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Blue Jackets : Panarin hué

Mine de rien, les amateurs des Blue Jackets n’aident en rien leur cause.

Toute la ville a fait des pieds et des mains afin de convaincre Artemi Panarin de prolonger son séjour avec les Jackets, dont de l’alcool à vie, mais ils se sont mis à le huer à la suite des récents développements.

Vraiment? C’est de cette façon que vous poursuivez cette grande séduction.

Pas fort, chef, comme dirait le Baron.

Donc aussitôt que Panerin s’emparait du disque, les amateurs entourant la surface glacée sortaient les gros BOOOO. Ont-ils réfléchi avant de s’exclamer ainsi? Guys, pensez-vous vraiment que vous donniez envie au Russe de demeurer à Columbus en agissant ainsi? Vous êtes certes frustrés de la tournure des choses dans ce dossier cahoteux, mais gardez une petite gêne pour le moment.

Pourtant, même si Panarin ne souhaite pas négocier avant la fin de la présente campagne, il n’est pas encore parti évoluer ailleurs sur la carte géographique. Il demeure toujours un membre de l’équipe et si les partisans souhaitent encore l’observer pour une longue période, ils devraient plutôt mettre les efforts sur la séduction qu’ils ont amorcé il y a quelque temps.

Plutôt de voir le côté positif de cette annonce, les partisans ont aussitôt déposé une conclusion négative : Artemi Panarin ne reviendra pas à Columbus à la suite de cette campagne.

Panarin est devenu la grosse vedette des Jackets et l’attaque tourne autour de lui… mais avec une division ardue comme celle de la Métropolitaine, les Jackets jetteront-ils la serviette? Si l’on se fie à John Tortorella et l’embauche de Martin St.Louis, ça ne semble pas être le cas.

Bref, ne lâchez pas et continuez de le séduire… et non pas le « tanner ».

En rafale

– Joël Bouchard a donné le ton concernant la journée #BellCause.

– Tomas Plekanec a donc respecté son plan…

– Bel hommage. Très très touchant!

– Excellent billet au sujet de la « famille ».

– J’ai fini par comprendre que je ne devais plus me cacher…

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Des demandes démesurées du clan Panarin?

Artemi Panarin a opté pour amorcer le camp d’entraînement en septembre dernier et fermer le couloir de discussions. Le Russe ne voulait pas se casser la tête. Selon les rumeurs qui circulent d’un bout à l’autre du couloir, Panarin n’aime pas la ville de Columbus et il ne souhaite pas poursuivre sa carrière au sein de cette organisation. C’est du moins ce qui coulait l’été dernier, mais est-ce toujours le cas au moment de composer ce billet?

À la suite d’une saison de 82 points en 81 rencontres, les Jackets se sont inclinés en six matchs lors du premier tour, contre les futurs champions, les Capitals de Washington.

Certes un moment ardu pour Panarin, qui veut gagner et jouer au sein d’une équipe aspirante et « historique ». Un marché de hockey, quoi. Après la saison, les rumeurs se sont mises à lever, mais rien ne s’est conclu, donc il s’est mis à s’amuser avec les Jackets. Jusqu’à présent, il a ramassé 22 points en 20 joutes, lui qui évolue avec Pierre-Luc Dubois et Cam Atkinson sur la première ligne.

Cela dit, l’excellent Pierre LeBrun s’est remis le nez dans ce dossier dans le but de dénicher de nouvelles informations un brin plus fraîches. Selon ses trouvailles, le prix que l’agent de Panarin exigera se situera entre 10 et 11 millions de dollars. What? Peu importe l’organisation qu’il joindra, les demandes seront les mêmes. Avec un tel cap hit, il deviendrait le deuxième ou troisième patineur le mieux rémunéré du circuit. Connor McDavid a un salaire moyen de 12.5 millions $, John Tavares 11, puis Jonathan Toews et Patrick Kane empochent en moyenne 10.5 millions de dollars.

C’est beaucoup de cash, mais en même temps, il demeure l’un des meilleurs du circuit à sa position (aile gauche). Son équipe actuelle a les fonds et l’espace pour le ramener avec l’équipe, mais il ne faut pas oublier que Sergei Bobrovsky voudra fort probablement parapher un accord se rapprochant de celui de Carey Price. Enfin bref, si les Jackets réussissent à se faufiler jusqu’en finale peut-être qu’il signera à nouveau là-bas. L’équipe trône présentement au premier rang de la division Métropolitaine.

En rafale

– Du caractère, de l’attitude et du talent. C’est ça, Max Domi.

– C’est pas mal plus reluisant qu’en 2017-18.

– Mine de rien, Jesperi Kotkaniemi pourrait frôler le plateau des 50 points.

– Voici la moyenne de buts marqués jusqu’à présent cette saison.

– Le Canadien se positionne exactement où il le souhaitait en vue de retour de Shea Weber.