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Le vaccin contre le paludisme fonctionne, selon des chercheurs japonais

On parlait récemment de cette percée concernant le traitement ou à tout le moins la prévention du paludisme.

Selon Top Santé, il appert que ce fameux vaccin contre le paludisme fonctionnerait bel et bien, en tout cas jusqu’à 70 %.

C’est ce qui ressort des propos de l’équipe de chercheurs de l’Université d’Osaka, au Japon, qui développe le traitement expérimental.

« L’effet de ce vaccin est plus important que celui de tous les traitements existants », explique l’équipe japonaise, visiblement fière de ces résultats.

Le paludisme est une maladie plus rare dans certains coins du monde, mais qui touche encore plusieurs populations, dont certaines parmi les plus pauvres. Ce nouveau vaccin promet d’ailleurs, outre son efficacité, d’être abordable pour les gens moins fortunés.

La maladie touche plus de 200 millions de personnes dans le monde et est généralement transmise par les moustiques, ce qui augmente les difficultés de prévention.

On croit cependant que ce vaccin pourrait être la solution finale. Il pourrait être commercialisé d’ici cinq ans.

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Une étape importante est franchie dans le traitement et la prévention du paludisme

Le paludisme est une maladie ancienne tenace qui ne veut tout simplement pas mourir. Si elle est moins connue dans notre coin de pays, elle frappe néanmoins plusieurs endroits sur la planète de façon violente et agressive.

C’est notamment le cas dans plusieurs régions d’Afrique, alors que beaucoup de cas sont encore rapportés, notamment chez les enfants. Le problème devient d’autant plus inquiétant que plusieurs médicaments et traitements proposés deviennent de moins en moins efficaces, la maladie devenant immunisée contre plusieurs d’entre eux.

Il faut maintenant se tourner vers de nouvelles méthodes innovatrices et ingénieuses, un défi relevé par deux Africains.

Ces derniers ont réussi à créer un nouveau savon bien spécial à base de karité, de citronnelle et de quelques herbes, rapporte Top Santé.

Ce savon aurait la propriété de protéger des moustiques porteurs de la maladie, et ainsi de prévenir le risque de la développer.

Les deux inventeurs de ce savon ont remporté un prix pour leur découverte, assorti d’une bourse de 25 000 $. Il s’agit d’une belle avancée dans le traitement du paludisme, un effort spectaculaire qui pourrait venir en aide à des milliers de personnes.

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Une étape importante est franchie dans le traitement et la prévention du paludisme

Le paludisme est une maladie ancienne tenace qui ne veut tout simplement pas mourir. Si elle est moins connue dans notre coin de pays, elle frappe néanmoins plusieurs endroits sur la planète de façon violente et agressive.

C’est notamment le cas dans plusieurs régions d’Afrique, alors que beaucoup de cas sont encore rapportés, notamment chez les enfants. Le problème devient d’autant plus inquiétant que plusieurs médicaments et traitements proposés deviennent de moins en moins efficaces, la maladie devenant immunisée contre plusieurs d’entre eux.

Il faut maintenant se tourner vers de nouvelles méthodes innovatrices et ingénieuses, un défi relevé par deux Africains.

Ces derniers ont réussi à créer un nouveau savon bien spécial à base de karité, de citronnelle et de quelques herbes, rapporte Top Santé.

Ce savon aurait la propriété de protéger des moustiques porteurs de la maladie, et ainsi de prévenir le risque de la développer.

Les deux inventeurs de ce savon ont remporté un prix pour leur découverte, assorti d’une bourse de 25 000 $. Il s’agit d’une belle avancée dans le traitement du paludisme, un effort spectaculaire qui pourrait venir en aide à des milliers de personnes.

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Gardez vos pieds propres pour éviter les piqûres de moustiques

Les scientifiques ont découvert que certaines bactéries qui recouvrent les pieds dégagent une odeur qui attire particulièrement les moustiques porteurs du paludisme, mieux connu sous le nom de malaria. Ainsi, lors d’un voyage dans les pays touchés, gardez vos pieds propres pour éviter d’être piqué.
 
Par contre, les personnes qui ont une plus grande variété de bactéries sur leurs pieds seraient protégées, car cela repousserait les moustiques.
 
Selon le Public Library of Science ONE, les chercheurs ont analysé les échantillons de sueurs de la plante du pied de 48 hommes âgés de 20 à 64 ans.
 
Neuf des échantillons ont été considérés comme « très attractifs » pour les moustiques et sept comme « très peu attractifs ». Dans les très attractifs, on a noté un niveau élevé de 4 bactéries, dont le staphylococcus.
 
Cependant, les personnes qui avaient le variovorax et le pseudomonas ont plutôt repoussé les insectes, de même que celles qui avaient de nombreuses bactéries différentes sur leurs pieds.
 
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Découverte du mécanisme du paludisme

Une équipe du Wellcome Trust Sanger Institute a découvert que le parasite Plasmodium falciparum, qui cause la forme la plus dangereuse du paludisme, pénètre dans les cellules des globules rouges en se liant à une seule protéine à la surface des globules.
 
Le paludisme est transmis par une piqûre de moustique et affecte surtout le continent africain.
 
Jusqu’ici, on croyait que le parasite se liait à plusieurs protéines, mais ce n’est pas le cas. « Nos résultats étaient inattendus et ont complètement changé la façon dont nous voyons le processus d’invasion. Notre recherche semble avoir révélé le talon d’Achille du mécanisme permettant l’infection des cellules rouges sanguines », explique l’un des auteurs, le Dr Gavin Wright, dans la revue Nature.
 
