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Une nouvelle génération de pacemakers prometteuse

La technologie avance à pas de géant chaque année et permet d’améliorer le sort de millions de patients dans le monde. C’est peut-être au tour des gens qui ont besoin d’un pacemaker, cet outil qui permet de régulariser le rythme cardiaque.

Ce dernier en a d’ailleurs sauvé plus d’un, rappelle www.nlm.nih.gov, au fil des 50 dernières années, mais un seul problème a toujours subsisté : il faut changer les piles.

Voilà qu’un nouveau prototype pourrait voir le jour. Les chercheurs sont en tout cas très optimistes dans ce dossier. Sans pile, le pacemaker du futur fonctionne en se régénérant directement par le cœur du patient.

L’appareil utilise des aimants et des vibrations de la cavité thoracique afin de créer une énergie, suffisante au bon fonctionnement de l’appareil.

C’est ce qu’explique David Inman, du département d’aérospatiale du Michigan : « En ce moment, remplacer la pile d’un pacemaker nécessite une chirurgie majeure, et ça doit se passer tous les sept ans, environ. Pour un bambin qui se fait greffer à deux ans, ce qui est commun, cela veut dire dix opérations à cœur ouvert au fil de sa vie ».

On comprend mieux pourquoi les chercheurs veulent enrayer ce problème à tout prix, et ils sont peut-être sur le point de réussir.

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Un nouveau dispositif pour combattre le diabète

La Daily Mail nous apprend que des chercheurs européens ont créé un dispositif semblable à un stimulateur cardiaque qui crée des impulsions électriques indolores à l’estomac pour traiter le diabète de type 2.
 
Ce dispositif est implanté sous la peau de l’abdomen et stimule les muscles du ventre lorsque la personne mange. Ces impulsions provoquent ainsi plus d’insuline, ce qui permet de mieux contrôler l’excès de sucre dans le sang.
 
L’appareil détecte automatiquement que la personne consomme des aliments lorsque l’estomac commence son travail. Cette petite astuce fait croire au cerveau que plus de nourriture est ingérée.
 
L’appareil est rechargeable en plaçant simplement le chargeur sur le ventre pendant 45 minutes une fois par semaine.
 
Les premiers essais cliniques menés à l’Université de Vienne, en Autriche, semblent très prometteurs. Des essais sur un plus grand nombre de personnes sont en cours.