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Tout sur les tests d’ovulation

De quoi s’agit-il? Ce sont des tests semblables aux tests de grossesse, qui fonctionnent en détectant la présence d’une hormone dans l’urine.

Comment fonctionnent-ils? De 24 à 36 heures avant l’ovulation, le corps a un soudain pic d’hormone lutéinisante. En effectuant des tests tous les jours lorsque vous savez que votre ovulation approche, vous pourrez déterminer avec précision le moment propice pour avoir une relation.

Que faut-il savoir? Pour bien identifier la période de test, il faut connaître et comprendre son cycle auparavant, idéalement en l’observant et en prenant des notes pendant quelques cycles. Cela vous donnera une « fenêtre » de quelques jours durant laquelle votre ovulation est la plus probable.

Comment procéder? Vous devez faire le test avec la première urine du matin, qui est plus concentrée. S’il est positif, votre ovulation se produira le lendemain.

Est-ce que le test est fiable? À 99,5 %, disent les fabricants. Il existe cependant quelques exceptions, par exemple chez les femmes qui ont certaines conditions spécifiques comme des kystes ovariens et dans les mois qui suivent une fausse couche.

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Infertilité chez la femme – nouveau traitement prometteur

L’étude menée sur des souris sera bientôt testée sur des femmes infertiles à cause de l’anovulation. Les chercheurs ont constaté que la prolactine agit indirectement sur l’une des hormones les plus importantes qui affectent la reproduction : la GnRH.

L’hyperprolactinémie (production trop élevée de prolactine) est le plus souvent responsable de problèmes de cycles menstruels, et donc d’infertilité. Chez les souris, les chercheurs ont découvert le processus menant à l’inhibition de l’hormone GnRH.

La kisspeptine, normalement sécrétée, est inhibée lors de l’hyperprolactinémie. L’équipe responsable a donc injecté la kisspeptine chez les souris infertiles, et les résultats ont été concluants. Elle bloque le surplus de prolactine et permet le retour du cycle menstruel régulier, et ainsi l’ovulation.

C’est l’équipe de Jacques Young et Nadine Binart, de l’unité 693 à l’Inserm, responsable des récepteurs stéroïdes : physiopathologies endocriniennes et métaboliques, qui ont travaillé sur la recherche.

Il s’agit donc d’une découverte d’importance, puisqu’elle pourra désormais faire partie d’un nouveau traitement, en remplacement des médicaments prescrits aujourd’hui pour aider les femmes infertiles.

Cependant, d’autres études sont nécessaires pour valider le concept chez les femmes.

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Près de 9 femmes sur 10 ignorent leur date d’ovulation

Ce qui semble élémentaire représente plutôt une surprise d’ampleur. On parle ici d’une recherche effectuée auprès de 204 femmes qui ont consulté un spécialiste à la suite de problèmes de fertilité.

Selon famili.fr, l’étude s’est déroulée dans deux cliniques de Melbourne. Alors que 68 % des femmes disaient être certaines d’avoir tout fait pour que la chance leur sourie, seulement 13 % connaissaient réellement leurs journées d’ovulation.

Plus étonnant encore, Kerry Hampton, principale auteure de l’étude, affirme que la majorité des patientes se disaient mal informées ou trop peu informées quant à la fertilité.

« Une mauvaise connaissance des périodes de fertilité pourrait figurer parmi les freins à la fertilité. Il existe un fossé entre les besoins qui existent en matière d’éducation à la fertilité des femmes et ce que les professionnels estiment nécessaire de leur fournir en la matière », a indiqué Hampton.

De nos jours, les gens se fient trop aux livres et à Internet pour trouver ce type d’information. Le spécialiste demeure cependant celui qui est le mieux placé pour informer les patientes. Il ne faut donc pas hésiter à poser toutes les questions qui nous préoccupent.

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Fertilité : des rapports sexuels le matin ou le soir?

Il semblerait qu’après une bonne nuit de sommeil, le nombre de spermatozoïdes chez l’homme soit effectivement légèrement plus élevé qu’au coucher.

