grande majorité d’entre elles, leur carrière doit être établie avant de pouvoir faire le grand saut.

Or, plus les femmes repoussent la grossesse, plus leurs chances de réussite diminuent, la fertilité déclinant avec l’âge.

Cette procédure coûte en ce moment aux alentours de 4 000 dollars. Elle consiste à retirer environ le tiers du tissu d’un ovaire, lequel contient près de 60 000 ovules. On le congèle ensuite jusqu’à ce que la patiente soit prête à fonder une famille. La réimplantation fournit ainsi à la femme la même qualité et quantité d’ovules que lors de sa vingtaine, augmentant ses chances de tomber enceinte.