Catégories
Bébé et cie

Et si votre employeur vous offrait de congeler vos ovules?

Selon NBC news, Apple et Facebook offriront désormais de défrayer pour la congélation d’ovules de leurs employées. Ils affirment ainsi encourager les femmes à joindre leurs rangs.

Chez Facebook, cette nouvelle couverture dans les frais médicaux est déjà en place, tandis qu’Apple l’ajoutera après Noël. Ce procédé de procréation assistée sera remboursé jusqu’à concurrence de 20 000 $ US (22 500 $ CAN).

Si l’initiative semble trop belle pour être vraie, c’est que le motif derrière cet avantage social propose aux femmes de retarder leurs projets familiaux. En effet, Apple et Facebook veulent promouvoir la femme de carrière et lui permettre de remettre à plus tard ses envies de maternité.

Ainsi, les employées intéressées devront faire congeler leurs ovules vers la trentaine, là où leur fertilité est idéale. Lorsqu’elles seront « prêtes », elles pourront « procéder » et tenter de fonder une famille.

La nouvelle engendre de nombreuses réparties. Certains sont en faveur, mais d’autres se demandent à quel prix? Cela démontre plutôt un contrôle sur la vie des femmes, et non une flexibilité, comme le suggèrent certains spécialistes de la biotechnologie.

Catégories
Uncategorized

Avoir recours à une mère porteuse, est-ce votre prochaine étape?

Au début, cette pratique était peu courante, et le corps médical était réticent à soutenir cette option. Aujourd’hui, avec la quantité de gens qui souffrent de l’infertilité, le rôle de la mère porteuse est l’option ultime pour avoir un enfant biologique. Surtout lorsque la femme n’arrive pas à porter ses grossesses à terme.

Comme l’indique She Knows, il y a 2 types de mère porteuse.

La mère porteuse traditionnelle : Elle est reliée biologiquement à la famille qui souhaite avoir un enfant. Elle est inséminée du sperme du futur père ou d’un donneur. Les hôpitaux et tribunaux ont encore de la difficulté avec cette méthode, à cause de la complexité des droits parentaux.

La mère porteuse de gestation : Elle n’a aucun lien familial et elle se fait inséminer un embryon déjà conçu à partir des ovules et du sperme des futurs parents ou d’autres donneurs.

Le mot d’ordre, dans tous les cas, est de procéder avec des spécialistes. Il existe des agences qui peuvent vous guider, tant vers la bonne mère porteuse que vers toutes les obligations s’y rattachant. Le niveau légal peut devenir très difficile à gérer seul.

Catégories
Uncategorized

Le bisphénol A dangereux pour les ovules

Publiée dans les Actes de l’Académie des sciences américaine, l’étude soutient que le bisphénol A, que l’on retrouve dans plusieurs produits de consommation courante, nuirait au développement des ovules.

Menée sur des singes femelles enceintes, la recherche prouve donc que cette substance a des effets néfastes sur le système reproducteur.

En fait, le bisphénol A affecte non seulement les ovules, mais aussi les ovaires et le foetus, en augmentant le nombre de follicules anormaux.

Les experts avaient déjà mené des études semblables sur des souris et avaient souligné que les effets du bisphénol alors remarqués pouvaient potentiellement être similaires sur le corps humain.

L’étude sur des primates est donc venue corroborer cette supposition.

Rappelons que l’exposition au bisphénol A (BPA) est difficile à éviter. Il se retrouve jusque dans le biberon de nos enfants.

Une exposition au bisphénol A (BPA) en début de vie pouvait augmenter les risques de souffrir de troubles anxieux, car cela provoque des changements d’expression génétiques dans l’amygdale du cerveau.

Toutefois, le soja pourrait réduire les effets néfastes du bisphénol A.

Catégories
Uncategorized

Des souris éclairent les chercheurs en fertilité

Les ovules peuvent se réparer d’eux-mêmes à la suite des dommages causés par la radiation, déclarent les chercheurs en fertilité, tel que rapporté par le site nlm.nih.gov.

Ceci ravive l’espoir des femmes qui doivent subir des traitements contre le cancer de contrer les problèmes éventuels d’infertilité liés à ce type de thérapie.

Même si les sujets-tests ne sont limités pour l’instant qu’aux souris, les chercheurs de l’étude croient fermement que le lien est direct et s’applique également aux femmes.