De plus, les chercheurs ont découvert qu’en bloquant cette protéine, on empêchait le parasite de pénétrer les cellules. « En identifiant un récepteur unique qui semble être indispensable pour que les parasites puissent envahir les globules rouges, nous avons également identifié une piste évidente et très excitante pour le développement de vaccins », ajoute le Dr Julian Rayner, coauteur de l’étude.
 
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Une grande avancée pour le vaccin contre le paludisme

Depuis de nombreuses années, les chercheurs tentent de mettre au point un vaccin contre le paludisme (malaria). Cette fois, on vient de franchir un nouveau cap avec un vaccin qui donne les meilleurs résultats jamais obtenus jusqu’ici.
 
L’étude qui se déroule en Afrique, où 90 % des cas de malaria se trouvent, démontre l’efficacité du vaccin à 50 % chez les jeunes enfants. Ces derniers, ainsi que les femmes enceintes, sont les principales victimes de la maladie, qui fait chaque année un million de morts dans le monde.
 
Le vaccin ne sera pas offert avant trois ans et il reste encore d’autres étapes à franchir, mais il est le plus prometteur jusqu’à présent, affirme la firme créatrice, GlaxoSmithKline.
 
Maintenant, d’autres tests doivent être faits pour confirmer son efficacité et tenter de l’augmenter, mais aussi pour savoir combien de temps la protection peut durer. Ensuite, les autorités gouvernementales devront l’approuver.
 
Rappelons que le paludisme est transmis par une piqûre de moustique.
 
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Nouvel espoir pour contrer le paludisme

La revue scientifique Nature nous apprend que des chercheurs ont réussi à identifier une molécule malodorante qui arriverait à tromper le flair aiguisé des moustiques.
 
Cette molécule brouille les cellules des moustiques qui sont sensibles au dioxyde de carbone (CO2) émis dans l’air par les humains lorsqu’ils expirent. C’est en repérant ce CO2 que les moustiques parviennent facilement à trouver une proie.
 
« Ces substances présentent de grands avantages pour réduire les contacts entre moustiques et humains et peuvent conduire à une nouvelle génération de répulsifs et de leurres », explique l’auteur de l’étude, Anandasankar Ray.
 
Si ces résultats se confirment, il s’agirait d’une excellente alternative aux répulsifs auxquels les moustiques deviennent de plus en plus résistants et la lutte au paludisme se ferait plus efficace.
 
Toutefois, les recherches doivent se poursuivre, car les moustiques ne sont pas seulement attirés par le CO2 que nous émettons, mais aussi par l’odeur de la sueur et de la peau. Ils pourraient donc parvenir à nous repérer de toute façon.
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Les gorilles seraient responsables du paludisme chez l’homme

Les médecins croyaient que le paludisme, qui a été découvert en 1880, prenait son origine chez l’humain, mais dans les faits, il viendrait des gorilles.
 
Le parasite, qui est transmis par une piqûre de moustique, touche 250 millions de personnes par année.
 
Selon ce qu’ont découvert l’équipe de la Dre Beatrice Han de l’Université d’Alabama et des collègues français de l’Institut de recherche pour le développement, ce sont les gorilles qui seraient responsables de la contamination humaine, mentionne la revue Nature.
 
En étudiant le parasite en Afrique, où il est le plus répandu, on a constaté que les singes bonobos et les gorilles de l’est ne sont pas affectés par la maladie, mais le parasite est très répandu chez les gorilles de l’ouest et les chimpanzés. 32 à 48 % sont touchés.
 
Le séquençage de l’ADN des gorilles a permis de découvrir qu’ils étaient touchés par différentes souches du parasite, dont l’ancêtre de celui retrouvé chez l’humain.
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Bientôt un vaccin pour le paludisme des femmes enceintes

Les chercheurs du CNRS et de l’Institut Pasteur en Europe sont sur le point de créer un vaccin contre le paludisme de la femme enceinte qui survient surtout lors des premières grossesses, selon une étude publiée dans la revue PNAS.

Le paludisme se présente davantage dans certaines zones comme l’Afrique. C’est une maladie parasitaire transmise par la piqûre d’un moustique.

La maladie est potentiellement mortelle. Comme le système immunitaire est diminué durant une grossesse, les femmes peuvent donc facilement être affectées par le parasite qui peut provoquer des avortements spontanés, un bébé mort-né, une naissance prématurée ou encore un bébé de petit poids. Chaque année, 200 000 petits en meurent.

La nouvelle découverte a permis de mettre en évidence une protéine qui joue un rôle important dans le paludisme de grossesse. Ainsi, cela pourrait mener à l’élaboration d’un vaccin et d’une thérapie afin de mieux protéger la mère et son enfant dans le futur.

Déjà, dans certaines régions, on recommande aux futures mères de dormir sous une moustiquaire imprégnée d’antimoustiques.

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Les moustiques à la rescousse des humains

Le moustique transmetteur du paludisme, communément appelé malaria, pourrait servir dans la recherche pour combattre la maladie.

Selon une étude publiée dans le magazine Science, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale ont découvert que la modification d’un seul gène, le TEP1, affecte la résistance du moustique à l’infection.

L’étude a porté sur le moustique Anopheles gambiae, le principal transmetteur de la malaria en Afrique. On a analysé sa résistance au parasite et on a découvert que son gène TEP1 était différent de celui des autres espèces.

Cela pourrait donc mener à des programmes plus efficaces pour enrayer cette affection qui touche 250 millions de personnes par année et fait un million de morts, surtout en Afrique.