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Comment soutenir une copine qui entame la fécondation in vitro

En tant que copine, si vous souhaitez être à l’écoute pour celle qui entre dans ce cycle exténuant, vous devez savoir de quoi il s’agit. SheKnows propose de vous renseigner le plus possible.

Sachez d’abord qu’un couple qui procède à la fertilité in vitro a souvent traversé de nombreuses démarches et rencontré plusieurs fois l’échec pour tenter de fonder, sans succès, une famille. Il se peut qu’ils soient tous les deux un peu à fleur de peau.

Il ne faut pas confondre la fécondation in vitro avec l’insémination artificielle. Cette dernière représente l’insertion par le médecin du sperme d’un donneur dans l’utérus. Or, la FIV est plus complexe et onéreuse (environ 15 000 $ par essai).

Les embryons sont fécondés à l’extérieur en combinant du sperme et des ovules, les deux pouvant provenir de donneurs. Seulement 5 % des couples infertiles poursuivent vers cette procédure. Ce n’est que lorsqu’on obtient une fécondation réussie qu’elle est insérée dans l’utérus.

Vous devez donc comprendre que votre amie aura de fréquents rendez-vous, dont certains avec un psychothérapeute et un conseiller financier, fort probablement. Soyez simplement présente et à l’écoute, consciente des difficultés qu’elle traverse.

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Donner vos ovules peut mener vers le cancer des ovaires

Un nouveau marché est né, alors les femmes séduisantes et mannequins se font le magot en se transformant en donneuses d’ovules. Mais les risques de cancer ovarien doivent être considérés. 

Selon Science World Report, ces femmes séduisantes et en santé sont très recherchées. L’organisme californien The Egg Donor Program a été créé il y a 20 ans exactement dans le but de recruter ces femmes. Elles peuvent recevoir entre 8000 et 10 000 $ par don.

La chaîne ABC a accueilli le Dr Robert Stillman. « L’American Society for Reproductive Medicine met en garde les femmes en les limitant à 6 dons. Il n’y a aucune loi régissant ce processus, et donc, il n’y a aucun moyen pour prévenir les risques de santé associés pour les femmes qui sont sollicitées. » Plus souvent les femmes ont leur ovulation, plus grand est le risque de cancer.

Julia Derek, une donneuse qui a témoigné, affirme qu’elle y est retournée une douzaine de fois, surtout à cause du montant qu’elle y gagne. Elle a cependant reçu un diagnostic de plusieurs déséquilibres hormonaux.

« Vous jouez à la roulette russe avec votre fertilité et votre santé », a ajouté le Dr Stillman.

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Le déclin de fertilité dû à l’âge chez la femme démystifié

Des chercheurs, supportés par les NIH, résument avec brio les raisons qui expliquent le déclin de fertilité chez la femme, alors que celle-ci atteint la quarantaine.

La perte graduelle de la capacité à procréer s’amorce vers la mi-trentaine, selon ce que l’on comprend des conclusions rapportées par les National Institutes of Health, et s’explique en partie par le déclin de certains mécanismes de défense comme le BRCA1.

Ce système de défense génétique, comme les autres, finit par s’user et perdre de son efficacité avec l’âge, ce qui est aussi vrai chez l’homme, et on peut en constater les effets chez les personnes âgées.

Ainsi, les femmes voient leurs ovules être moins forts qu’à l’époque et n’ont pas la chance de les « réparer » par les mécanismes de défense génétiques, et ils finissent par mourir. Une rationalisation du phénomène qui pourrait permettre de ralentir le procédé…

« Nous savons tous que la fertilité d’une femme baisse dans la quarantaine. Cette étude propose une explication moléculaire à ce qui arrive. Éventuellement, de telles informations pourraient nous aider à allonger la durée de la période reproductrice de la femme », explique avec enthousiasme la Dre Susan Taymans.

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Les spermatozoïdes démystifiés

Une vieille théorie confirmée, de nouveaux faits dévoilés et une meilleure compréhension du processus de reproduction chez l’homme, voilà autant de choses qui ressortent d’une nouvelle étude sur le sujet.