Toutefois, selon Serena Chen, une spécialiste en fertilité au Centre médical Saint Barnabas, la différence de cellules mâles n’est pas assez flagrante pour prouver que le matin est une meilleure période pour procréer.

« Bien sûr que la quantité de sperme, tant qu’il est en santé et se rend à l’utérus pendant la période d’ovulation, n’est pas à négliger quand on veut calculer les chances de succès pour qu’une femme tombe enceinte. Cependant, la différence entre le nombre de spermatozoïdes libérés le matin ou à une autre période de la journée est si minime que cela ne peut pas augmenter les chances de fertilité », explique l’experte.

Chen conseille donc plutôt aux femmes de calculer leur période d’ovulation, selon la durée de leur cycle menstruel, pour maximiser leurs chances de succès.

Elle ajoute que les couples doivent avoir avant tout du plaisir et être détendus lors des rapports sexuels. Selon elle, ces conditions combinées risquent d’être encore plus concluantes que la période de la journée.

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Écoutez votre voix pour tomber enceinte

Les résultats d’une recherche européenne menée entre autres par des universités allemandes, anglaises et leurs consoeurs israéliennes révèlent des conclusions intéressantes qui pourraient favoriser la fécondité.

En mesurant les taux d’estrogène et de progestérone de 69 femmes et en croisant ces données avec des analyses acoustiques de leur timbre de voix, les chercheurs ont trouvé un étrange rapprochement.

En effet, ils ont découvert une évolution du timbre de la voix tout au long du cycle menstruel, le timbre devenant plus aigu à l’approche de l’ovulation. Après l’ovulation, il redeviendrait normal.

Autre surprise, les hommes seraient en mesure de déceler ce changement, aussi difficile à percevoir que cela puisse l’être.

Malgré ces résultats, les chercheurs minimisent leur trouvaille, rappelant que la voix ne constitue pas un indicateur fiable permettant de déterminer le moment de l’ovulation.

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Les causes de l’infertilité

Afin de mieux comprendre l’infertilité féminine, Sher Institutes of Reproductive Medicine présente les cinq raisons principales qui peuvent l’entraîner.

On parle tout d’abord des dommages aux trompes de Fallope. Souvent causés par une maladie transmise sexuellement (la chlamydia ou la gonorrhée, par exemple), ils viennent à empêcher l’ovule de joindre les spermatozoïdes.

L’endométriose, un trouble touchant l’utérus, peut quant à elle endommager les trompes et les ovaires. Ces derniers demeurent justement une troisième raison principale de l’infertilité. S’ils sont endommagés ou dans une position incorrecte, entre autres, cela peut empêcher le cours normal de l’ovulation.

Le cycle de l’ovulation peut aussi affecter le déclenchement d’une grossesse et le succès de celle-ci. L’un des facteurs d’une telle irrégularité est l’âge de la femme; on a déjà remarqué une baisse de sa fertilité à partir de l’âge de 35 ans.

L’utérus représente finalement le cinquième élément déclencheur, dans le cas où il est de forme et de taille anormales. L’exemple classique est celui du ventre en forme de T, ce qui fait que l’utérus et la cavité utérine sont nettement plus petits que la normale.

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Preuves scientifiques quant aux liens de l’alimentation et du sexe du bébé

On peut lire dans le Daily Mail qu’une récente étude aurait jeté officiellement les bases pour qu’une grossesse résulte en un bébé de sexe féminin.

En effet, selon des chercheurs des Pays-Bas, un couple qui souhaiterait avoir une fille devrait suivre certains principes quant à la fréquence de ses relations sexuelles et l’alimentation de la future mère.

Ainsi, une femme devrait consommer beaucoup d’aliments contenant du calcium (yogourt, fromage, épinards, tofu, etc.) et du magnésium (noix de cajou, figues, céréales à grains entiers, etc.).

D’autres aliments devraient être évités, tels que ceux contenant beaucoup de sel et de potassium.