Outre les patientes en traitement pour le cancer, l’étude est un vent d’optimisme pour les femmes souffrant d’une ménopause précoce, une condition qui augmente les risques d’infertilité, ainsi que celles atteintes d’ostéoporose et de maladies cardiaques.

Dans un papier qui devrait être publié dans l’édition du 9 novembre du Molecular Cell, on allègue que des chercheurs australiens ont découvert que les ovules ne sont pas tués par la radiation, comme on aurait pu le croire auparavant.

En fait, ils le sont par deux protéines du nom de Puma et Noxa, qui entreraient en action dès qu’une anomalie ou un dommage est détecté dans les ovules.

Dans les expériences conduites, les souris qui ne possédaient pas ces protéines produisaient des ovules qui survivaient aux radiations, tout à fait capables de féconder naturellement.

Catégories
Uncategorized

Un lien entre les défauts génétiques et l’autisme chez l’enfant?

Trois nouvelles études à grande échelle, avec des chercheurs provenant des universités Yale et Harvard, ont mis en évidence l’importance des erreurs dans l’ADN des ovules et des spermatozoïdes comme l’une des causes de l’apparition de l’autisme.

Les résultats des études, publiés dans la revue Nature, démontrent qu’un cas d’autisme sur sept serait dû à ces erreurs.

La croyance générale veut que certaines maladies viennent d’erreurs génétiques présentes dans l’ADN des parents et transmises aux enfants. Toutefois, on parle ici de mutations de novo. Celles-ci apparaissent en premier dans l’ADN de l’enfant et sont causées par des problèmes de spermatozoïdes et d’ovules.

Les chercheurs ont constaté que ces mutations de novo proviennent majoritairement du sperme. Pour quatre mutations provenant du sperme du père, une seule était attribuable à l’ovule de la mère.

Ainsi, plus l’homme est âgé, plus son sperme risque de présenter des anomalies, et plus il a de chances d’engendrer un enfant autiste.

Pour en arriver à ces conclusions, l’ADN de centaines de parents, d’enfants autistes et de leurs frères et sœurs a été analysé.

 « Ces résultats démontrent clairement le potentiel de la technologie de séquençage de l’ADN pour définir les facteurs de risque spécifiques de l’autisme. Nous avons seulement gratté la surface, mais avec la poursuite des efforts de collaboration, ces découvertes génétiques nous montreront les racines biologiques sous-jacentes de l’autisme », a déclaré Mark Daly du Massachusetts General Hospital, un des auteurs.

Rappelons que l’autisme est une réalité 10 fois plus présente qu’il y a 30 ans.

Catégories
Uncategorized

Des cellules souches capables de produire des ovules

Les troubles de la fertilité chez la femme pourraient un jour devenir un simple mauvais souvenir, selon le site Santelog.com.
 
Une nouvelle étude, publiée par la revue Nature Medicine, vient en effet de démontrer que des cellules souches productrices d’ovocytes existent bien dans les ovaires des femmes en âge de procréer.
 
Pour les chercheurs américains, ces résultats sont un espoir pour les nombreuses femmes qui combattent l’infertilité dans le monde.
 
Cette découverte remet d’ailleurs en question le mythe selon lequel une femme naît avec un nombre précis d’ovules qui diminue avec le temps.
 
En 2004, pour la première fois, les résultats d’une étude avaient émis l’hypothèse de l’existence de cellules souches se transformant en ovules chez les souris femelles.
 
Puis, cinq ans plus tard, d’autres scientifiques avaient affirmé avoir décelé ces cellules souches productrices d’ovules dans les ovaires de souris adultes.
 
Une belle avancée scientifique en moins de 10 ans.
 
Catégories
Uncategorized

L’âge des parents influence le développement de l’autisme

Selon des chercheurs danois de Cambridge et leur étude publiée dans la revue Annals of Epidemiology, le risque d’autisme est jusqu’à 27 % plus élevé chez ces derniers que pour ceux qui ont des parents plus jeunes.

Les parents plus âgés sont maintenant considérés comme à « risque accru » de développement de l’autisme chez les enfants.

Initialement, l’âge de la mère semblait importer davantage, mais les chercheurs ont constaté que le risque posé par l’âge de la mère et celui du père sont maintenant pratiquement les mêmes.