C’est Top Santé qui rapporte les conclusions de cette étude, publiée initialement par des chercheurs de Harvard et du Boston Children’s Hospital.

On y apprend notamment que les spermatozoïdes aiment bien « nager » à contre-courant, comme l’indiquait une théorie ancienne datant de 1876. Le déplacement de ces cellules reproductrices serait influencé par la chaleur, ou la température si vous préférez.

D’autre part, on confirme que sur la production de 200 à 300 millions de spermatozoïdes, seuls 20 à 30 se rendront à destination, avant qu’un seul vainqueur soit déclaré au fil d’arrivée.

Les chercheurs, Kiyoshi Miki et David Clapham, ont ensuite tenté des expériences sur des rongeurs, pour découvrir que la femelle joue également un rôle dans l’arrivée des spermatozoïdes jusqu’à l’ovule, en créant un « courant » qui permet à ceux-ci de remonter jusqu’à destination.

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Pourquoi un seul spermatozoïde se rend-il à l’utérus?

« Il s’agit d’une course périlleuse où les corridors sont étroits et où les risques de collision sont nombreux », expliquent des spécialistes en fertilité qui ont tenté de démystifier la raison pour laquelle seul 1 % des 300 millions de spermatozoïdes évacués par l’homme lors d’un rapport sexuel réussissent à atteindre l’utérus, et uniquement quelques dizaines arrivent à l’ovule.

En analysant la trajectoire des divers spermatozoïdes « gagnants », des chercheurs des universités de Warwick et de Birmingham pensent avoir trouvé un moyen d’améliorer les chances de succès lors de traitements de procréation médicale assistée.

Les spermatozoïdes nagent à travers le col, dans l’utérus et le long des trompes de Fallope. L’étude a démontré qu’ils évitent la « voie du milieu » de l’appareil reproducteur féminin et ont plutôt tendance à ramper dans les parois du canal.

Les spermatozoïdes ont de la difficulté à tourner les coins pointus et foncent souvent les uns dans les autres ou s’écrasent dans une paroi.

De plus, il semblerait que la forme du spermatozoïde peut jouer en faveur ou en défaveur d’une course réussie.

En résumé, le spermatozoïde qui survivra dans le petit labyrinthe féminin et arrivera à temps à l’ovule est celui qui est le plus en mesure de négocier avec les voies visqueuses étroites et complexes, selon les résultats parus dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Découverte majeure en fertilité

À la suite de 30 ans de recherche, des chercheurs viennent de présenter une grande découverte dans le domaine de la procréation. Ils ont démontré comment l’ovule et le spermatozoïde pouvaient s’attirer et se joindre.

Cette attraction n’avait pas encore été expliquée, ce qui constituait un blocage pour les couples infertiles. Or, ce lien entre l’ovule et le spermatozoïde serait possible grâce à une simple molécule.

L’ovule deviendrait collant à cause de cette molécule de sucre, d’où sa jonction avec un gamète. Les résultats complets de cette découverte sont présentés dans la revue Science.

Les possibilités qui suivront cette nouvelle explication scientifique sont évidemment nombreuses. Bien sûr, beaucoup d’espoir naît quant aux traitements de l’infertilité et de la fécondité limitée. On pense aussi à d’autres avenues en ce qui a trait à la contraception.

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Des complications de grossesse liées à un type de fécondation in vitro

Selon une étude parue dans Obstetrics & Gynecology, les risques de prééclampsie sont de 17 % si les femmes portent un ovule déjà fécondé, contre 5 % si elles utilisent la méthode traditionnelle de fécondation in vitro.

Les complications de grossesse seraient donc plus grandes si l’on implante un ovule déjà fécondé au lieu de féconder un ovule de la patiente. Les risques d’accouchement prématuré seraient aussi plus élevés.

L’apparition de la prééclampsie serait de toute évidence en lien avec la réponse du système immunitaire lors de la reconnaissance de cellules étrangères.

