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Du thé noir quotidiennement pour réduire de 30 % le risque de cancer de l’ovaire

Il s’agit une fois de plus de flavonoïdes, un soldat antioxydant redoutable contre les radicaux libres, responsables de dommages aux cellules immunitaires.

La recherche qui a conclu à ce bienfait inestimable du thé noir au citron se base sur 200 000 femmes et leurs habitudes alimentaires. L’étude s’est échelonnée sur 30 ans, et les observations se sont basées sur les aliments riches en flavonoïdes.

Il est ressorti des résultats que les femmes qui consommaient deux thés noirs au citron quotidiennement réduisaient de 30 % le risque de développer le cancer de l’ovaire.

On retrouve le même antioxydant que celui du thé noir dans les pommes et les raisins (donc dans le vin rouge), ainsi que dans les agrumes. 

Top Santé rapporte que selon les données de l’Institut national du cancer, le cancer de l’ovaire est souvent dépisté trop tard, ce qui mène à 2 décès sur 3 cas déclarés.

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Une mutation génétique joue un rôle dans les cancers rares

Le New England Journal of Medicine indique qu’une mutation génétique jouerait un rôle clé dans l’apparition de plusieurs cancers rares comme celui des ovaires, de l’utérus et des testicules.
 
Cette mutation modifie le fonctionnement du gène Dicer et favorise la formation de cancer. Les chercheurs mentionnent que ce gène joue une fonction vitale dans le développement et le comportement de cellules saines.
 
« Les mutations que nous avons découvertes ne détruisent pas totalement les fonctions de ce gène, mais elles les modifient plutôt. De ce fait, le chef d’orchestre est toujours là, mais il agit comme quelqu’un d’ivre », explique le Dr Gregg Morin.
 
Au Canada, on dénote 850 nouveaux cas de cancer des testicules annuellement. Pour ce qui est du cancer des ovaires, c’est 2600 nouveaux cas par an, et pour le cancer de l’utérus, on enregistre 4700 nouveaux cas chaque année.
 
Cette nouvelle découverte pourrait donc ouvrir la voie à de meilleurs traitements pour ces types de cancers, et même les cancers plus communs.
 
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Reconnaître la grossesse ectopique

Les conséquences d’une grossesse ectopique peuvent être graves. Le fœtus ne pouvant pas se développer normalement et survivre lorsqu’elle survient, la mère peut se retrouver en danger.

En résumé, la grossesse ectopique signifie que l’ovule n’est pas fécondé dans l’utérus, car il n’a pu parcourir son chemin normal depuis les ovaires. La forme la plus courante de ce type de grossesse est celle qui prend source dans les trompes de Fallope, lisons-nous sur Medic Magic.

Il est important d’en reconnaître les premiers signes afin que l’on puisse être en mesure de vivre une grossesse complète par la suite. Les symptômes hâtifs ressemblent à ceux d’une grossesse courante, soit de ne pas avoir ses menstruations, de souffrir de douleurs aux seins, d’avoir la nausée et d’être fatiguée.

Toutefois, si ces autres symptômes s’ajoutent, il vaut mieux consulter un médecin le plus rapidement possible : saignements, crampes ciblées sur un seul côté et douleurs au bas du ventre.

Dans le cas d’une douleur aigüe et soutenue au niveau du bassin, de l’abdomen, voire à l’épaule et au cou, et d’étourdissements, il faut à ce moment se rendre aux urgences, car on pourrait vivre une rupture des trompes de Fallope, celle-ci due à une grossesse ectopique.

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Surpoids des ovaires?

On connaissait déjà le lien entre l’obésité et les difficultés de conception. On sait aussi que les femmes qui souffrent de diabète ont plus de difficulté à tomber enceinte et à mener une grossesse à terme.

Or, des chercheurs avancent maintenant que ces femmes produisent des ovules plus gras. Leur recherche est parue dernièrement dans le Public Library of Science ONE.

C’est que les femmes ayant un surpoids ont un métabolisme qui tend à stocker plus de gras, ce qui entraîne des taux d’acides gras plus élevés dans les ovaires, donc dans les ovules.

Ensuite, ces ovules gras mènent à des embryons comprenant moins de cellules et pouvant présenter des changements génétiques et métaboliques. C’est la première fois qu’on peut définir l’impact négatif des acides gras sur l’embryon.

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Un bon conseil pour tomber enceinte

Une étude des Pays-Bas viendrait d’appuyer la pensée selon laquelle le café diminuerait la fertilité féminine, apprend-on sur Medic Magic. Il semble en effet que la consommation de cette boisson réduirait les chances de grossesse.

La caféine aurait un effet néfaste sur l’oviducte, lequel est responsable du transport des ovules depuis les ovaires jusqu’à l’utérus. Boire plusieurs cafés par jour pourrait donc réduire les chances d’une femme de tomber enceinte.
 
Cette recherche a porté sur 9 000 femmes. Celles qui ont pris plus de quatre tasses de café par jour ont vu leurs chances de vivre une grossesse réduites du quart.
 
Bien que cela ne soit pas la première fois qu’un lien est fait entre la caféine et la fertilité, on ne saurait encore en expliquer clairement les causes.

En effet, ce qui se produit réellement à l’oviducte, aux ovaires et à l’utérus, quand on boit trop de café, n’a pas été jusqu’ici élucidé par les scientifiques.

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L’ablation préventive des seins et des ovaires peut éliminer les risques de cancers

Les femmes qui sont prédisposées génétiquement aux cancers du sein ou des ovaires peuvent avoir recours à l’ablation préventive pour augmenter leurs chances de survie.
 
La Dre Virginia Kaklamani et son équipe de l’Université Northwestern ont suivi près de 2 500 femmes pendant 20 ans pour en arriver à ces conclusions.
 
Les femmes qui ont des mutations génétiques aux gènes BRCA1 ou BRCA2 ont de 56 % à 84 % plus de risques de développer un cancer du sein ou des ovaires. Les participantes à l’étude avaient toutes ces variantes génétiques. Celles qui ont subi une ablation préventive des seins ou des ovaires ont éliminé les risques de développer la maladie dans les trois ans de suivi médical, alors que de chez celles qui n’ont pas eu recours à cette intervention, 7 % ont eu un cancer.
 
« C’est la première étude qui prouve que ces interventions chirurgicales préventives prolongent la vie des femmes ayant ces prédispositions génétiques », dit Virginia Kaklamani.
 
Il est donc important, selon le Journal of the American Medical Association, de subir un test génétique lorsqu’il y a des antécédents familiaux de cancers précoces afin de vérifier si nous possédons ces prédispositions au cancer.