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Un traitement expérimental du cancer ovarien qui donne de l’espoir

On rapporte, notamment du côté de The National Library of Medicine, qu’un nouveau traitement expérimental du cancer des ovaires donne de l’espoir aux spécialistes qui s’y affairent.

Sous la forme d’un simple vaccin, le traitement aurait permis à une patiente en stade avancé d’atteindre une rémission complète, sans l’aide d’aucune autre forme de traitement ou de médication.

Ce succès viendrait donc clore la première phase d’essais cliniques du nouveau vaccin, et ces conclusions seront déposées lors de la rencontre annuelle des spécialistes de l’American Association for Cancer Research, samedi prochain (13 avril).

Bien que le cancer ovarien ne fasse pas énormément de victimes, selon ce que l’on apprend, il n’en demeure pas moins qu’il est plus difficile à détecter. Trop de femmes, parmi le 1,8 % qui seront diagnostiquées d’un cancer des ovaires, le sauront très, ou trop, tard…

Encore une fois, le traitement se base sur des théories similaires retrouvées dans d’autres essais effectués par d’autres spécialistes, à savoir que chaque tumeur possède sa propre empreinte, et qu’elle doit donc être ciblée par un traitement qui la vise « personnellement ».

Bien que le cancer soit encore une source d’inquiétudes et trône parmi plusieurs palmarès peu enviables, il faut avouer que plusieurs nouvelles récentes permettent d’être optimiste et d’entrevoir des traitements viables d’ici peu.

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Un nouveau nom pour désigner le syndrome ovarien polykystique?

Les National Institutes of Health annoncent avoir demandé à un panel d’experts de se pencher sur la question de l’appellation du syndrome ovarien polykystique, qu’il juge trop complexe.

Selon l’organisation, l’appellation actuelle apporte beaucoup de confusion au sein de la population, spécialement chez les femmes qui souffrent de ce syndrome.

Le syndrome ovarien polykystique est un désordre hormonal chez la femme qui peut créer de la douleur et des problèmes de fertilité. On note une hausse des cas rapportés en Amérique du Nord, et voilà pourquoi de plus en plus de spécialistes soulignent l’importance d’étudier le phénomène.

Le premier point à l’ordre du jour est justement le nom de ce syndrome, qui ne permet pas de bien comprendre sa complexité et ses impacts sur le corps et la santé des femmes.

« Le nom syndrome ovarien polykystique est une distraction qui nuit au progrès. Il est temps d’assigner un nom qui reflètera les interactions qui caractérisent ce syndrome. Le bon nom devra souligner et reconnaitre le problème et être favorable à une meilleure recherche », conclut le panel d’experts.

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Une étude des gènes apporte de nouveaux indices sur le cancer du sein

Un nouveau regard sur l’empreinte génétique du cancer du sein a révélé de nouvelles informations sur cette maladie dévastatrice, incluant le fait que certains cancers du sein sont reliés de près à certains cancers ovariens.

Le cancer du sein de type basal, l’une des plus mortelles sous-catégories existantes, se rapprocherait génétiquement du cancer ovarien, rapporte nlm.nih.gov.

Dans cette étude, les scientifiques ont utilisé six différentes technologies pour analyser 348 tumeurs chez des femmes aux prises avec le cancer du sein. Ils ont étudié de possibles failles dans l’ADN et l’ARN des tumeurs, ainsi que dans ses protéines.

Ils ont ainsi pu confirmer l’existence de quatre sous-types de cancer du sein, ce qui vient ajouter aux théories grandissantes qui suggèrent que les tumeurs devraient être cataloguées et traitées selon le type de gènes qui est altéré, et non selon la location de la maladie sur le corps.

« Avec cette étude, nous avons fait un autre bond de géant vers la compréhension des origines génétiques des quatre sous-catégories principales de cancer du sein », explique le Dr Matthew Ellis, chef de l’institut d’oncologie de la Washington University School of Medicine.

Dr Ellis poursuit en avançant que l’étude suggère également que la plupart des cancers de types basaux et ovariens ont des origines génétiques similaires et pourraient être traités avec les mêmes médicaments.