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Don d’ovocytes : avoir un bébé asiatique coûte plus cher

Habituellement, chez nos voisins du sud, les couples qui ne peuvent pas avoir d’enfants naturellement et qui ont recours à la fécondation in vitro paient environ 6000 dollars pour avoir droit à un don d’ovocytes.
 
Toutefois, pour avoir accès aux ovocytes d’une femme asiatique, il semblerait qu’il faut tripler la mise et investir de 10 000 à 20 000 dollars pour rémunérer celle qui fera un don, écrit le Los Angeles Times.
 
D’où vient cet engouement pour les ovocytes asiatiques? Bien que les gens de l’Orient soient réputés pour leur grande intelligence, mais aussi pour leurs critères de beauté et ethnicité appréciés, ces éléments ne devraient « normalement » pas entrer en compte pour fixer le prix de l’ovocyte, mais les pratiques sont bien éloignées de ces principes, indique l’American Society for Reproductive Medicine.
 
Compte tenu de l’offre et la demande et du fait que les ovocytes asiatiques sont rares aux États-Unis, car les femmes asiatiques sont plus diplômées et mieux payées que la moyenne, donc moins susceptibles de chercher à vendre leurs ovocytes, le prix du don d’ovocytes est beaucoup plus cher.
 
L’article a été écrit en réponse au nombre croissant de couples asiatiques qui viennent aux États-Unis en 2012 dans le but d’avoir un enfant de leur race, dans le cadre de l’année du Dragon, considérée comme la plus chanceuse.
 
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Pas de technique de vitrification des ovocytes en France

La technique de vitrification est la congélation d’ovocytes. Cette méthode a fait ses preuves, notamment au Canada, au Japon, en Allemagne, en Espagne, en Italie et en Belgique, mais la France refuse encore d’emboîter le pas.
 
Les médecins de l’Assistance médicale à la procréation (AMP) regrettent que cette technique ne puisse être utilisée en France.
 
Le procédé permet notamment aux femmes de concevoir un bébé après avoir été guéries d’un cancer. Les traitements de chimiothérapie rendent souvent infertile, mais cette technique permet aux femmes de ne pas avoir à renoncer à leur rêve d’être mère.
 
En France, ce n’est qu’en 1940 que l’on a permis de congeler les spermatozoïdes des hommes et vers le milieu des années 1980 pour la congélation des embryons.
 
De plus, la vitrification des ovocytes pourrait éviter certains problèmes en cas de séparation du couple, car contrairement aux autres cellules reproductives, les embryons issus d’ovocytes appartiennent autant à la future mère qu’au futur père, donc plus difficiles à réclamer seulement par l’un d’eux.