Rappelons que la prééclampsie se reconnaît par une hausse de la pression artérielle et un plus haut taux de protéines dans l’urine.

D’autre part, cette affection de grossesse serait plus fréquente lorsque la future mère porte un embryon ayant été congelé.

Cette étude menée par un hôpital du Rhode Island, aux États-Unis, s’est étalée de 1998 à 2005. Elle a porté sur 77 femmes ayant porté des ovules préalablement fécondés, ensuite comparées à 81 femmes ayant suivi la méthode traditionnelle de fécondation in vitro.

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Les femmes du groupe sanguin O seraient moins fertiles

Des chercheurs ont démontré que les femmes du groupe sanguin O dénotent un moins grand nombre d’ovules et que ceux-ci sont de moindre qualité.

Nous pouvons lire sur Telegraph les conclusions de cette étude ayant porté sur 560 femmes. L’âge moyen des participantes était d’un peu moins de 35 ans.

Menée par l’Albert Einstein College of Medicine à New York, cette recherche a par ailleurs fait ressortir que les femmes de ce groupe sanguin avaient tendance à avoir un plus haut taux de l’hormone folliculostimulante (FSH) que celles du groupe A.

La FSH est produite naturellement par le corps pour stimuler les follicules dans les ovaires à l’origine de la production des ovules. De 30 à 40 ans, les femmes commencent à avoir une plus petite réserve d’ovules, ce qui est contrebalancé par l’hormone en question qui cherche alors à produire plus de follicules.

Toutefois, il n’est pas mentionné dans quelle mesure il est plus difficile pour ces femmes de tomber enceinte. Il faudrait aussi faire un lien avec d’autres hormones pouvant influer la procréation.

L’âge demeure ainsi le premier facteur de la baisse de la fertilité. Le compte d’ovules chute en effet au début de la trentaine, un phénomène qui s’accélère vers la fin de cette décennie et durant la quarantaine.

L’obésité est aussi reconnue pour diminuer le nombre d’ovules et leur qualité.

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Fin de l’anonymat pour les dons de sperme et d’ovules?

En novembre, le projet de révision des lois bioéthiques sera présenté devant le parlement français.
 
Dans ce projet, la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, prévoit que les enfants qui sont nés grâce à des dons de sperme ou d’ovules auront maintenant la possibilité de connaître l’identité de leur donneur, à condition bien entendu que celui-ci soit consentant.
 
Selon Le Parisien, sans ce consentement, les enfants n’auront accès qu’aux fiches indiquant le niveau socio-professionnel et la région d’origine du donneur. C’est une première donc au pays.
 
On demande aussi une ouverture quant à l’assistance médicale à la procréation pour les couples qui ont signé un pacte civil de solidarité. Par contre, l’interdiction entourant les cellules souches embryonnaires sera maintenue.
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90% des ovules des femmes ont disparu avant leurs 30 ans

Pas étonnant maintenant de savoir qu’il est plus difficile de devenir mère en vieillissant. Des chercheurs britanniques de l’Université d’Édimbourg affirment que 90 % des ovules d’une femme disparaissent avant que cette dernière atteigne ses 30 ans.

Ils se sont penchés sur les « réserves d’ovules » que chaque femme possède, de sa naissance jusqu’à sa ménopause. On a constaté que lesdites réserves diminuent à un rythme beaucoup plus rapide qu’on ne le croyait.

Ainsi, à 30 ans, une femme ne possède plus que 12 % de ses ovules. À 40 ans, ce taux baisse jusqu’à 3 %.

Plusieurs femmes croient qu’elles deviennent fertiles lorsqu’elles ont un cycle régulier tous les mois. Pourtant, le taux de fertilité est fragile et précaire, surtout lorsqu’on constate à quel point les chances de devenir mère diminuent avec les années.

Il faut aussi noter que toutes les femmes n’ont pas la même égalité à la naissance. Certaines femmes auront une réserve de plus de deux millions d’ovules en venant au monde, alors que d’autres, moins chanceuses, n’auront que 35 000 ovules, réduisant ainsi leurs chances de connaître les joies de la maternité.