Les chercheurs de l’étude en question recommandent aussi aux couples souhaitant une fille d’avoir des relations sexuelles sur une base régulière, mais pas nécessairement avant ou après l’ovulation.

Pour tirer ces conclusions, ils ont suivi 172 femmes âgées de 23 à 42 ans. Toutes les participantes avaient déjà eu un garçon et souhaitaient avoir une fille.

On leur a demandé de suivre une diète et d’avoir des habitudes sexuelles comme il a été décrit plus haut. Or, plusieurs des participantes n’ont pas suivi toutes les règles à la lettre.

Malgré tout, parmi les 21 femmes qui avaient suivi le régime proposé de façon stricte, 16 ont accouché d’une petite fille.

Il semble que les deux méthodes combinées augmentent les chances de concevoir un bébé de sexe féminin.

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En période d’ovulation, les femmes veulent impressionner

Inconsciemment, en période d’ovulation, les femmes veulent impressionner la gent masculine, mais elles souhaitent aussi intimider leurs rivales.
 
Selon le Journal of Consumer Research, les femmes s’habillent mieux durant cette période et achètent des vêtements et des accessoires plus affriolants.
 
« Ce désir qu’ont les femmes, au moment-clé de leur fécondité, de choisir inconsciemment des articles qui mettent en valeur leur apparence est nourri par leur désir d’être plus séduisantes que leurs rivales. Si vous être plus désirable que la concurrence, vous avez plus de chances d’être retenue », affirme l’auteure de l’étude, Kristina Durante.
 
Ceci ne s’applique pas qu’aux vêtements. Les femmes ont cette même façon de réagir inconsciemment avec les produits de cosmétiques, de maquillage, de mise en forme et de chirurgie esthétique également.
 
« Pendant cinq à six jours chaque mois, les femmes capables d’ovuler, soit plus d’un milliard de consommateurs, ont la propension à acheter des articles et des services qui mettent en valeur leur apparence », ajoute Mme Durante.
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Le mystère de l’ovulation percé à jour

Une étude menée conjointement par des chercheurs de l’Université de Montréal et de l’Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire de l’Université Louis Pasteur à Strasbourg, en France, nous en apprend davantage sur un gène qui régularise ou bloque l’ovulation.

« Nos constatations révèlent que le gène Lrh1 est essentiel pour réguler l’ovulation. Jusqu’à ce jour, le rôle du gène Lrh1 dans la fertilité des femmes était nébuleux, mais nous avons constaté que ce gène régule les multiples mécanismes de l’ovulation et pourrait influer sur la fécondation », a souligné le Dr Bruce D. Murphy, directeur du Centre de recherche en reproduction animale de la Faculté de médecine vétérinaire et professeur associé d’obstétrique et de gynécologie à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal.

Lors de la recherche, les scientifiques ont modifié le gène Lrh1 chez des souris, ce qui a eu pour conséquence de bloquer l’ovulation, ce qui laisse croire au Dr Murphy que cette découverte peut entraîner la création de nouveaux contraceptifs capables d’arrêter l’ovulation de manière sélective et contourner les effets secondaires de la pilule contraceptive.

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Le diabète et les troubles de l’ovulation sont liés

La dernière édition de la revue médicale The Lancet publie un article qui prétend que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), qui cause des problèmes d’infertilité, serait accru par l’obésité et le diabète de type 2.

L’un des auteurs de cette recherche, le Dr Didier Dewailly, conclut que 80 à 90 % des problèmes d’ovulation sont reliés à ce type de diabète.

Les chercheurs conseillent donc aux femmes souffrant d’un surplus de poids de suivre un régime amaigrissant. L’ovulation et la fertilité chez la femme peuvent donc être rétablies particulièrement s’il y a perte de poids au niveau abdominal.

Le SOPK touche environ 60 % des Américaines obèses. En France, ce pourcentage chute à 40 %. Cette maladie se caractérise par la présence excessive de kystes sur les ovaires ainsi que par une activité inhabituelle des androgènes. On peut la détecter par la présence d’insuline et de lipides dans le sang.