Cependant, si les deux parents sont plus vieux que 35 ans au moment de la conception, le risque de donner naissance à un enfant autiste n’est pas plus élevé que si un seul d’entre eux est avancé dans la trentaine.

Toutefois, il y a un autre constat. Si l’un des parents a moins de 35 ans et l’autre en a plus de 40, le risque d’autisme chez l’enfant à naître est plus grand quand c’est la mère qui est plus âgée (65 %) plutôt que le père (44 %).

Rappelons que l’autisme, selon des spécialistes, pourrait être lié à des changements naturels qui se produisent à la fois dans les ovules et le sperme lorsque les gens vieillissent.

Caroline Hattersley, de la National Autistic Society, a déclaré : « Bien que cette recherche suggère qu’il existe un lien entre l’âge des parents et l’autisme, d’autres études sont nécessaires. Nous savons peu de choses sur la chaîne biologique des événements qui donnent lieu à l’autisme ».

Catégories
Uncategorized

Le syndrome de Down relié aux BPA

Le bisphénol A est sous la loupe depuis quelques années. Les possibles conséquences d’une exposition à cette substance omniprésente dans les produits en plastique sont de plus en plus nombreuses.

Cette fois, on apprend dans Human Reproduction qu’elle peut altérer le développement des ovocytes et des futurs ovaires chez la femme. Cet effet réduirait possiblement la fertilité de la progéniture de la femme, en plus d’augmenter la prévalence du syndrome de Down dans les générations suivantes.

Rappelons que le syndrome de Down est ce que nous appelons couramment la trisomie 21. Il s’agit d’une maladie chromosomique congénitale qui est engendrée par un chromosome surnuméraire à la 21e paire. Ses signes physiques sont reconnaissables, et elle entraîne un retard cognitif. La trisomie 21 est la maladie génétique la plus commune.

Des chercheurs ont analysé plus de 21 000 ovocytes in vitro pour établir cette corrélation. L’exposition aux BPA aux degrés permis par les autorités de la santé comporterait en fait des dangers pour le fœtus.

Le risque d’échange de chromosome se trouverait par ailleurs doublé par cette exposition. L’analyse du chromosome 21 en particulier, dans le développement de 90 ovocytes, a indiqué un plus grand risque du syndrome de Down chez la future progéniture du fœtus.

Catégories
Uncategorized

Le groupe sanguin influence la fertilité

Les femmes de 30 ans qui sont du groupe sanguin O auraient plus de problèmes de fertilité que les autres, selon Reproduction. Elles connaîtraient aussi moins de succès lors d’une fécondation in vitro et produiraient moins d’ovules.

Une étude menée par la Yale University School of Medicine abonde effectivement en ce sens. On comprend donc que même au sein des femmes en parfaite santé, la fertilité peut être influencée par le sang.

Après avoir suivi 544 femmes, on a remarqué que si la production d’ovules baissait durant la trentaine, le phénomène tendait à survenir plus tôt chez celles étant du groupe sanguin O, soit dans la vingtaine. Cette baisse était deux fois plus fréquente chez ces dernières que chez celles des groupes A et AB.

Mentionnons que l’âge moyen des participantes était de 35 ans et que toutes suivaient un traitement de fertilité.

Catégories
Uncategorized

La fertilité d’une femme diminue plus rapidement qu’on le croyait

Des chercheurs britanniques de l’Université d’Édinbourg ont découvert que si les femmes veulent avoir le plus de chances possible de fonder une famille, elles devraient s’y mettre avant d’avoir 30 ans.

Selon leurs recherches rapportées par Top Santé, ils ont étudié la réserve ovarienne des femmes, soit le nombre d’ovules qu’elles ont dès leur naissance jusqu’à la ménopause. Ils ont constaté que la réserve s’épuise beaucoup plus rapidement qu’on le croyait jusqu’ici.

À 30 ans, les femmes n’auraient plus que 12 % de leurs ovules et à 40 ans, seulement 3 %.

Pourtant, beaucoup de femmes croient qu’elles deviennent plus fertiles lorsqu’elles ont finalement un cycle régulier. En fait, il ne faudrait vraiment pas se fier à cette croyance.

Malheureusement, les experts précisent que les femmes ne naissent pas avec les mêmes chances de concevoir un enfant. Alors que certaines peuvent s’estimer heureuses de naître avec une réserve de 2 millions d’ovules, d’autres n’en auront que 35 000.